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La bataille des consciences

La bataille des consciences

La bataille des consciences

Dans l’être humain une « bataille des consciences » fait rage. En principe, la conscience est une. Mais, dans la réalité, c’est rarement le cas. De haut en bas – comme nous l’avons déjà vu -, il y a trois consciences principales:
La conscience spirituelle.
La conscience intellectuelle.
La conscience sentimentale, aussi appelée: « conscience émotionnelle ». Il faut, toutefois, préciser ici qu’il s’agit là des émotions au sens inférieur et non des véritables émotions (é-motion = mouvement de l’esprit), qui sont, en fait, des mouvements de l’âme.
A ces trois consciences de base l’on pourrait aussi ajouter une quatrième conscience: la conscience instinctuelle, liée au corps gros-matériel et à ses instincts. Cette conscience instinctuelle est proche de la conscience animale.
Dans le monde « moderne » actuelle la conscience de l’ « être humain moyen » est une fausse conscience pouvant être qualifiée de sentimentale. Cela veut simplement dire que c’est le sentiment qui domine dans la conscience courante de l’être humain, généralement appelée conscience diurne.

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Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Au centre du village, la jeune fille était à la fontaine et puisait de l’eau. Son sac sur le dos, le randonneur était arrivé sur la place et, assoiffé, regardait la fontaine. Il attendait que la place soit libre pour étancher sa soif…
En attendant, il regardait la jeune fille. Elle était très belle. Brune, élancée, avec une naturelle distinction. Elle portait aussi un voile sur la tête, couvrant en partie sa longue chevelure d’un noir de jais.
Lorsqu’elle eut rempli sa cruche, elle regarda autour d’elle – avait-elle aperçu le jeune randonneur ? – puis prit un chemin se dirigeant vers l’extérieur du village. Sylvain – c’était le nom du jeune randonneur – se dirigea rapidement vers la fontaine, but encore plus rapidement une gorgée d’eau fraîche, puis, à distance respectueuse, emboîta le pas à la jeune fille…
Marie – c’était le nom de la jeune fille – arriva à un embranchement : à gauche cela conduisait chez elle où habitaient aussi ses parents ; à droite cela menait vers un bois au pied d’une petite montagne. Elle bifurqua à droite.
Sylvain, lui aussi, obliqua vers la droite… En fait, en tant que randonneur, il n’avait pas d’objectif précis ; il allait, tout simplement, vers ce qui l’attirait… Et, pour l’heure, ce qui l’attirait, plutôt que le paysage, c’était un être humain, une merveilleuse jeune fille…
La jeune fille continuait son chemin, sa cruche d’eau pleine contre sa poitrine. En fait, il n’était pas très logique d’emmener sa cruche d’eau avec elle pour aller dans les bois – l’eau c’était plutôt pour la maison –, mais, partir vers le bois, au départ, ce n’est pas ce qu’elle avait prévu.
Le chemin décrivait une large courbe allant vers la droite, avant de progressivement s’enfoncer dans le bois… Marie marchait d’un pas vif mais sans hâte, elle était en promenade et regardait autour d’elle, accueillant les bruits et les impressions de la Nature, ramassant un champignon, ici ou là.
Marchant doucement, adaptant ou adoptant son pas, Sylvain la suivait à quelques centaines de mètres. À aucun moment Sylvain ne la vit tourner la tête pour regarder derrière elle, mais il aurait juré qu’elle savait qu’il se trouvait derrière elle.
Marie passa la lisière du bois et commença à pénétrer sous la chênaie. De nombreux oiseaux chantaient dans les ramures, dont des rouge-gorge.
Lorsque Sylvain eut, à son tour, pénétré dans le bois, tout d’abord il ne la vit pas. S’était-elle cachée ?
Soudain, il la vit. Son vêtement brun se confondait avec l’environnement ; c’est pour cela qu’il ne l’avait pas, tout d’abord, vue. Elle était assise sur une pierre et lui tournait le dos aux trois quarts.
Il s’approcha, à pas mesurés. Son cœur battait plus fort…
C’est seulement lorsqu’il fut à à peine une dizaine de mètres d’elle qu’elle se tourna vers lui en levant les yeux. Était-elle surprise ? Rien, dans son regard ou son attitude ne permettait de l’affirmer.
Sylvain, qui, déjà, marchait lentement, ralentit son pas encore davantage, jusqu’à finir par s’arrêter complètement, à quelques mètres d’elle …
Leurs regards se croisèrent et se pénétrèrent. Longuement. Le silence dura plusieurs minutes. Juste un regard mutuel.
L’initiative venant manifestement de Sylvain, c’était à Marie d’exprimer ou non son accord. Elle demeura silencieuse encore un bon moment, sans bouger. Sylvain aussi restait immobile, le regard fixé sur elle, son sac toujours sur le dos.
Alors, elle fit un geste et tendit sa gracieuse main à elle dans sa direction à lui. C’était clairement une acceptation. Sylvain posa son sac dans la mousse à ses pieds. Puis il s’approcha, avec une respectueuse timidité, encore plus lentement qu’il ne l’avait fait jusqu’ici.
Toujours assise, elle resta la main tendue jusqu’à ce qu’il se tint, debout, tout proche d’elle. Alors, il s’accroupit et même s’agenouilla, se tenant ainsi à la même hauteur de visage qu’elle… C’est alors qu’il lui prit la main…

