Ecole de l'art de vivre

Notions Justes

  1. Adorer Dieu Avec cet article, pour tous ceux qui aspirent à la Lumière, on peut affirmer sans se tromper que…

  2. Un texte très pertinent qui balaye les questions essentielles et donne le goût de vivre des expériences. Je partage mon…

  3. L’Effet Protecteur de l’Aura Un autre effet de la manifestation de l'amour incommensurable du Créateur nous est montré ici. L'être…

  4. Dignité royale Un vibrant appel à devenir un véritable esprit humain conscient de lui! Tout un chacun à la possibilité…

  5. "La réincarnation de l’adolescente décédée" Vivre une telle expérience permet de vivre la réincarnation comme une évidence naturelle.

  6. La relation de cause à effet en retour sur la personne a bien été ressentie comme juste en intuition par…

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L’enfance

L’enfance

L’enfance

« Laissez venir à moi les petits enfants! »
– Jésus-Christ –

« Le génie n’est que l’enfance retrouvée à volonté. »
– Charles Baudelaire –

Amour, famille, foyer, fécondité, féminité, maternité, enfants…
Nous avons déjà parlé de la vie amoureuse des aspirants à la Lumière, de la famille et du foyer, de la fécondité, de la féminité, de la maternité. Nous avons aussi examiné la conception de l’enfant selon le poète Alphonse de Lamartine. Il est sans doute temps que nous parlions maintenant de l’enfance et des enfants, ainsi que de leur éducation.
Ce dont il faut d’abord être conscient c’est que – quelles que puissent être les circonstances de la naissance – l’arrivée d’un enfant – pour les parents, les éventuels frères et sœurs, et tout l’entourage de façon générale – est toujours une Bénédiction. Il n’est aucun mal qui – sous l’effet d’un bon vouloir – ne puisse se transformer en Bien!
La Justice lors des naissances
Lorsque l’on observe toutes les naissances d’enfants autour de soi ou à distance, l’on peut voir des conditions très différentes. Certains enfants naissent laids, pauvres, malades, tandis que d’autres naissent moches, dans l’opulence et avec une rayonnante santé. Or, comme le disait Fernand Raynaud: « Il vaut mieux être beau, intelligent, bien portant et riche que moche, bête, malade et sans le sou ».
Du fait de l’absence de mémoire vis-à-vis des vies antérieures – tant de la part des intéressés que de leur entourage – les enfants sont souvent considérés comme « innocents ». Bien évidemment, il n’en est rien. Ce n’est pas parce que l’on ne souvient pas intellectuellement (et pour cause: le cerveau n’est plus le même!) des offenses envers Dieu ou du mal que l’on a causé à autrui que ces mauvaises actions n’ont pas existé ou sont déjà expiées.
Naturellement, si la Justice Divine existe – ce qui, même si « Les Meules de Dieu moulinent lentement mais sûrement », bien évidemment, est le cas -, une telle inégalité apparente dans les conditions de naissance ne peut s’expliquer que par le karma et la réincarnation. Tout ce qui arrive a une raison d’être. Tout est Amour et Justice. Tout est Grâce.
L’enfant: un étranger
Il a beau « être de la famille », l’enfant est, en fait, un étranger pour ses parents. Il s’agit, en effet, d’une âme indépendante, avec ses propres aspirations, ses propres caractéristiques et son propre destin. De même, toutefois, qu’il y a une communauté de destin entre les membres d’un même peuple, les habitants d’un même village, les passagers d’un même avion, d’un même navire ou d’un même autobus, il y a aussi, pour un temps donné, une assez étroite communauté de destin entre les membres d’une même famille.
Ce n’est, toutefois, que pour une incarnation terrestre donnée, soit, en moyenne, quelques décennies de temps terrestre. Une fois revenu dans l’Au-delà, les liens familiaux en tant que tels ne comptent plus pour rien. Toutefois, des liens fin-matériels peuvent continuer à exister ou à subsister entre les âmes en fonction de la notion que l’on en a conservé. Cela devient de l’Amitié.

