Ecole de l'art de vivre

Recherche Spirituelle

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. "Est-il spirituellement juste de s'en tenir uniquement à la providence......." Absolument pas; L'être humain doit orienter sa Vie selon les…

  2. La soumission à la vie est la seule attitude qui insère l'être humain dans ce courant d'amour qui inonde l'univers…

  3. "L'effacement du moi" Excellent texte, qui invite à réfléchir! Qui a développé la capacité de s'effacer quand c'est nécessaire, démontre…

  4. Le texte exprime ce que les chercheurs de la vérité ressentent en intuition. Merci.

Nourris par l’Esprit

Nourris par l’Esprit

Nourris par l’esprit

« Je désire vous parler d’une expérience datant d’environ huit ans. J’avais laissé agir l’Esprit comme bon lui semblait Je ne résistais à rien et laissais les circonstances m’enlever des biens ou m’en apporter. Les biens qui m’appartenaient, je ne les défendais pas lorsque d’autres tentaient, à leur sujet, de faire valoir des droits ou de me tromper. J’avais compris que je ne pouvais être fidèle à l’Esprit en m’obstinant à jouer un rôle actif en tant qu’«individu séparé», plongé dans le monde des affaires.

J’avais consacré mon temps à guérir et à faire pour les autres ce qu’ils me demandaient. Jamais je n’avais sollicité ou accepté un salaire. Pouvais-je leur vendre de la Vérité pour de l’argent? Spontanément, j’ai renoncé à tout ce que j’avais amassé pendant trois années de dur labeur, depuis que j’avais quitté l’Église Adventiste. Je n’avais même plus réclamé l’acquittement de mes créances. J’arrivai à une période de mon existence où il me fallait choisir: Ou bien travailler pour des gages, me faire payer l’exercice de mon art de guérir et mon enseignement, ou bien mendier et, à défaut, mourir de faim.

Y avait-il une autre solution? À ce moment, je voulais que l’Esprit me prouvât sa faculté de connaître mes besoins et de les satisfaire, par les actes de personnes qui n’auraient point conscience des motifs de leur intervention. J’avais la conviction que, inspirées par Dieu, elles agiraient bien plus sagement qu’elles ne l’eussent fait en écoutant leur sens propre. Je ne m’ouvris à personne de ce que j’allais faire. J’habitais à ce moment une maison que j’avais construite, mais dont j’avais remis l’acte de propriété à un prêteur. Il m’était impossible de lui payer les intérêts, sauf en obligeant mes propres débiteurs à observer leurs engagements envers moi, alors qu’ils n’étaient point en mesure de le faire. Mais je ne voulais pas saisir leurs biens et mettre ces malheureux sur le pavé. Dès lors, je préférai renoncer à mon foyer. Quelqu’un devait porter le blâme. Je le pris donc sur moi pour le bien de mes semblables.

