Ecole de l'art de vivre

La Source Pure

par | 20 Fév 2024 | Contes, Autres Articles | 0 commentaires

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La Source Pure

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Théodore avait longtemps marché dans le désert et son gosier était désespérément sec. Sa gorge le brûlait, sa langue était collée à son palais; il allait bientôt mourir de soif et d’épuisement.

Il en était arrivé là dans ses tristes pensées, lorsque, son cerveau fatigué et confus interpréta soudain que ce que ses yeux voyaient à l’horizon était comme un minuscule point vert, qui, peu, à peu, au fur et à mesure de sa progression, se transformait en tâche s’étalant lentement à l’horizon.

Il reprit espoir et courage, puis cela devint certitude en lui: cette petite ligne verte qui, s’étendant latéralement, tranchait toujours plus sur le bleu du ciel et le jaune du désert, marquait, précisément, la fin du désert, le retour à la civilisation.

Désirant vivre l’expérience du désert dans la solitude, il avait été plus que servi! Il avait loué un 4×4, mais, alors qu’il roulait depuis plusieurs heures, le carter à huile de celui-ci avait durement heurté, hors de la piste, une grosse pierre cachée par le sable que le vent du désert avait apporté et amassé là, et toute l’huile s’était répandue sur et dans le sable, rendant le moteur inutilisable.

Voulant faire l’expérience d’une retraite spirituelle pendant au moins quarante jours, il n’avait, intentionnellement, rien pris de ce qui pouvait lui rappeler la «civilisation» et, en particulier, pas son téléphone portable et il s’était donc retrouvé, seul, en plein désert, à au moins trois jours de marche – en fait, il ne savait pas exactement, car il n’avait pas regardé le compteur du véhicule au départ et il n’avait pas, non plus, de montre -, de toute possibilité d’assistance.

Au cours de son voyage pédestre de retour – car, sans voiture en état de marche, il n’envisageait plus de rester là sans savoir comment il repartirait -, il avait emporté, dans son sac à dos – ne voulant pas trop se charger – un bidon de cinq litres d’eau, pensant avoir assez pour le chemin du retour, mais, pendant la nuit qui avait suivi, il avait bu de manière instinctive, au cours de son sommeil, sans vraiment se réveiller, et avait négligé de remettre le bouchon du bidon, qu’il avait ensuite involontairement renversé lors d’un geste inconscient né au cours d’un rêve, où il se débattait contre une attaque imaginaire.

Au matin, il ne restait plus qu’un petit litre dans le bidon… Il avait beau fait de se rationner le plus qu’il pouvait, le soir du deuxième jour, la dernière goutte avait été bue avant qu’elle ne s’évapore, et, maintenant, il ne lui restait plus une seule goutte à boire; implacable, le Soleil dardait fort et il n’avait rien bu ni mangé depuis la veille au soir.

C’est au bord de l’épuisement complet qu’il atteignit enfin l’oasis et, passé le premier bosquet de sycomores, il aperçut tout de suite… la Source!

Elle était merveilleusement limpide et claire! L’eau était-elle bleue, blanche, verte?!? Elle était, en tous cas, d’une incroyable transparence, véritablement cristalline, dans un superbe écrin de verdure…

Alors qu’un instant plus tôt il se traînait encore lamentablement, rien que la vue de l’Eau lui avait, d’emblée, communiqué une énergie nouvelle.

Tout à coup, il vit nettement un frémissement particulier parcourir toute la surface du bassin.

Alors, aussitôt, il s’élança et plongea, tout habillé, la tête la première, dans le bassin naturel. La sensation de régénératrice Fraîcheur fut indescriptible. Théodore, comme un poisson dans un verre d’eau, buvait à la Source, non seulement par sa bouche mais aussi par tous les pores de la peau; c’était un véritable bain de Jouvence, une sensation d’une Pureté et d’une Force indescriptibles.

Longtemps il demeura dans la vasque et ne se décida à sortir que lorsqu’il commença un peu à sentir le froid. Au-dessus du bassin se trouvait une petite cascade et dans l’écume il lui sembla apercevoir – ce qu’il n’avait encore jamais vu – ce qu’il crut bien être, oui, une Ondine, souriante, qui, tout en prenant sa douche, semblait le regarder…

Lui parlait-elle? Il lui sembla, tandis qu’elle lui indiquait une direction en amont, percevoir ce message:

  • La Source est double. Va voir ma sœur, elle Te montrera la Source supérieure

Théodore, toutefois, n’y alla pas; le Soleil s’était caché derrière la montagne, le soir était tombé, il commençait à avoir froid dans ses vêtements mouillés, et il était pressé de rentrer chez lui régler ses problèmes. Il remplit sa gourde et se remit à marcher vers la ville, dont le nom, dans la langue locale, signifiait «Source d’en bas», et qui n’était plus qu’à quelques kilomètres.