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Les Vraies Valeurs de la Vie

Les Vraies Valeurs de la Vie

Les Vraies Valeurs de la Vie

«Il ne faut pas regretter que tout soit éphémère en ce Monde,
car l’éphémère, lorsqu’il nous touche vraiment,
éveille en nous l’impérissable.»
– Friedrich Hebbels –

Introduction
Pour Qui et pour quoi cela vaut-il la peine de vivre?
En essayant de percer Le Secret du Bonheur nous avons déjà vu ce que, au sujet du sens de la vie, dit Antoine de Saint-Exupéry:
 «Seul l’Esprit, s’il souffle sur la glaise, peut créer l’Homme.»
 «C’est l’Esprit qui mène le Monde, et non l’intelligence.»
«Au fond il n’existe qu’un seul et unique problème sur Terre.
Comment redonner à l’humanité un sens spirituel,
comment susciter une inquiétude de l’esprit.
Il est nécessaire que l’humanité soit irriguée par le Haut
et que descende sur elle quelque chose
comme un chant grégorien.
On ne peut plus continuer à vivre en ne s’occupant
que de frigidaires, de politique,
de bilans budgétaires et de mots croisés.
On ne peut plus progresser de la sorte.»
«Ah! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde.
Rendre aux hommes une signification spirituelle,
des inquiétudes spirituelles.
Faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble
à un chant grégorien.
Si j’avais la foi, il est bien certain que,
passé cette époque de «job nécessaire et ingrat»,
je ne supporterais plus que Solesmes.
On ne peut plus vivre de frigidaires, de politique,
de bilans et de mots croisés, voyez-vous!
On ne peut plus.
On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour.».

A la découverte des Vraies Valeurs de la Vie
Ce que dit Antoine de Saint-Exupéry constitue une bonne entrée en matière, lorsqu’il s’agit de reconnaître le «Triple V»: Les Vraies Valeurs de la Vie.
Oui, quelles sont-elles, ces vraies Valeurs qui méritent que l’on vive avec elles, par elles et pour elles?
Pour une première approche de ce que peuvent être les Vraies Valeurs de la Vie, considérons quelques Paroles de Victor Hugo:

 «Le Peuple est en haut; la foule est en bas.»
«Le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre.»
«Le Printemps est dans mon cœur; l’Hiver est sur ma tête.»
«L’homme fort dit: Je suis. Et il a raison: Il est.
L’homme médiocre dit également: Je suis.
Et lui aussi a raison: Il suit.»
«Ce n’est pas la chair qui est réelle, c’est l’âme.
La chair est cendre, l’âme est flamme.».

Pour ce qui est des Vraies Valeurs de la Vie, nous sommes conscients qu’il ne peut s’agir du matérialisme, du loto, du football et du tiercé.
Alors de quoi pourrait-il bien s’agir? Nous qui aspirons à recevoir d’authentiques Valeurs, comment devons-nous nous y prendre? Nous devons d’abord découvrir qu’il faut Donner pour Recevoir ou – plus précisément – que c’est uniquement dans le fait de Donner que réside la possibilité de Recevoir ou même de Prendre. Se donner à la Lumière permet de recevoir ses Bénédictions.

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Un baiser fin-matériel

Un baiser fin-matériel

Un baiser fin-matériel

Un baiser fin-matériel est-il possible?