lire plus
Soumission à la Vie

Soumission à la Vie

Soumission à la Vie

« Donc je me dis: – Je me soumettrai à la Vie, à Dieu, à Celui Qui crée et soutient les choses. Je ne sais pas bien qui Il est, ce qu’Il est, ni où II est, mais Il doit être. Une résolution décisive se forma en moi : Je chercherai désormais à discerner le Devoir plus élevé du moment et je m’y conformerai. C’est ici précisément que la Vie me guida autrement qu’Elle ne guide la plupart presque toujours ; lorsque les hommes deviennent conscients de leur pouvoir de comprendre et de démontrer, ils se détournent des choses situées au-dessous d’eux. Ils ne cherchent à connaître que ce qui est élevé. Leur effort tend à construire en hâte le bâtiment et à y mettre la tour le plus vite possible. Je fus poussé dans une direction opposée. Je voulais apprendre à connaître les choses qui sont au-dessous de moi. Je voulais savoir sur quoi je me tenais. Je voulais aller jusqu’au fond et connaître tous les éléments dont les choses sont composées. Je ne désirais pas vivre mentalement à un niveau plus haut que celui de ma vie pratique, de ma vie de tous les jours. Je ne voulais m’attacher qu’à des pensées et à des principes dont je pouvais faire usage dans la vie quotidienne. À cette époque, j’avais acheté un terrain à Battle Creek et me mis à bâtir. C’était pour moi un travail nouveau mais je croyais pouvoir faire tout ce que je me propose de faire. Je commençai par creuser pour faire une citerne et une cave ensuite je traînai des pierres pour les fondations et les murs. Puis ce fut le travail de charpentier, et ainsi de suite jusqu’à ce que la maison fut achevée et que j’eus fini d’apprendre exactement comment une maison se fait. Pour ma construction intérieure, je commençai de même par la base afin de savoir exactement ce que serait le bâtiment achevé. Je multipliai les expériences, Un maître riche de connaissance et de sagesse ne m’eût pas mieux foré. Je travaillais durement, tôt et tard, chaque jour. Et cependant, l’autre partie de mon être recevait aussi son enseignement. Des Vérités se révélaient à ma conscience. Chaque fois que je les découvrais, j’étais appelé à soigner tel ou tel malade dont le mal précisément avait besoin de la Vérité que je venais de saisir. La révélation était suivie de la démonstration et ainsi la construction s’élevait. »

lire plus
L’Effacement du moi

L’Effacement du moi

L’Effacement du moi

Jacob Beilhart

Introduction
L’effacement du moi dont il s’agit ici n’a pas de rapport avec le nirvana bouddhiste. Il ne s’agit, en effet, nullement d’effacer le Je spirituel dans le sens d’une dissolution du Je dans une configuration plus vaste, bien au contraire, il s’agit uniquement de l’effacement de l’ego permettant seul – justement! – l’émergence de l’esprit.
Et c’est Jacob Beilhart qui parle…:
« Une nouvelle fois, je vais ici, pour me faire comprendre, vous confier l’expérience de ma vie.
M’inspirant de l’enseignement de certaines écoles spiritualistes, j’étais arrivé à vivre dans cet « état de silence » dont elles font grand cas. Et ce ne fut certes point sans effort. Je ne mangeais pas de viande, je ne buvais ni thé, ni café, ni alcool. Je m’abstenais de beaucoup d’aliments et ne prenais que deux repas par jour. Je maintenais mon esprit fixé sur ce que je désirais et je demeurais éloigné des bruits du monde. Cela dura plusieurs plusieurs années.
J’enseignais et je guérissais des malades. J’exerçais une influence certaine sur ceux que j’approchais.
J’avais des ambitions personnelles en ce qui concernait mon activité pour le bien de tous et je portais un un tas de fardeaux pour moi-même et pour les autres.
Je n’attachais de valeur ni à l’argent ni à la renommée. Je ne les recherchais point. Toute mon énergie tendait à obtenir personnellement le pouvoir de faire de grandes choses pour l’humanité. Ceux qui souffraient ne cessaient de louer ma bonté.
De la table où j’écris ceci j’entends par la pensée vos exclamations: « Cet idéal était le plus élevé qui soit! ». Eh bien je vous le déclare, ce n’est point l’idéal le plus élevé et cela ne pouvait me donner satisfaction. Ce n’est qu’un pas sur la route conduisant à la vie plénière et le silence du moi est encore tout autre chose.

lire plus
Le vieil homme doit mourir!

Le vieil homme doit mourir!

Le vieil homme doit mourir!

L’effacement du « moi »