Arrivé là, il trouva à manger, retrouva sa voiture personnelle, restée garée sur un parking, se rendit dans un hôtel, loua une chambre, se coucha tout de suite et s’endormit aussitôt, car il avait grand besoin de repos….

Le lendemain matin, dès potron-minet, il appela l’agence qui lui avait loué le 4×4, signala le problème qui lui était arrivé et s’efforça de déterminer, tant bien que mal, à quel endroit il était possible de le retrouver. Là, il fut interrompu par le représentant de l’agence, qui lui expliqua tranquillement qu’il n’avait aucun souci à se faire à ce sujet, car tous les 4×4 loués par l’agence étaient dotés d’un émetteur envoyant un signal capté par satellite, ce qui leur permettait de toujours savoir étaient leurs véhicules…

Théodore pensa que s’il avait su cela plus tôt, il se serait fait moins de mouron, car cela voulait dire qu’au bout des quarante jours ils se seraient inquiétés de ne pas voir revenir leur véhicule et l’auraient donc facilement retrouvé…

Une fois libéré de ces soucis matériels, il se demanda ce qu’il devait faire, et il prit la décision de rentrer chez lui, à environ mille kilomètres; là-bas, après cette tentative avortée, il voulait tranquillement réfléchir à son expérience vécue. Tout au long de la route, son esprit repensait toujours à la merveilleuse Source et à l’indicible impression de régénérante Fraîcheur qu’il avait éprouvée là. Il avait voulu expérimenter le désert, mais ce qu’en réalité il avait expérimenté c’était la Source…

Après avoir roulé toute la journée, il arriva chez lui. Il ne pensait qu’à la Source et s’en voulait de ne pas y être, tout de suite, retourné. À présent, il songeait qu’il fallait y revenir, mais, cette fois, il ne voulait pas le faire seul. Il voulait inviter ses Amis à venir boire à la Source avec lui, mais ce serait pour l’année suivante.

Comment devait-il s’y prendre? Il réunit ses nombreux Amis et leur parla de la merveilleuse Source. Ils furent d’accord de l’expérimenter avec lui. Alors, il les invita à y venir avec lui l’été suivant. Le rendez-vous fut pris. Plusieurs dizaines s’inscrivirent pour l’Expérience.

C’est alors que l’un des ses bons Amis lui proposa de s’occuper de l’organisation. Il accepta; cela le déchargeait du travail de devoir contacter tout le monde, d’organiser le transport, de prévoir l’accueil sur place, etc…, donc cela allait dans le sens de ses désirs…

Et puis l’année s’écoula et ils arrivèrent tous à ce qui devait être la Source merveilleuse

Ils s’étaient donnés rendez-vous au centre de la ville pour y aller ensemble à pied; ils auraient dû être trente-cinq, ils étaient quarante-neuf…, mais Théodore ne s’en étonna pas; il ne pensait qu’à la Source et au merveilleux effet qu’elle allait faire sur eux tous. Plus tard, il devait apprendre que quelques-uns des trente-cinq en avaient invité d’autres non initialement invités par lui-même…

Ils partirent, à pied, de l’Hôtel de Ville et marchèrent sept kilomètres, Théodore en tête, et, là, une fois devant la source, ce qu’il vit, un an après, le glaça d’horreur: une mousse jaune sale flottait sur le bassin; la source était polluée!

Il se plaça devant eux, voulant les empêcher d’avancer:

  • Ne regardez pas, elle n’est pas prête!

Mais ils voulurent avancer quand, même, et l’un dit qu’après tout l’eau n’était pas si sale que cela et qu’il faisait bien chaud, surtout après cette longue marche…, et ils commencèrent à se déshabiller

Mais Théodore n’était déjà plus là… Vers qui devait-il se tourner pour comprendre l’horrible chose qui s’était passée.

Marchant au hasard, au comble du désespoir, ses pas le conduisirent vers un sentier ascendant; il marcha pendant trois kilomètres et là il déboucha soudain sur une autre Source; l’on aurait dit la même qu’en bas…

  • Mais comment se fait-il donc?, demanda-t-il.

Alors, il vit l’ondine dans la cascade et se rappela celle qu’il avait vue, un an plus tôt:

  • Mais je Te connais!, lui dit-il.

  • Ah ! non ! Ce n’était pas moi, c’était ma sœur d’en bas…

  • est-elle, maintenant?