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Le Voyage vers la Joie

Le Voyage vers la Joie

Le Voyage vers la Joie

Josef Kovář

Tous les efforts des êtres humains, qu’ils soient philosophiques, intellectuels ou spirituels, doivent être orientés vers un seul But: Connaître les Lois qui régissent la Nature, dans lesquelles nous découvrons la Volonté et la Justice du Créateur, et, en fonction de cette Volonté, d’arranger toute notre vie pour bien aller. C’est-à-dire {aller} dans la Paix et l’Harmonie.
Cela peut et doit être réalisé par tout être humain qui voudra vivre sur cette Terre, au cours d’une Nouvelle Ère, en laquelle les Lois de la Nature, ne tolèrent pas les perturbateurs de la Paix et de la tranquillité – qu’ils soient de nuances plus fines ou plus grossières – et les exclut auto-activement pour que ceux qui désirent vivre correctement dans la Volonté de Dieu puissent enfin, librement respirer.
La Joie est une attitude de l’âme. Aucun d’entre vous n’a jamais vu le noyau, l’essence de la Joie, car il n’est pas formé de matière solide et visible. Mais chacun peut ressentir la Joie. Il sait quand il en est comblé et ce que le corps ressent dans la Joie – {comme} un visage joyeux, des yeux brillants, un pas joyeux, le {fait de} chant{er}, la volonté d’aider, de servir, de tirer {spirituellement} profit, le fait d’essuyer une larme, de choyer là où cela est nécessaire – ce ne sont {là} que des effets d’un état de Joie.
La Joie est donc d’un genre plus fin, invisible, mais personne ne peut jamais la nier.

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L’hypocrisie

L’hypocrisie

L’hypocrisie

 « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu. »
– François de La Rochefoucauld –