« Le vieil homme » est un nom biblique pour désigner l’ego. L’ego est la caricature de l’esprit. Le Chemin de l’évolution vise à la mort du vieil homme, donc à l’effacement du moi et à la disparition de l’ego.
Mais comment l’ego se manifeste-t-il? Voici quelques exemples:
Lorsque, observant le spectacle d’un malheur inattendu, un être humain déclare: « Que Dieu admette pareille chose, est, pour moi, incompréhensible! ». « Pour moi » veut dire ici: « pour mon ego ». Car l’esprit, lui, sait, que tout ce qui arrive est juste et a sa raison d’être.
Lorsque – faisant partie de ceux dont Bernard Shaw a dit « Je ne vois pas bien pourquoi ceux qui croient aux électrons se considèrent comme moins crédules que ceux qui croient aux anges » – un être humain affirme que le Monde invisible n’existe pas précisément parce qu’il est invisible à ses yeux gros-matériels, il est la proie de son ego.
Si des enfants disent: « Évidemment que mes parents doivent se soucier de moi; car, oui, c’est eux qui m’ont mis au monde! Ce n’est tout de même pas de ma faute si je suis sur Terre. », c’est une attitude typique de l’ego, car l’esprit, lui, sait que chaque être humain en parcours évolutif sur Terre l’est à sa propre demande.
Lorsqu’un être humain voient les fautes des autres mais pas les siennes, c’est parce que toutes les frontières autour de son cher « moi » – donc de son cher ego – sont devenues trop étroites! C’est pour cela qu’échouent tant de bonnes choses, car les frontières de l’ego, c’est à chacun de lui-même les faire éclater, de l’intérieur.
« Seigneur, fais de moi ce que Tu veux! » L’on entend souvent, lors des cérémonies d’inhumation, des cantiques chantant cela. Mais ce n’est pas le « Je » spirituel qui chante cela, mais seulement l’ego! Car seul l’ego est capable de croire que Dieu pourrait S’adonner à des actes arbitraires. L’esprit, lui, sait, qu’à chaque être humain arrive précisément ce qu’il s’est lui-même gagné en fonction des Lois de la Création.
« Rends-Toi! » dit le vainqueur au vaincu. Ainsi il veut dire: « Livre-Toi à moi, à ma merci, donc sans conditions, afin que je puisse, à mon gré, disposer de Toi, même de Ta vie ou de Ta mort! ». Seul l’ego peut dire cela. L’esprit, lui, sait qu’être vainqueur ne l’autorise pas à agir arbitrairement, et il aura la victoire très modeste!
Si un être humain questionne: « Que dois-je faire, moi, pour réellement suivre le bon chemin! », c’est une question posée par l’ego, parce que l’être humain cherche volontiers à se rendre tout plus difficile que cela ne l’est en réalité. Il a besoin de la singulière manie de tout rendre difficile, étant donné qu’il ne possède pas en lui-même la force de pratiquer avec sérieux et zèle ce qui est simple. La force qu’il est capable de déployer en lui-même n’y suffit plus.
L’ego a besoin d’obstacles pour parvenir au but, ce n’est qu’ainsi qu’il arrive encore à rassembler sa force, ce qu’il n’est plus capable de faire, s’il le voit simplement devant lui. Pour se libérer de l’ego, il faut apprendre à sauter … sans obstacles!
De même qu’un corps affaibli a besoin d’un remède stimulant pour lui permettre d’exercer son activité, de même l’ego a besoin, pour atteindre un But, de l’excitant que représente pour lui la conscience de devoir surmonter quelque chose, afin de pouvoir ainsi bander ses forces! 
Même chez l’être humain de bon vouloir, il subsiste, trop souvent, en son for intérieur le plus intime, une certaine réticence; et cette réticence, n’est, en réalité, rien d’autre que le reflet de son cher « moi » – donc de son ego, sous une forme ou sous une autre, et qu’il tente de maintenir avec une incroyable ténacité surpassant même la force du meilleur vouloir.
Il se tient profondément caché, cet ego, si profondément, que l’on pourrait souvent croire qu’il a disparu. Mais, trop souvent, il est encore là et, par en-dessous, depuis son repaire, il jette ses  filets aux moments où l’être humain s’y attend le moins. En beaucoup de choses il s’insinue et, lors de décisions particulières, qui doivent être prises à l’improviste et rapidement, le cher « ego » passe même, maintes fois, ouvertement, avant l’accomplissement du Devoir!
Volontairement, avec ses caractéristiques ou ses désirs propres, l’ego ne s’abandonne jamais totalement, pas même lorsqu’il est confronté à une extrême souffrance. En toutes circonstances, l’ego veut avoir son mot à dire et s’impose, notamment, dans le soi-disant amour – en réalité un amour sentimental – qu’il éprouve et veut faire valoir pour l’un de ses prochains, et qu’il place au-dessus de tout, sans que l’être humain concerné arrive précisément à la conscience de cette faiblesse qu’il porte en lui.
Trop souvent les êtres humains ne font que se vautrer dans des formations fantastiques, qui ont leur point d’origine dans l’asphyxiant bourbier résultant de leurs propres désirs, qui les conduisent à vénérer leur cher « ego ».
Alors, que faire pour effacer le « moi » – qui n’est qu’une caricature du Je spirituel -, que faire pour faire disparaître l’ego? Quel chemin prendre pour libérer le « Je » réel (l’esprit) de la tyrannie de l’ego?