  • Elle est partie! Tout comme les Anges! Nous les ondines ne pouvons vivre que dans des sources parfaitement pures!

  • Mais pourquoi la source d’en bas est-elle devenue impure?

  • Cela, je ne peux pas Te le dire, mais lui Te le dira!

Il lui sembla qu’elle désignait quelqu’un dans son dos; il se retourna et vit un homme, à l’air très sage, avec de longs cheveux et une longue barbe blanche, qui ressemblait à Merlin l’Enchanteur et semblait sortir d’une grotte, derrière lui.

Il lui dit:

  • Les hommes de la ville ont détourné un égout, lequel se jette maintenant dans le torrent, entre les deux Sources.

  • Mais comment ont-ils pu faire cela!?!

  • Les hommes souillent tout!, répondit-il avec lassitude. Mais grâce à la Loi de la Pesanteur qui maintient la Pureté, la Source supérieure est demeurée pure, car l’impureté ne peut s’élever et remonter vers la vraie Source…

  • La vraie Source?

  • Eh! Oui!, celle d’en bas n’est qu’une résurgence de celle d’en haut. Car l’Eau de la Source supérieure s’engouffre dans cette grotte (il désignait la grotte d’où il était sorti, derrière lui), pour ressortir là-bas

Théodore était «d-égoût-é»! Il dit:

  • C’est dégoûtant ce qu’ils ont fait! Comment peut-on prendre une Source claire pour servir d’égout?

  • Les êtres humains ne viennent pas souvent jusqu’ici à la lisière du désert et la plupart ne voi{en}t pas le mal causé. Vu qu’il y a longtemps qu’ils ne voient plus les ondines, Ils ne voient pas, non plus, que l’ondine a quitté la Source. Et ils ne voient pas qu’aucun Ange n’y vient plus. D’ailleurs, ils ne croient plus aux Anges; ils ne croient qu’à l’argent! La construction d’un égout devant déboucher plus loin leur aurait coûté plus cher…, et c’est tout ce qu’ils voient!

Théodore ressentait un tel écœurement qu’il en aurait presque vomi… Il remercia le Sage et prit congé. Puis il repartit vers le bas, pour revoir les autres à la Source inférieure; il voulait leur dire que, plus haut, se trouvait une Source encore pure, laquelle était, d’ailleurs, la Source originelle. Chemin faisant, il se demanda pourquoi l’Ondine et le Sage lui avaient parlé d’Anges et ne trouva pas tout de suite la réponse…

Il en était là dans ses réflexions, lorsqu’il arriva sur le terre-plain adossait au roc qui dominait la Source inférieure, le spectacle qu’il vit lui fit un peu éprouver ce que Moïse avait dû ressentir lorsqu’il était redescendu, la première fois, du Mont Horeb, avec les Tables de la Loi sous les bras…

La plupart de ses «amis», en particulier les derniers invités qu’auparavant il ne connaissait pas, se vautraient, largement dévêtus, dans l’eau polluée, ne semblant pas remarquer la mousse jaune sale surnageant à la surface… D’autres étaient restés sur le bord ne se décidant pas à goûter à l’eau dégoûtante, encore moins à se plonger dedans…, et regardaient leurs camarades d’un air très perplexe

S’adressant à eux, Théodore leur dit:

  • Là-haut existe une Source pure; c’est qu’est la vraie Source; je me suis trompé en vous amenant à la Source inférieure; c’est en haut que j’aurais dû vous conduire; j’avais bien été averti par l’Ondine, mais je n’ai pas voulu l’écouter, car j’étais trop pressé de rentrer et ne voulais pas faire l’effort de m’élever… Maintenant, je vous en conjure, abandonnez cette source inférieure jadis, elle aussi, encore pure, et montez avec moi là où l’Eau est véritablement pure. C’est là-haut que vous attend l’expérience à laquelle je vous ai conviée! Car je vous le dis: «Mieux vaut boire à la Source plutôt qu’à la rigole!».

Parmi ceux qui étaient déjà dans le bas-sin aucun ne l’écoutait: stupidement ils étaient là et ils «rigolaient». Il voulut les exhorter encore, mais une claire jeune fille qui se trouvait là lui fit, du regard, un petit signe qui disait clairement:

  • Ne perds pas ton temps à prêcher des sourds!; ceux-là doivent vivre leur expérience jusqu’au bout; si Tu réussissais à les persuader de monter là-haut, ils ne feraient que polluer aussi la Source supérieure!