Qu’est-ce que l’hypocrisie?
L’hypocrisie consiste à faire semblant. Autrement dit à essayer de faire croire à autrui l’existence de quelque chose, qui, en réalité, n’existe pas. Et, en général, il s’agit surtout de faire croire à autrui que l’on possède des vertus, des qualités, des facultés ou des capacités qu’en réalité l’on ne possède pas. De nombreux êtres humains, très souvent, vivent dans l’hypocrisie ou l’hypocrite tromperie de soi-même. De façon générale, sachant que « Le peuple est en haut, la foule est en bas » (Victor Hugo), les masses humaines sont généralement hypocrites.
Le mot « pharisiens » est devenue synonyme d’hypocrites mais aussi d’orgueil, de malice, voire de perfidie. Qu’est-ce qui pousse à se montrer hypocrite? Certes l’orgueil, la présomption consistant à croire ou à faire croire que l’on peut réaliser des tâches qu’en réalité l’on n’est pas capable d’accomplir, la prétention consistant à s’imaginer devoir recevoir des hommages ou des rétributions qui, en réalité, ne sont pas dus, mais principalement la vanité consistant à vouloir avoir l’air de plus que ce que l’on est et aimant la flatterie.
A l’inverse existent la modestie consistant à avoir une petite conception de soi-même et de ses besoins et, en conséquence, à se contenter de peu, et l’humilité consistant à reconnaître sa petitesse face au Créateur et à la Création. Seuls l’orgueilleux, le présomptueux, le prétentieux et le vaniteux peuvent se montrer hypocrites. La diplomatie elle-même n’est trop souvent qu’hypocrisie et fausseté.
En examinant avec sérieux les actes des êtres humains en relation avec leurs intentions, il est trop souvent possible de trouver, chez maint être humain, derrière un masque hypocrite, leur vrai visage qui, parfois, ne peut susciter que dégoût et tristesse, surtout pour ceux qui, de la part de leurs prochains, s’étaient imaginé tout autre chose!

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Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme … en robe!

Il y a des évidences tellement simples que plus personne n’en parle! En un tel domaine il n’y a strictement rien à prouver: Où un être humain – en particulier ici une femme -, non avec son intellect mais avec son intuition, est capable de percevoir ou de ressentir immédiatement la vérité d’une telle sentence ou bien il ou elle ne l’est pas!

S’il ou elle ne l’est pas, c’est possiblement – voire probablement – que des idéologies matérialistes mortifères – comme, par exemple, le wokisme – sont passées par là. La destruction des Vraies Valeurs de la Vie comme le rôle spécifique de la femme (dont – en dépit de son caractère sacré – la maternité n’est pas le plus important!), le foyer, la famille, etc., fait, à l’évidence, partie du nouvel ordre des barbares [page privée et protégée par un mot de passe à demander à la rédaction du site].

Certes – tout comme l’habit ne fait pas le moine – porter une robe (ou une jupe) ne suffit pas à faire une femme, mais une femme toujours en pantalon (on ne parle pas ici de circonstances exceptionnelles pouvant justifier le port occasionnel d’un pantalon) et jamais en robe montre, à l’évidence, qu’elle n’aspire pas à la féminité.

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Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

