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Toujours moins de bébés
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Les faits:
Les naissances aux États-Unis et aussi dans la moitié des pays de la Terre sont à des niveaux historiquement bas.
Et si l’on se demandait pourquoi…?
Le CDC – Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies – américain a récemment publié son aperçu statistique annuel des naissances en Amérique.
L’agence a rapporté que le nombre total de naissances aux États-Unis a chuté jusqu’à atteindre, en 2018, un «record» {vieux} de 32 ans. Cela concerne, en particulier, les adolescentes et les femmes âgées d’une vingtaine d’années.
Cependant, bien que 2018 ait établi un nouveau « record » quant à la bassesse du taux des naissances, d’autres années récentes font à peu près état du même scénario: le nombre total de naissances et le taux de fécondité général (soit le taux des naissances pour 1.000 femmes en âge de procréer) baissent régulièrement depuis plus de 10 ans.
C’est à peu près le temps qu’il faut pour commencer à sérieusement s’en apercevoir…
La tendance «baby crash» n’est pas propre aux États-Unis. Une étude, publiée en 2018 dans « The Lancet« , a révélé que près de la moitié des pays du monde affichent des taux de fécondité inférieurs au «niveau de remplacement» lequel est d’environ 2,1 enfants par vie de femme – une situation sans précédent en 1950.
Pour ce qui est de la France, sur cette page l’on peut voir un tableau téléchargeable montrant, entre autres choses, la baisse, faible mais constante, du nombre annuel de naissances depuis 2010. « Des bébés moins nombreux et plus tardifs ».
Décrivant cette découverte «décisive», un scientifique a déclaré à la BBC que la révélation selon laquelle la moitié des pays du monde sont sur le point de connaître une contraction démographique «sera une énorme surprise pour les populations».
«« TIME Magazine » (…) dit qu’«il ne peut pas être une mauvaise chose que moins de bébés américains so{ie}nt nés en 2018 qu’au cours de toutes les années depuis 1986» et ce journal nie catégoriquement que «les Américains soient moins fertiles, biologiquement».
Cependant, de nombreuses études mettent en évidence les problèmes de fertilité masculine et féminine, y compris les «tendances à la baisse significatives» du nombre et de la qualité des spermatozoïdes, et les problèmes de fertilité liés à l’obésité chez les femmes.
Les tentatives d’explication
Qu’y a-t-il derrière ces problèmes? Les médias américains ne le disent pas, mais la science publiée fournit de fortes indications selon lesquelles «les expositions environnementales résultant du mode de vie moderne… sont les facteurs les plus importants».
Source: https://www.santeglobale.world/article/10-moins-de-naissances-aux-etats-unis-pourquoi/#.XY9Uon_gqpp
Naturellement, dans son article, le Docteur Tal Schaller insiste lourdement les facteurs environnementaux (glyphosate, perturbateurs endocriniens, ondes électro-magnétiques) qui affectent autant les hommes (baisse spectaculaire du nombre des spermatozoïdes) que les femmes, et il n’est pas question de contester ici l’importance de ces facteurs, qui, certainement, ont leur importance et contribuent aussi à la baisse de la fertilité. Toutefois, l’objet du présent article est d’aller plus loin que le simple constat environnemental…
Lire aussi:
https://www.scienceshumaines.com/du-crash-financier-au-baby-crash_fr_24367.html.
Même le Vatican a remarqué la chute de la fécondité dans le monde et s’en alarme.
Ici, juste signalé en passant, un autre phénomène, de prime abord difficile à expliquer, c’est la masculinisation des naissances:
https://www.cairn.info/revue-population-2015-2-page-201.htm
Pourtant, il est vraisemblable que l’explication (voir plus bas) de ce phénomène selon lequel il y a, à la naissance – même si, là aussi, au départ, cela va doucement -, un ratio garçons/filles toujours plus déséquilibré en faveur des garçons et donc en défaveur des filles (toujours plus de garçons et de moins en moins de filles) est la même que celle qui, à terme, provoque la stérilité des femmes.
Une explication d’un genre complètement différent
A cette baisse générale de la natalité voici, toutefois, maintenant, une explication complètement différente…
Cette explication est, à l’inverse de toutes les autres, fondamentalement, quant à elle, de genre spirituel. La perte de fécondité globale à l’échelle mondiale, mais particulièrement en Amérique du Nord et en Occident est liée – aussi surprenant que cela puisse paraître à ceux et celles qui ne connaissent pas les Lois de la Création – à la masculinisation des femmes.
Ce faux vouloir se répercute tout d’abord dans l’entéallique (NDLR: L’Entéallique est un genre de la Création, tout comme le Spirituel est un autre genre de la Création), puis dans matière fine (NDLR: La matière fine est, elle aussi, un genre de la Création, mais inférieur au Spirituel et à l’Entéallique), puis dans la matière grossière fine (NDLR: La matière grossière fine est la subdivision de genre la plus élevée de la matière grossière dans sa totalité, tandis que la matière grossière lourde est ce à partir de quoi est constituée la Terre en tant que réalité physique).