Parmi ceux qui se trouvaient encore sur le bord, hésitants et perplexes, la moitié {de ceux-là} se levèrent joyeusement et se décidèrent à le suivre; ils étaient prêts à faire l’Ascension jusqu’à la Source supérieure, car, répondant à l’Appel des Hauteurs, leur âme aspirait encore à la Pureté des Lieux élevés

Laissant barboter dans le glauque bassin ceux qui s’y ébattaient, ensemble, ils gravirent le raidillon conduisant vers la Source supérieure, et ils se souvinrent alors des Paroles:

«En Vérité, en Vérité, Je Te le dis, si un homme ne naît d’Eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu.» (Jean III-5)

Arrivés en haut, ils furent tous émerveillés devant la Magnificence de la Source et la Pureté de l’Eau. L’ondine fit un signe à Théodore; il s’approcha, puisa avec son gobelet directement dans la cascade et, citant l’Évangile de Jean, dit:

«(…) Celui qui boira de l’Eau que Je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’Eau que Je lui donnerai deviendra en lui une Source d’Eau qui jaillira jusque dans la Vie éternelle.» (Jean IV, 10)

Alors, un par un, ils s’approchèrent et ils burent à la Source pure…

Puis Claire, la jeune fille qui avait fait un signe à Théodore, demanda:

  • Est-il possible de descendre dans la vasque?

Théodore répondit:

  • Je sais, maintenant, ce qui s’est passé lors de mon premier bain dans le bassin de la Source inférieure, lorsqu’elle était encore pure. Dans l’Évangile de Jean il est écrit:

«(…) Un Ange descendait, de temps en temps, dans la piscine, et agitait l’Eau; et celui qui y descendait le premier, après que l’Eau avait été agitée, était guéri, quelle que fût sa maladie.» (Jean V,4)

  • J’ai grand besoin d’être guérie!, dit Claire.

  • De quoi es-Tu malade?, demanda Théodore, soulevant la question que tous se posaient à la vue d’une jeune fille d’une apparence aussi saine.

  • J’ai besoin d’être guérie de ma grande Soif, répondit-elle tranquillement.

  • Jésus a dit: «(…) Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à Moi, et qu’il boive. Celui qui croit en Moi, des Fleuves d’Eau vive couleront de son sein, ainsi que le dit l’Écriture.».

À ce moment-là un grand frémissement, perceptible aux yeux comme aux oreilles, parcourut toute la surface de la piscine naturelle. Il semblait avoir été provoqué par un fort coup de vent.

Théodore dit:

«Le Vent souffle où il veut, et l’on en entend le bruit ; mais personne ne sait ni d’où il vient, ni où il va.».

Et Claire, tout habillée, entra dans la piscine. Elle y resta, complètement immergée, quelques longs instants… Puis elle ressortit et elle dit:

  • Je n’ai plus soif, car je viens d’être baptisée par Celui Qui a dit: «Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin. à qui a soif je donnerai de la Source de l’Eau de la Vie, gratuitement.».

Ensuite, ils se sentirent tous une grande Soif et voulaient descendre dans la vasque, mais Théodore dit:

  • Il est indispensable d’attendre, à chaque fois, qu’un Ange vienne agiter l’Eau de la vasque; alors l’Eau possède, de nouveau, une énergie guérisseuse. À chaque fois que quelqu’un descend dans l’Eau la Force supplémentaire apportée par l’Ange repart avec celui qui a été guéri et l’eau se trouve donc déchargée.

Seulement maintenant, un an après, je comprends ce que j’ai éprouvé, lorsque, exténué et presque mort de soif, je suis arrivé au bord de la Source. Je me rappelle que l’Eau s’était mise à frémir juste avant que je n’y pénètre; c’était inconscient, mais ce fût pour moi comme un irrésistible et lumineux Signal!

Tout le restant de la journée, ceux qui étaient montés jusqu’en haut – ils n’étaient qu’une douzaine – attendirent, chacun son tour, le Signal de la Lumière, indiquant que l’Eau avait été rechargée par un Ange, pour descendre, à tour de rôle, y prendre un Bain de Lumière.

À la fin de la journée ils étaient tous passés par la Douche lumineuse et ils n’avaient plus soif et se sentaient complètement régénérés. Ils savaient, maintenant, pourquoi, suite à l’invitation de Théodore, ils étaient venus ici. Ils avaient fait l’effort de s’élever de la source inférieure, maintenant polluée, à la Source supérieure, demeurée pure, qui, seule, dispensait encore la Force de la Lumière.

Après avoir dormi au bord de la Source Pure, ils repartirent, le lendemain matin, remplis de Force et d’Espérance, vers de nouvelles expériences à vivre, le cœur inondé de Joie et de Gratitude

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Source Claire

Source Claire

 

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