Réponse en images

– Extrait de «Ghost» –

Il est connu de nombreux êtres humains que ce qu’il est convenu d’appeler l’Au-delà (lieu de séjour des désincarnés) est constitué d’une matière plus fine que la matière physique terrestre (matière grossière). L’Au-delà plus ou moins proche de la Terre est donc un monde de matière fine, un monde fin-matériel… Encore au-dessus se trouvent les Mondes Spirituels…
Mais pour un être de chair et de sang, incarné dans la grossière matière de la Terre, un «baiser fin-matériel» avec un être de l’Au-delà (privé de corps terrestre et portant donc comme enveloppe la plus extérieure son propre corps fin-matériel) est-il possible?
L’on trouve déjà la réponse dans l’extra-ordinaire récit sur la vie dans l’Au-delà «Franchezzo, un voyageur au pays des esprits»… On la trouve aussi, en images, dans l’extrait, ci-dessous visible, du film «Ghost» [«Esprit» / «Fantôme»] (au Canada: «Mon fantôme d’amour»)…

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La jouissance

La jouissance

La jouissance

Les jouissances et les plaisirs
Dans la Création l’être humain peut jouir de tout, dans le sens où la Création le lui donne. C’est, toutefois, très diversifié, dans la mesure où, dans la Création, tout a une valeur d’utilité multiple. Par exemple, un arbre peut, entre autres, servir à donner des fruits à manger, à grimper aux arbres, à y installer une cabane, à y fixer une balançoire, à fabriquer une armoire ou une étagère, à découper à un bâton, ou à se chauffer l’hiver, etc.
Il est, tout d’abord, à remarquer que, pour un esprit humain incarné dans la matière grossière sur une planète gros-matérielle comme la Terre, la jouissance concerne essentiellement l’enveloppe la plus extérieure de l’être humain incarné: son corps terrestre gros-matériel (le corps physique). C’est lui qui jouit. Uniquement au Paradis son esprit peut jouir des Beautés célestes.
Même sur Terre, il est, toutefois, aussi des jouissances d’une nature plus fine pouvant concerner le corps gros-matériel moyen (le corps astral) ou même le corps fin-matériel (enveloppe de l’âme). Jouissance et joie peuvent aller de pair, mais la joie ne doit jamais être une joie maligne (consistant généralement à se réjouir du malheur d’autrui).
La Chasteté – en tant que forme spirituelle-humaine de la Pureté – doit, cependant, présider à toutes les jouissances. Il n’est pas grand chose d’aussi affligeant que de voir un noyau spirituel humain emprisonné dans un corps gros-matériel se courber devant des désirs ou des instincts inférieurs. C’est juste immoral, impur et dégradant.
Étroitement liée à la première, une autre restriction fondamentale à cette possibilité de jouir de tout: Veiller à ce que la jouissance ne puisse jamais devenir une entrave pour la progression du noyau spirituel de l’être humain. Cela se produit, en particulier – nous y revenons ci-dessous -, lorsque la jouissance devient un penchant, autrement dit une addiction.
Une autre restriction fondamentale à la jouissance: Veiller à ce que la satisfaction d’un désir personnel n’occasionne jamais de souffrance à autrui. Tout individu qui est prêt à infliger de la souffrance à un co-être humain (le prochain) pour satisfaire un quelconque désir, à tous les coups, se provoque un karma.
Selon les Lois de la Création jamais il n’est possible d’infliger de la peine ou de la souffrance à autrui sans commettre une faute et donc sans s’occasionner un karma. Il est évidemment bien mieux de respecter le prochain uniquement par amour du prochain, mais aussi le fait de savoir que celui qui nuit à son prochain devra en  supporter les conséquences jusqu’à complète expiation et complet rachat peut ou doit aussi contribuer à lui faire suivre le juste Chemin…

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Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

Qu’est-ce que la Sainte Trinité?