lire plus
L’incroyable histoire de Shanti Devi

L’incroyable histoire de Shanti Devi

L’incroyable histoire de Shanti Devi

– L’enfant réincarnée de Delhi –

Par Patrice Van Eersel

« Il n’est pas plus surprenant d’être né deux fois qu’une. »
– Voltaire –

Introduction de l’École de L’Art de Vivre
Rendre accessibles aux êtres humains spirituellement ouverts (pour les autres l’on ne peut, hélas, rien faire!) de grandes Vérités est l’une des principale raisons d’être de l’École de L’Art de Vivre. Indubitablement, la Réincarnation fait partie de ces grandes Vérités. Simple et naturelle évidence pour les uns, elle constitue un insondable mystère doublé d’une totale révolution conceptuelle pour le plus grand nombre… Et – comme nous allons le voir ci-dessous – même là où l’on est censé y croire, c’est loin d’être aussi évident que cela le devrait…
C’est pourquoi nous sommes particulièrement réjouis de partager ci-dessous l’histoire de Shanti Devi, car la Vérité y ressort avec tellement d’évidence qu’il est à possible de faire quoi que ce soit de plus pour ceux qui – sous l’implacable domination de leur propre intellect – voudront encore nier la simple et naturelle évidence… Eh oui, la Création tout entière est régie par des Lois qui sont juste l’Omnisage Expression de l’Omnisainte Volonté du Créateur. Celui qui les refuse se ferme à lui-même toute perspective de Salut…

Introduction de Patrice van Eersel
Pour six cent millions d’hindous, la réincarnation est une évidence. Elle constitue l’un de leurs plus anciens principes religieux. Quelles qu’aient pu être leurs influences, les conquérants musulmans, puis chrétiens, eurent peu d’impact sur la croyance des Indiens dans les Lois régissant le retour des âmes dans la matière. Régulièrement, il faut le dire, des phénomènes frappants de «souvenirs de vie antérieure» viennent dynamiser la croyance ancestrale. L’histoire (…) {ci-dessous} est de celles qui alimentent les plus grandes interrogations.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas parce que la culture indienne admet depuis fort longtemps l’idée de réincarnation que celle-ci est plus facile à intégrer en Inde qu’ailleurs. L’extraordinaire et très émouvante histoire de Shanti Devi nous montre à quel point, même là-bas, l’hypothèse d’un «retour d’incarnation» – que le dogme et les croyances en vigueur disent pourtant plausible et même normal – peut s’avérer épineux dans la vie quotidienne, prenant les habitudes humaines trop abruptement à rebrousse-poil.
Commentaire de l’EDLADV: Qu’il s’agisse de vie après la mort ou de réincarnation, si la foi était vivante en eux, tout cela paraîtrait à tous parfaitement naturel. Le fait que ce ne soit pas le cas, montre à quel point leur soi-disant « foi », en réalité, est superficielle.
Mais le cas de Shanti Devi était trop beau, trop fort, trop éclatant, pour que les Indiens ne finissent par s’incliner et n’en fassent une figure d’école. Que le Mahatma Gandhi lui-même s’y soit intéressé – —cela se passe dans les années trente -, qu’il ait rencontré la fillette, qu’une commission d’enquête au-dessus de tout soupçon ait été nommée, que cette dernière ait rendu un rapport catégorique… tout cela rend l’exemple de Shanti Devi tout à fait remarquable et, sans doute, unique en son genre. Trente et quarante ans plus tard, quand ils entreprendront chacun une grande enquête sur les cas de réincarnation en Inde, le chercheur suédois Sture Lônnerstrand et le chercheur américain Ian Stevenson vont tout naturellement mettre le cas Shanti Devi en avant.