Lorsqu’une femme, du fait de sa fausse imitation de l’homme, par vanité et besoin de se faire valoir, se masculinise, elle perd progressivement ce qui fait d’elle une femme. Ce faisant, elle perd aussi le pont qui permet à des âmes de l’Au-delà de s’incarner sur la Terre. Ce pont n’étant toutefois pas immédiatement complètement rompu, pendant un certain temps l’incarnation de certaines âmes ni vraiment masculines ni vraiment féminines et n’ayant, de ce fait, pas vraiment leur place sur Terre, demeure encore possible. Mais de vraies femmes ne viennent jamais à s’incarner par l’intermédiaire de telles « mères »‘.
C’est aussi ainsi que s’expliquent les naissances difficiles ou prématurées, les enfants à la santé délicate et les enfants nerveux, notamment victimes du « trouble de déficit de l’attention » (TDAH), au grand dam de leurs enseignants et éducateurs.
Toutefois, ces problèmes n’ont qu’un temps, puisque l’aboutissement ultime de la masculinisation des femmes c’est tout simplement, pour finir, la complète stérilité. Cela règle certes tous les problèmes qui viennent d’être mentionnés mais un peu à la manière d’un « médecin » qui tuerait son parient pour pouvoir dire ensuite qu’« il n’est plus malade »!
La morale de l’histoire c’est que – même si cela requiert des siècles – un peuple qui laisse sa féminité aspirer à la virilisation est juste condamné à disparaître. Après une telle décadence, avant que le naufrage survienne, le rétablissement d’une situation saine prendra, du reste, autant de temps…
Conclusion
Qu’un tel « discours » n’aille pas dans le sens de ce qui est communément admis dans le monde matérialiste « moderne » semblera évident à beaucoup. Mais, comme il fut déjà remarqué par de grands esprits, ce n’est pas parce qu’une erreur se propage qu’elle devient Vérité et ce n’est pas non plus parce quelqu’un est le seul à dire une Vérité qu’il a tort! (*)
C’est pourquoi l' »hypothèse » selon laquelle la masculinisation des femmes serait la plus importante cause de la baisse de la natalité, et à terme de la stérilité généralisée menaçante, risque bien, à l’avenir, de prendre un poids toujours plus important… Et ce n’est pas les allocations familiales ou la procréation médicalement assistée qui changeront quelque chose à cela!
Il est aussi probable que le phénomène appelé « masculinisation des naissances » déjà évoqué plus haut est aussi provoqué par la même cause. En effet, dans l’explication évoquée ci-dessus il est notamment dit: « Des âmes délicates et authentiquement féminines ne viennent jamais à l’incarnation par l’intermédiaire de telles femmes dénuées de féminité« .
Par conséquent, s’il n’y a plus suffisamment de femmes authentiquement féminines susceptibles de devenir mères, beaucoup d’âmes authentiquement féminines, ne trouvant pas de mères pour cela, ne peuvent plus s’incarner.
Cela produit certes un effet qualitatif (moins d’âmes authentiquement féminines dans les naissances féminines) mais aussi quantitatif, puisque ces âmes féminines ne pouvant pas s’incarner, cela diminue la proportion globale de naissances féminines.
Naturellement, des âmes féminines déformées peuvent aussi s’incarner dans des corps masculins. Par conséquent, pour l’intellect, qui ne connaît que la matière la plus grossière, d’un point de vue extérieur (apparence du corps physique) ce sont des garçons, alors qu’en réalité ce sont des esprits féminins. Bien sûr, cela contribue à faire pencher la balance des naissances dans le sens des « garçons »…
« Garçons » entre guillemets, puisque une partie croissante de ces « garçons » sont, aussi incroyable que cela puisse paraître, en réalité, des filles! Cela permet déjà de commencer à comprendre ce passage (cité ci-dessus) relatif à l’arrivée « de nouvelles âmes de ce genre, qui ne peuvent être ni entièrement femme(s), ni entièrement homme(s) »…
Le phénomène inverse existe, bien sûr aussi, des esprits masculins, mais efféminés, avec leurs âmes déformées, s’incarnent dans des corps féminins, mais, proportionnellement, dans ce sens, il y en a beaucoup moins que dans l’autre sens, c’est-à-dire lorsque des esprits féminins s’incarnent dans des corps de garçons, de sorte que la balance générale du phénomène, vu de l’extérieur, va toujours, en ce qui concerne les naissances, dans le sens de plus de garçons et moins de filles!
Jusqu’où un tel phénomène peut-il aller avant que ne se produise un complet effondrement, voilà qui reste encore à expérimenter…
Puisse la cause la plus profonde de cette baisse des naissances et en particulier des naissances authentiquement féminines être reconnue avant qu’il ne soit trop tard!
Sinon, comme l’a écrit Yves Pacalet (compagnon d’odyssée du célèbre Commandant Coustaud): « L’humanité disparaîtra, bon débarras! ».
A ce sujet, pour certains scientifiques (et non des moindres), il est déjà trop tard! Toutefois, il est « amusant » de noter que ce qui pour le Vatican serait le problème, pour Frank Fenner, serait la solution!
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Note:
(*) Comme le disait un certain Coluche: « Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort … qu’ils ont raison! ».
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