En ce Dimanche  de la Sainte Trinité 2024 (Dimanche 26 Mai 2024) c’est l’occasion d’approfondir la Notion de Sainte Trinité.
Dans la Chrétienté, la Trinité Divine, aussi appelée Sainte Trinité c’est la Notion que DIEU, tout en étant Unique, Se compose maintenant de trois Personnes distinctes: le Père, le Fils et le Saint Esprit, les Trois ayant la même Valeur, et ayant la même « Nature » (ou absence de Nature!) Divine.
Cette absence de Nature, nous l’appelons « Inentéallité », mot d’origine latine (il provient du participe présent du verbe « esse » [« être »] « ens, entis », qui signifie « absence de caractéristiques », « absence d’attributs », autrement dit veut dire que DIEU possède Son ÊTRE en Lui-même, étant donné qu’IL est Lui-même l’ÊTRE, de qui tous les autres êtres tiennent leur propre être.
Il veut dire aussi que tous les qualificatifs du langage humain sont dérisoires, lorsqu’il s’agit de parler de Dieu. Aucun ne Lui convient sans Le déprécier, Le rabaisser, Le ravaler à la mesure humaine! DIEU n’est ni beau ni intelligent ni merveilleux, ni quoi que ce soit d’autre, IL EST!, et c’est tout! Et cet ÊTRE contient tout!

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Parabole

Parabole

Parabole

Par Salem YAHI

« Le monde est une parabole, une énigme.
Et la multitude voit, et la foule entend; mais en vain. »
– Alexandra David-Neel –

La parabole est un élément spécifique de l’art du bien parler (la réthorique), souvent elle se présente sous la forme d’une courte histoire basée sur des situations du quotidien qui imagent un enseignement, une morale ou une doctrine. Elle s’intercale, semblable à une analogie, entre un récit imagé et un discours ordonné. La parabole porte une vertu pédagogique: celle de rendre concret une idée ou une notion, tandis que la parole use du langage dans un contexte déterminé. Le mot parole est la contraction étymologique du mot parabole, issu du latin parabola, lui-même emprunté au grec ancien parabolḗ / παραϐολή, qui signifie: rapprochement, juxtaposition, comparaison mais surtout illustration.
Le texte qui suit traite de la dimension cachée de la parabole, en fait de son sens spirituel. Ce texte va s’appuyer sur le livre de la Bible des Ancien et Nouveau Testaments d’une part, et, sur les résultats obtenus à partir de la matrice de calcul réalisée par un auteur français Lucien Siffrid date de 1930, d’autre part. Elle croise les nombres de 1 à 9 avec trois paramètres qui sont: l’Esprit, l’Humain et les Ténèbres. Les résultats obtenus ouvrent de vastes perspectives spirituelles.
Il est vain pour l’intelligence de chercher à percer le sens que renferme une parabole. Certes, elle peut saisir la substance des mots, mais elle ne peut parvenir à en recueillir l’essence. La recherche des réponses aux rébus, charades et autres devinettes fait appel aux capacités intellectuelles telles que: l’intelligence, la mémoire et la culture. Mais, lorsqu’il s’agit de saisir la profondeur des paraboles, à l’exemple de celles de la Bible, l’intellect n’y suffit vraiment pas. Une ressource bien plus élevée s’avère indispensable: l’intuition, que le philosophe français Bergson (1859-1941) avait baptisé l’“élan vital”. Assurément, c’est elle l’outil de perception du réel au-delà du réel. Dans les livres saints, la parabole se présente sous la forme d’un récit symbolique qui contient un enseignement spirituel, un récit… au-delà du réel. Au cours de son Ministère, le Christ l’utilisa souvent pour apporter une nourriture spirituelle aux esprits humains nostalgiques de leur origine mais aussi pour exercer un tri: Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a. C’est pourquoi Je leur parle en paraboles, parce qu’en voyant ils ne voient point, et qu’en entendant ils n’entendent ni ne comprennent.

