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Pourquoi la crucifixion n’est pas le Sauvetage de l’être humain

Pourquoi la crucifixion n’est pas le Sauvetage de l’être humain

Pourquoi la crucifixion n’est pas le Sauvetage de l’être humain

« Je suis né et je suis venu dans le Monde pour rendre Témoignage à la Vérité. »

Le sacrifice et la crucifixion endurés par le Christ ne sont pas la vraie raison de Sa Venue dans le monde.

Sujet d’analyse et d’intuition pour tout Chrétien qui cherche à examiner sa foi en Vérité et en conviction.
 Proposé par Salem YAHI.

Je suis Chrétien, parce que … « Quiconque confesse que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui et lui en Dieu. »
– 1 Jean IV, 15 (Bible Tob) –

Chrétien, je le suis, parce que je m’efforce de vivre dans le double Commandement de Dieu:
« Et voici qu’un légiste se leva et lui dit, pour le mettre à l’épreuve: “Maître, que dois-je faire pour recevoir en partage la Vie éternelle?” Jésus lui dit: “Dans la Loi qu’est-il écrit ? Comment lis-tu?”. Il lui répondit: “Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée et ton prochain comme toi-même.” Jésus lui dit: “Tu as bien répondu. Fais cela et tu auras la Vie.” »  Luc X, 25-28.
Chrétien, je le suis, bien que je sois convaincu que les Églises ont divisé Jésus …
« Mes bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit, mais éprouvez les esprits, pour voir s’ils sont de Dieu; tout esprit qui confesse Jésus Christ venu dans la chair est de Dieu, et tout esprit qui divise Jésus n’est pas de Dieu; c’est l’esprit de l’antichrist, dont vous avez entendu annoncer qu’il vient, et dès maintenant il est dans le monde. »   1 Jean 4, 1-3.
… Et que l’Église, catholique en particulier, s’en est allée hors du sentier du Christ, ce que montre son histoire à toute personne qui voit avec les yeux de l’esprit:
« Quiconque va trop avant et ne demeure pas dans la Doctrine du Christ n’a pas Dieu {avec lui}. »  2 Jean, 1-9
Cette Église a introduit d’innombrables divisions:
« À la fin des temps il y aura des railleurs qui seront menés par leurs passions impies. Ce sont bien eux! Ils introduisent des divisions, ils ont des pensées terrestres, ils ne possèdent pas l’Esprit. »   Épitre de Jude 19.
Elle a soumis des millions d’êtres humains par des moyens contestables durant deux millénaires, cherchant ainsi à se substituer à Dieu, alors qu’:
« Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. »  Actes V, 29.
Les scandales successifs et incessants sur la pédophilie des prêtres – pour n’évoquer que cela – étouffés durant des dizaines d’années, s’ajoutent aux innombrables preuves existantes de l’extrême faiblesse morale de cette institution.
La conséquence? Sur le fond, le véritable MESSAGE DU CHRIST a été occulté empêchant la reconnaissance de la VÉRITÉ par son seul destinataire: l’esprit humain, obturant de ce fait le chemin de sa résurrection laquelle ne passe pas par celle du Fils de Dieu.
Sur la VÉRITÉ
Concernant les hommes qui ont fait l’histoire épouvantable de l’Église:
« Eux qui ont changé la Vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen! »  Romains 1, 25.
« La Colère de Dieu se révèle du Ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la Vérité captive… »  Romains 1, 18.