“La seule chose qui vaille, c’est l’intuition.”
– Albert Einstein –

Mais de quoi parle-t-on, enfin?
Infiniment nombreuses sont les personnes qui considèrent les actions de la vie quotidienne comme le fruit unique du cerveau qui produit l’intellect, d’où découlent les pensées, les sentiments et l’imagination. Avec son concours, nous agissons et combinons habilement techniques et outils pour élaborer, construire et bâtir les divers domaines de la science. Journellement, nous transformons nos “œuvres“ mentales en réalisations pratiques privées ou professionnelles. Le cerveau est donc grandement appréciable et sa valeur est jugée indiscutable. Il aura fallu tout le vingtième siècle et des recherches considérables entrecoupées de tâtonnements incertains et de nombreuses contradictions pour apprendre à mieux connaître cet instrument remarquable. Au vingt et unième siècle, les hommes voient en lui le sommet, l’achèvement de ce qu’est l’homme. Ils en sont désormais convaincus, leur cerveau est l’esprit, et ils font tout ce qu’il est scientifiquement possible pour s’en persuader. Ainsi, un formidable engouement fébrile pour les neurosciences et les biotechnologies s’est emparé de milliers de chercheurs qui espèrent voir, en ce domaine, l’aboutissement et la consécration de leurs travaux. Sous l’emprise des découvertes technologiques, de la curiosité et du sensationnel médiatiques, de la mise en avant des personnes et l’appât démesuré du gain, des entreprises investissent à fond dans le créneau des sciences du cerveau, dans l’espoir, à terme, d’une fusion cyborgienne, apothéose de toutes leurs ambitions.
Ce cerveau est une masse organique. Il est composé de cent milliards de neurones interconnectés entre eux par des synapses. Il occupe environ un volume de 1200 cm3 et son poids avoisine 2,2% du poids total du corps, c’est-à-dire en moyenne 1400 grammes pour un cerveau masculin et 1280 grammes pour un cerveau féminin. Il atteint 90% de son poids définitif entre 4 et 6 ans. C’est un gros consommateur d’oxygène absorbant plus de 18% de la consommation totale du corps et il utilise 15% du débit cardiaque. Dotée d’une extraordinaire complexité, il fonctionne selon un codage réalisé par une succession plus ou moins irrégulière de signaux chimiques appelés neurotransmetteurs qui produisent des tensions électriques faibles de l’ordre du millivolt. L’appellation “matière grise” provient de la couleur de ses deux hémisphères. Le cortex cérébral se développe vers la 25e semaine de la grossesse. Du point de vue physique, le développement du cortex associatif et l’épanouissement du lobe frontal sont des spécificités de l’homme qui marquent nettement la différence qui existe entre les humains et les primates. Des découvertes physico-chimiques successives laissent à croire que tous les secrets du cerveau seront bientôt percés, en particulier ce que sont l’esprit et l’intuition. S’ajoutant à ces découvertes, de nouvelles connaissances en informatique et en électronique ont permis de concevoir l’“intelligence artificielle” connue sous le sigle I.A. Certains experts disent même qu’avec l’IA ils sont ainsi parvenus à extraire du cerveau un « modèle d’intelligence désincarnée”.
Puissant outil, désormais présent partout. Si certains craignent ses effets, d’autres, par contre, promettent d’atteindre, grâce à elle, le sommet de ce que le cerveau véhicule. Ils affirment pouvoir prouver la réalité du phénomène intuitif, qu’ils situent dans le cerveau. “Et bientôt, on va parler de logique intuitionniste, de manière à apporter par la preuve et la vérification la réalité de l’intuition humaine”, expliqua en son temps le professeur Maurice Trévoux, qui fut chef de service au groupe hospitalier Henri Mondor/Albert Chennevier.

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Les arbres parlent

Les arbres parlent

Les arbres parlent

1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.

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Le Pacte de Pureté

Le Pacte de Pureté

Le Pacte de Pureté

Le Pacte de Pureté – souvent confondu avec un pacte de virginité ou encore avec un pacte d’abstinence – serait un engagement religieux à la virginité jusqu’au mariage. Manifestement, ce « Pacte de Pureté » témoigne d’un sincère aspiration à la Chasteté, mais cette aspiration en soi louable suit-elle vraiment la bonne direction?, cela reste à examiner…
Selon Wikipédia, durant l’adolescence, de jeunes Chrétiens évangéliques sont invités à formuler un « pacte de pureté » durant une cérémonie en public, s’engageant ainsi à l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage chrétien. Ce pacte est souvent symbolisé par une bague de pureté. Les tenants du pacte de pureté s’inspirent de la notion de pureté sexuelle, qui, selon la Première Épitre aux Thessaloniciens de l’Apôtre Paul passerait notamment par l’abstinence sexuelle avant le mariage.
Toujours selon Wikipédia, « Certaines organisations chrétiennes évangéliques américaines, comme Focus on the family, fondée en 1977, ou Promise Keepers, fondée en 1990, ont fait la promotion de la virginité dans leurs programmes. Ce n’est toutefois qu’avec True Love Waits, fondée en 1993 par la Southern Baptist Convention, qu’une organisation s’est spécialisée dans la promotion de l’abstinence sexuelle avant le mariage avec les pactes de pureté. Par la suite, d’autres ont suivi, comme Silver Ring Thing, en 1995. La bague de virginité a également été intégrée au mouvement. ».
La vraie Pureté
La première question fondamentale qui se pose ici est d’abord: La Pureté – qui, au niveau humain, se vit par la Chasteté – est-elle synonyme de virginité? Ou, inversement, la virginité est-elle synonyme de Chasteté? A ces deux questions la réponse est clairement non: Qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme, l’on peut être vierge sans être chaste, de même que l’on peut être chaste sans être vierge! Ces deux réalités ne se confondent pas, du moins pas toujours.