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La Crainte de Dieu

La Crainte de Dieu

La Crainte de Dieu

Traditionnellement – ainsi que nous l’avons déjà vu -, la Crainte de Dieu est l’un des 7 Dons du Saint Esprit. Le Jour de la Pentecôte, dans les familles chrétiennes, volontiers, l’on «tire au sort» l’un des sept Dons du Saint Esprit et rares sont ceux qui se réjouissent de «tomber» sur celui-ci.
Pourtant, il est d’une très grande importance pour le germe d’esprit humain en cours d’évolution dans la Création Postérieure gros-matérielle, car la Crainte de Dieu ne signifie, en fait, rien d’autre que la prise en compte de de la Volonté Divine à travers le respect et l’observance des Lois Divines.
La Crainte de Dieu n’a, en effet, rien de personnel. Dieu n’est pas un tyran despotique, capable d’arbitraire, et qu’il y aurait donc lieu de craindre. Il est, tout au contraire, le Garant qu’absolument rien d’arbitraire ne peut se produire dans Sa Création. Tout se produit en fonction de Lois intangibles qui sont l’expression de la Pureté de l’Amour et de la Justice Divins. N’est-ce pas merveilleux?
Par conséquent, en fonction des Lois Divines, chaque être humain détermine lui-même son destin. Il doit donc aimer mais aussi craindre les effets auto-actifs des Lois, de la même manière que la peur du vide empêche un être humain sur Terre de s’approcher trop près du bord d’une falaise verticale, là où il risquerait la chute dans le vide.
Bien souvent – ainsi que le dit le proverbe biblique – «La crainte est le commencement de la sagesse». C’est cela la Crainte de Dieu, ce n’est nullement une crainte personnelle vis-à-vis d’un être auquel il s’agirait – vu Sa Puissance – de ne pas déplaire, c’est juste la crainte de commettre de mauvaises actions capables d’enclencher de douloureux retours karmiques, en fonction de l’Activité des Lois Omnisages.

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Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas du tout le cas.
La première, c’était la Parole prononcée par Jésus, le soir du Jeudi-Saint, lors de Sa première agonie au Jardin des Oliviers à Gethsémani, lorsqu’Il a dit à Son Père: « Père, s’il est possible, que ce calice s’éloigne de moi » (Matthieu XXVI, 39). Il parlait, bien sûr, du calice de douleurs qui L’attendait, s’Il Se laissait arrêter (jusque-là, malgré diverses tentatives antérieures, personne n’avait jamais pu y parvenir!) le soir même, peu après par les sbires de Caïphe et les soldats envoyés pour cela.
Aurait-Il prononcé cette Parole si la crucifixion avait automatiquement fait partie de Sa Mission de Rédemption? Autrement dit, s’Il était venu sur Terre pour S’y faire crucifier? Bien évidemment, absolument pas! Cela montre bien, par conséquent, que s’Il avait pu l’éviter et quand même pleinement remplir Sa Mission, Il aurait grandement préféré éviter de devoir vivre l’épouvantablement – à tous points de vue – douloureuse passion.
La deuxième (dans l’ordre chronologique) Parole prononcée par Jésus qui nous permet d’être sûrs que la passion et la crucifixion n’étaient pas voulues ni de Dieu ni de Jésus c’est la Parole prononcée par Jésus sur la croix, lorsque, en parlant des êtres humains en général et de Ses bourreaux en particulier, Il dit: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font! » (Luc XXIII, 34).
Cette Prière d’Intercession de Jésus à Son Père aurait-elle donc été sensée – ou même nécessaire – si la mort sur la croix avait été un sacrifice indispensable à la Réconciliation? Lorsque Jésus affirme « Ils ne savent pas ce qu’ils font! », cela indique clairement que « ce qu’ils font »  est non seulement un complet non-sens mais aussi un crime qualifié, un meurtre, un assassinat.
C’est bien la plus grande Accusation qui puisse se concevoir. L’incontestable Indication que « ce qu’ils font » est faux. Que cet acte n’était voulu ni de Dieu ni du Christ, ni de la Lumière, de façon générale. Par conséquent, un vulgaire crime envers le Plus-Saint qui, à cette époque, ait jamais foulé la Terre. Confronté à la haine des êtres humains dominés par les ténèbres, Jésus avait Lui-même pressenti et annoncé cette catastrophe spirituelle avec Sa Parabole des vignerons homicides.

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