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L’honnêteté

L’honnêteté

L’honnêteté

L’honnêteté n’est pas une Vertu mais une qualité. En effet – ainsi que nous l’avons déjà vu -, les Vertus sont illimitées, ce qui n’est pas le cas des qualités. Pour illustrer cette différence, il suffit de concevoir que, pour pouvoir se rendre au Paradis, pour ce qui est d’une qualité comme, par exemple, l’honnêteté, il ne suffit pas d’avoir la moyenne, c’est-à-dire 10 sur 20, mais il faut avoir 20 sur 20, autrement dit être totalement honnête.
Ce n’est pas la même chose qu’une Vertu – comme, par exemple, l’Héroïsme – qu’un esprit, même revenu au Paradis, peut continuer à développer pendant l’éternité… Quelqu’un de parfaitement honnête ne peut pas être plus honnête qu’honnête. Il est honnête, voilà tout. Même avoir 19 sur 20 en honnêteté, cela ne suffit pas pour être honnête. Un à-moitié honnête, en réalité, n’est pas honnête. L’on n’a pas besoin d’être un Héros pour aller au Paradis, mais d’être parfaitement honnête, oui.
A noter que l’honnêteté n’existe pas que pour les questions de biens matériels ou d’argent. Par exemple, l’honnêteté doit aussi exister dans les relations humaines. C’est notamment ce qui fait que le soi-disant « baiser d’amitié » n’a pas de raison d’être. Celui qui veut être honnête devra reconnaître que, dans l’amitié, il n’est nullement besoin de baiser!
En cas d’honnête recherche en mariage, l’être humain cherche à accomplir le haut but du mariage et non à satisfaire ses instincts ou – encore moins! – sa convoitise. Du côté du mal aucune honnêteté n’est jamais à trouver. Celui qui est honnête doit aussi reconnaître le véritable sens des mots.
L’honnêteté est particulièrement importante dans le domaine du commerce et le monde du travail. Sans honnêteté le commerce n’est même pas concevable. Chercher à « gagner sa vie » par un honnête travail ou un commerce honnête n’aura rien à, se reprocher quand l’heure sera venue de devoir rendre des comptes.
A ce sujet, il est remarquable que le Commandement « Tu ne dois pas voler » oblige les êtres humains respectables à toujours se comporter d’honnête manière.

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Le Deuxième Commandement

Le Deuxième Commandement

«TU NE DOIS PAS, DU NOM DU SEIGNEUR, TON DIEU, MÉSUSER!»

Mésuser du Nom du Seigneur, que cela signifie-t-il? C’est la même chose que de le prononcer en vain, c’est-à-dire avec superficialité, sans raison {valable}.
C’est que, si Dieu est Saint, Son Nom, indissociable de Lui-même et qui sert à Le désigner, est donc, lui aussi, Saint, Sacré!
C’est naturel que le Nom de Dieu soit, pour chaque être humain, Sacré, car le Nom de Dieu est destiné, comme tout nom, à, avec clarté et force, faire surgir, dans l’esprit humain, la Notion correspondante, et, dans ce cas, il s’agit de la Notion du Plus Haut qui soit, le Plus-Haut-de-tous!
Par conséquent, si quelqu’un prononce le Nom du Plus-Sublime avec légèreté, indifférence ou – pire! – avec irrespect, il offense Dieu Lui-même!
Les transgressions de ce genre sont, hélas!, devenues très nombreuses dans le monde «moderne». Le Nom du Créateur est prononcé en vain, à tout propos. C’est horrifiant d’entendre cela, lorsque l’on est conscient des offenses ainsi commises envers le Créateur, du mauvais exemple donné aux jeunes générations, et des inéluctables répercussions karmiques à venir.
Le Deuxième Commandement est, en effet, indissociable du Premier [NDLR: Article privé – Nécessite d’être enregistré et connecté]. L’accomplissement du Premier Commandement suppose aussi la rigoureuse observance du Deuxième. L’être humain qui ne respecte pas le Deuxième Commandement est totalement dénué d’Intuition. Sinon il ne pourrait prononcer le Saint Nom de l’Éternel qu’avec le plus profond respect, la plus grande vénération. C’est pourquoi, dans la religion juive, l’on n’ose même pas prononcer le Nom complet du Hautement-Sublime, et l’on se limite à écrire les consonnes sans mentionner les voyelles.
Cette transgression fait partie des péchés des pères qui se vengent jusqu’à la troisième ou quatrième génération, si, entre temps, il ne s’en éveille pas un pour mettre un terme à une aussi abominable pratique.
Même ceux qui ne transgressent pas eux-mêmes le Deuxième Commandement ont le Devoir de ne pas s’arrêter là. Ils doivent, par conséquent, s’efforcer de combattre cette préjudiciable habitude dans les cercles qui les entourent.