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La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La salle de la conférence était comble pour ce congrès sur le thème de la transcommunication, car les organisateurs avaient invité plusieurs auteurs connus spécialisés dans la communication avec les morts. Quatre cents personnes venues de tous les coins du pays écoutaient avec une certaine religiosité les propos des expérimentateurs. Les explications et les expériences des uns et des autres mettaient en évidence les progrès de la transcommunication sur le plan de la connaissance de l’au-delà, des rapports avec les défunts et des différentes techniques utilisées. Les amateurs et les spécialistes de cette parascience puisent leurs ressources dans le spiritisme et la technique. Ils jurent d’avoir un mobile puissant et louable pour justifier leur action: apporter la preuve que l’au-delà existe parce que les morts parlent et, simultanément, parvenir à démontrer que la vie continue autrement après la mort. Les intervenants assuraient qu’ils abordaient cette pratique avec beaucoup d’humilité et d’amour. Un tel discours ne pouvait que recevoir l’approbation générale du public, par ailleurs déjà acquis. Un orateur évoqua les problèmes et les peurs vécus, quelques auditeurs témoignèrent aussi de quelques dangers. Ces témoignages étaient accueillis avec une grande attention par le public. Mais la force d’attraction du sensationnel l’emportait sur le bon sens et sur l’intuition. C’est un peu comme pour les accidents de la route. Ces histoires n’arrivent qu’aux autres… pourquoi s’y attarder !
Il régna un moment pathétique lorsqu’une dame témoigna de sa terrible expérience expliquant qu’elle était hantée par la voix de son mari qui l’implorait de venir le rejoindre dans la mort, il exigeait d’elle qu’elle se donne la mort, tout comme il l’avait fait quelque temps auparavant. Au fil des mois, continua-t-elle à raconter, d’autres voix étaient venues la perturber. Elle sentait comme un trou à l’arrière de sa tête (elle désigna son cervelet avec sa main droite). Elle sentait que par ce trou, des voix s’engouffraient dans son cerveau. Réduite à ne dormir que deux à trois heures par nuit, elle en était venue, à son corps défendant, à vivre un horrible calvaire tant elle était soumise, à chaque heure du jour et de la nuit, à ces voix venues d’outre-tombe. Certains auditeurs, fort attentionnés, lui conseillèrent de prier, ce qu’elle semblait ne jamais faire ou ne pas savoir faire. Un intervenant proposa au public de réaliser une prière collective silencieuse, dans l’espoir de pouvoir libérer cette femme de ses liens nocifs avec l’au-delà.
Plus tard, lors de son intervention, un expérimentateur affirma avec le sourire qu’il était un “drogué” de la transcommunication, qu’il était accoutumé et que, pour rien au monde, il n’arrêterait sa pratique. Il en connaissait en partie les dangers en ayant déjà subi un préjudice qu’il n’osa pas décrire. Mais rien n’y ferait, c’était devenu sa folle passion, même si pourtant, quelque chose le mettait en garde, il continuerait…
Face à l’attitude et au comportement d’un certain public, il y a nécessité de faire œuvre salutaire en expliquant quels sont les phénomènes réellement en jeu dans le processus de la transcommunication. Commençons en précisant qu’il s’agit d’une variante moderne du spiritisme.

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