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La Correction Fraternelle

La Correction Fraternelle

La Correction Fraternelle

 «Un frère aidé par son frère est une place forte.»
 – Proverbes, XVIII, 19 –

Qu’est-ce que la Correction Fraternelle?
Dans l’Enseignement chrétien, la Correction Fraternelle est une démarche de rappel à l’ordre d’un Chrétien vis-à-vis de son frère – Chrétien ou non -, dans le cas où celui-ci vient à commettre un péché, notamment – mais pas nécessairement –  si le péché est dirigé contre lui.
Dans la Correction Fraternelle, il s’agit effectivement de corriger d’une part, et de le faire fraternellement d’autre part.
Jésus Lui-même a-t-Il enseigné la Correction Fraternelle?
A cette question, selon la Bible, la réponse est oui.
Dans l’Évangile de Matthieu, en effet, il est écrit:
«Si Ton frère vient à pécher {contre Toi}, va le trouver et reprends le, seul à seul. S’il T’écoute, Tu auras gagné Ton frère. S’il n’écoute pas, prends encore avec Toi un ou deux autres, pour que toute affaire soit décidée sur la parole de deux ou trois témoins. Que s’il refuse de les écouter, dis-le à la communauté. Et s’il refuse d’écouter même la communauté, qu’il soit pour Toi comme le païen et le publicain. En vérité Je vous le dis: Tout ce que vous lierez sur la Terre sera tenu au Ciel pour lié, et tout ce que vous délierez sur la Terre sera tenu au Ciel pour délié.» (Matthieu XVIII, 15-18).
A remarquer que le « contre Toi » est volontairement placé entre accolades, parce que cela dépend des traductions. Dans la plupart des traductions (voir, par exemple, ici ou ici, la différence entre la Traduction de Louis Segond et la Bible du Semeur et d’autres encore…) il n’y a pas de « contre Toi »; il est donc à supposer que cela a été ajouté par l’un ou l’autre des traducteurs. Il semble bien que le péché soit ou non contre soi il convient d’aller pareillement trouver le pécheur et de le reprendre.
Mais combien de fois un pécheur doit-il être pardonné, notamment s’il s’agit de la même faute? A cette question aussi Jésus répond:
«Prenez garde à vous-mêmes! Si Ton frère a commis un péché, fais-lui de vifs reproches, et, s’il se repent, pardonne-lui. Même si sept fois par jour il commet un péché contre Toi, et que sept fois de suite il revienne à Toi en disant: “Je me repens”, Tu lui pardonneras.» (Luc XVII, 3-4).
Le pardon doit donc être donné non seulement sept fois de suite mais même – en cas de besoin – soixante-dix-sept-fois sept fois. Encore faut-il, toutefois, bien sûr, que la demande de pardon soit sincère. Une demande de pardon dépourvue de sincérité, du fait de son état intérieur hypocrite, ne permet naturellement pas au demandeur d’en recevoir tout le réel bénéfice.
En lisant les Évangiles il est possible de voir que Jésus Lui-même corrige Ses Apôtres à différentes reprises: Par exemple, Il les réprimande lorsqu’ils font preuve de jalousie en voyant quelqu’un chasser les démons au Nom de Jésus (Marc IX, 38-40). De même Il blâme sévèrement l’Apôtre Pierre en lui disant que sa façon de penser n’est pas celle de Dieu mais celle des êtres humains (Matthieu XVI, 23). Pareillement, il stoppe net l’ambition de la mère de Jacques et de Jean – fils de Zébédée – accompagnant leur mère, corrigeant avec Amour leur incroyable présomption. Le même épisode est aussi rapporté – avec, en plus, la référence au Baptême – dans l’Évangile de Marc (Marc X, 35-40).

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Le Grand Virage

Le Grand Virage

Le Grand Virage

Imaginez un T.G.V., prévu pour rouler à trois cents kilomètres à l’heure sur une voie spéciale et en ligne droite, emprunter subitement, suite à une erreur d’aiguillage, une petite voie secondaire de montagne prévue pour une petite « Micheline » devant la parcourir à soixante kilomètres à l’heure.

Au bout de quelques kilomètres se présente un Très Grand Virage, alors que le mécanicien vient tout juste de se rendre compte de ce qui se passe. Le Grand Virage n’est plus qu’à quelques centaines de mètres et se « rapproche » à toute allure… Que va-t-il arriver? Peut-être avez-vous une idée à ce sujet?

Peut-être aussi vous demandez-vous maintenant ce qu’est ce T.G.V.? Le Train à Grande Vitesse dont il s’agit ici, c’est le vaisseau « Terre » fonçant à travers l’Univers sidéral. Et cette Terre Grouillante de Voyageurs se précipite à Très Grande Vitesse à sa perte. Quant aux Voyageurs embarqués sur le navire Terre, c’est vous et moi, tous dans le même bateau!

Il avance à travers l’espace cosmique ce peu glorieux navire, en passe de ressembler bientôt au «radeau de la méduse». Qui est le capitaine? Nous l’ignorons. Beaucoup se disputent le manche. Autant dire qu’il n’y en a pas. L’équipage ne sait à qui ni à quoi obéir; les passagers, impuissants, ne savent à quel saint se vouer.

En fait, personne n’a de carte à bord; personne ne sait plus où est le Nord. Certains implorent un Guide, d’autres se jettent par-dessus-bord pour ne pas être là lorsque le Train arrivera au Grand Virage qu’ils entraperçoivent dans le lointain. D’autres disent: «Buvons et mangeons pendant qu’il y a encore de quoi; dansons pendant que nous sommes encore en vie; étourdissons-nous pour oublier la fin qui approche!».

Telle est – globalement résumée – la situation de notre planète en ce début du troisième millénaire après Jésus-Christ. Toutes les courbes convergent vers la rupture des grands équilibres mondiaux. Qu’est-ce qui craquera en premier? Impossible à dire. Mais plus le Train du Grand Voyage approche du Très Grand Virage qui s’annonce, plus il devient possible de discerner ce qui se prépare: un Très Grand Vide! Ou plus précisément un grand nettoyage par le vide pour purifier cette planète tourmentée, alourdie, salie par ses habitants.

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Mallona – La Sagesse du Roi Muhareb

Mallona – La Sagesse du Roi Muhareb

Mallona – La Sagesse du Roi Muhareb

Il y avait autrefois une planète qui orbitait entre Mars et Jupiter. Cette planète, appelée Mallona – qui manque aujourd’hui dans notre système solaire selon la loi de Titius et Bode (valable de Mercure à Uranus inclus) -, a jadis explosé. Il n’en subsiste plus de nos jours qu’une ceinture d’astéroïdes, dont le plus gros s’appelle Cérès. C’est l’histoire de la fin de cette planète – dite « planète d’Olbers » (du nom de celui qui, le premier, émit l’hypothèse de son existence passée)(de nos jours il reste une comète portant ce nom) – que nous raconte ce livre fantastique.
Extrait de la Préface de M. Kahir
« Témoignages d’une catastrophe d’une incommensurable ampleur, les débris d’une planète anéantie continuent d’orbiter sans cesse dans notre système solaire, tels des corps cosmiques d’où s’est retirée la vie. Là où, aujourd’hui encore, des nuées d’astéroïdes poursuivent leurs cycles éternels, il dut se produire, à une époque préhistorique, une tragédie sur laquelle est tombé le voile d’un mystère apparemment insondable.
Ce n’est d’abord que par déductions logiques que les astronomes ont pu élaborer une hypothèse relative à un tel événement cosmique. Les traces gigantesques de cet événement ne commencèrent en effet à émerger de la nuit que lorsque la photographie astronomique apporta de plus en plus de preuves du bien fondé de la théorie. » (…).
Ce thème est apparu tout d’abord à plusieurs reprises dans l’œuvre d’un mystique autrichien nommé Jakob Lorber, qui, vers le milieu du siècle dernier, reçut par la voie de l’inspiration des messages relatifs à de nombreux mystères de la Création. Dans son œuvre intitulée « Le Grand Évangile de Jean », œuvre qui comprend dix volumes, l’on trouve, à plusieurs reprises, des indications au sujet d’une ancienne grande planète de notre système solaire. Cette planète, à la suite des menées d’une humanité techniquement très évoluée, mais devenue moralement foncièrement mauvaise, fut la proie de la folie destructrice de l’humanité qui l’habitait.
Il est en l’occurrence d’un grand intérêt de confronter les indications de Lorber relatives à la constitution de cette planète et les constatations de l’astronomie au sujet des astéroïdes actuellement connus. Lorber écrit entre autre ce qui suit:
«Au début de la sixième période terrestre, cette planète, plus tard anéantie, orbitait, entourée de ses quatre satellites, entre Mars et Jupiter. Au point de vue dimensions, elle était proche de Jupiter, mais elle possédait cependant une atmosphère plus haute, de même qu’une inclinaison de ses pôles plus accentuée, ce qui lui conférait une orbite plus oblique autour du soleil. Lorsque intervint sa destruction, son explosion divisa l’ensemble de la planète en de nombreux morceaux plus ou moins volumineux. Seuls ses quatre satellites demeurèrent entiers [Ce sont les 4 plus gros astéroïdes encore aujourd’hui observables. (Note de M. Kahir)]. Mais, du fait qu’ils avaient perdu leur centre gravitationnel, leur mouvement sombra dans le désordre, et ils s’éloignèrent de plus en plus les uns des autres parce que, à la suite de l’explosion, ils subirent une forte poussée due à la déflagration. Les débris de la planète centrale se dispersèrent dans le vaste espace compris entre Mars et Jupiter. Un grand nombre de plus petits débris s’éloignèrent encore davantage. Quelques-uns tombèrent sur Jupiter, d’autres sur Mars, quelques-uns même sur la Terre, la Lune, Mercure, Vénus et le Soleil. Sur les débris, il n’y a plus de vie organique, seulement l’érosion et une lente désintégration.». (…)
« Tout ce qui passe n’est que symbole! » disait Goethe. Et c’est ainsi que le sens profond du drame de la fin d’une planète est, certes, une réalité, mais n’est, simultanément, que le reflet de la Vérité éternelle qui agit derrière elle…

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La transverbération existe-t-elle?

La transverbération existe-t-elle?

La Transverbération existe-t-elle?

Un phénomène peu courant relevant du mysticisme
La transverbération est un phénomène, très certainement réel, souvent qualifié de « mystique », peu connu, ressemblant aux stigmatisations mais différent d’elles dans la mesure où la cause n’est pas directement le karma de la personne concernée ou encore sa volonté de prendre part à la crucifixion de Jésus ou l’identification faite à Jésus crucifié, mais serait plutôt un fulgurant « amour » pour Dieu ou pour Jésus ayant pour effet, oui, de … « percer le cœur »!
Le mot « transverbération » vient du verbe latin « transverberare » qui signifie «traverser de part en part  avec une épée ou un couteau» (de «trans» «à travers», et «verberare» «battre», «frapper»). Certains dictionnaires le définissent ainsi: «blessure au cœur sans conséquences mortelles». Dans son Épitre aux Galates, l’Apôtre Paul indique se sentir – par son Amour du Christ – crucifié avec le Christ: «J’ai été crucifié avec le Christ, si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi.» (Galates II, 19-20). Mystique, Paul?
Les deux sortes de stigmatisations
Comme nous l’avons déjà vu, il y a deux sortes de stigmatisations: les vraies stigmatisations – lesquelles sont aussi des avertissements adressés à l’humanité – dont la cause est karmique et les (fausses) stigmatisations (aux effets généralement plus faibles) dues à l’autosuggestion.
Les vrais stigmatisés – comme François d’Assise, Padre Pio, Therese Neumann, Marthe Robin – n’étaient ou ne sont que des êtres humains marqués, portant une culpabilité personnelle à l’égard de Jésus en tant que Fils de Dieu! Les autres cas – généralement moins spectaculaires -, parfois, peuvent survenir, du fait de l’autosuggestion, par fanatisme religieux. Même si elle est fausse, la croyance est tellement forte qu’elle finit par s’imprimer jusque dans le corps terrestre!
La transverbération laisse des marques dans le corps gros-matériel
La transverbération désigne donc le transpercement spirituel du cœur par un trait enflammé d’amour, éventuellement accompli par un Ange. Dans la tradition catholique, en fonction des écrits qualifiés de « mystiques », la «transverbération» du cœur du – ou de la – fidèle est un processus par lequel Dieu augmenterait – tout en le purifiant – l’amour dans le cœur de la personne croyante. Cet événement « mystique » laisse, tout comme des stigmates, des marques gros-matériellement visibles sur le corps de la personne ainsi atteinte.

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Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

L’Assomption existe-t-elle?

Le 15 Août de chaque année, l’église catholique fête l’ « Assomption » de la Vierge Marie dans le Ciel. Le mot « Assomption » a ici sensiblement le sens de « Ascension » mais appliqué à Marie, au lieu que ce soit à Jésus.
Dans le cadre du « culte des saints » cela fait partie du culte rendu à Marie, considérée comme la « Mère de Dieu ». L’église orthodoxe promeut une croyance similaire appelée « Dormition ». Parfois, le mot « Dormition » ne désigne que la croyance dans une mort béatifique.
Cette conception d’un corps terrestre pouvant s’élever dans les Cieux est également présente dans la croyance en la résurrection charnelle de Jésus de même que, de façon générale, dans la croyance en la résurrection de la chair, croyances faisant l’objet de dogmes et également présentes dans l’église catholique.
La croyance dans l’Assomption de la Vierge est fondée non sur la Bible mais seulement sur des écrits apocryphes tardifs, comme celui du Pseudo-Jean, intitulé « Sur la mort de Marie » (remontant  au IVème siècle, voire au Vème siècle).
Selon la tradition, la Vierge, alors été âgée de cinquante-neuf ans, serait décédée onze ans après la crucifixion de Jésus. Son enveloppe charnelle aurait alors été enterrée non loin du lieu où Jésus aurait vécu son agonie, donc juste à côté du Jardin de Gethsémani, à l’Est de Jérusalem.
Son tombeau vide est toujours visible dans le lieu appelé Sépulcre de la Vierge Marie. D’autres affirment, cependant, que la Vierge serait décédée dans un lieu correspondant à l’emplacement de l’Abbaye de la Dormition, également à Jérusalem.

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