lire plus
Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Introduction
Nous avons déjà eu l’occasion de rapporter des histoires de réincarnations, comme « La réincarnation de l’adolescente décédée » ou « Un enfant se souvient de sa vie antérieure ».
Justement!, sans être extrêmement nombreux, il y a suffisamment de cas connus d’enfants à se souvenir de leur vie immédiatement antérieure – donc leur vie terrestre précédente – pour – en recoupant les cas – pouvoir déjà en tirer quelques premières conclusions.
Outre l’Enseignement dispensé sur les Bases des Lois de la Création, les autres informations ci-dessous, en particulier, proviennent de divers ouvrages sur la réincarnation, ainsi que des « études sur la réincarnation », mentionnés en bibliographie, au bas de la présente page..
Les recherches et travaux de Ian Stevenson
Le célèbre psychiatre américain Ian Stevenson a passé la plus grande partie de sa vie à étudier des cas de souvenirs de réincarnation chez les enfants. Les très jeunes enfants concernés (de 2 à 6 ans en moyenne) sont suffisamment jeunes pour ne pas pouvoir être soupçonnés de fraude; à 2 ans l’on n’est pas capable d’inventer de toutes pièces, encore bien moins d’élaborer de tels mensonges aussi sophistiqués, surtout lorsque la plus grande partie des affirmations, parfois très circonstanciées, sont – pour la plupart – très facilement vérifiables.
Ian Stevenson (1918-2007) était donc un psychiatre américain, professeur respecté à l’université de Virginie. Il fut le pionnier et le spécialiste mondial de l’étude des cas de réincarnation chez les enfants. Il a notamment publié « Les enfants qui se souviennent de leur vie antérieure » (Sand, 1993); « 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation » (« J’ai Lu », 2007).
Interviewé par le journal « Psychologies », le Pr Stevenson raconte comment l’idée lui est venue d’enquêter sur les réincarnations chez les enfants:
« Au début des années 1960, alors que j’étais professeur de psychiatrie à l’université de Virginie, je devenais de plus en plus perplexe devant les théories classiques, freudiennes notamment, sur la formation de la psyché humaine. Ces théories n’expliquaient pas tout. Loin de là. Parmi les très nombreuses questions que je me posais, je me demandais pourquoi certains bébés ont des phobies ou des aversions très prononcées, comme la peur irraisonnée du noir, de l’eau, de certains animaux… En lisant des ouvrages sur la réincarnation, j’ai découvert des histoires étonnantes : au Sri Lanka, un bébé avait une peur épouvantable de l’eau et criait férocement chaque fois qu’on voulait le baigner. Les parents n’y comprenaient rien. Cela a duré un certain temps, et rien ne pouvait expliquer son comportement. Mais dès qu’il a été en âge de parler, cet enfant s’est mis à raconter la vie d’une fillette de 9 ans qui, en traversant un chemin à travers des champs de riz inondés, a été renversée par un bus et s’est noyée. Comme cette histoire était bien documentée, j’étais stupéfié. Je me suis donc mis à réfléchir à cette question : pourquoi notre psyché ne se construirait-elle pas aussi à partir d’événements d’une vie passée ? Pour moi, il n’y avait rien de plus logique. Restait à le démontrer d’une manière scientifique…. ».
En moins de cinquante ans le Pr Ian Stevenson a  recensé pas moins de 14000 cas de souvenirs de réincarnation sur toute la Terre. Cela nous donne déjà une idée de l’importance du phénomène. Sans être fréquent, il n’est pas pour autant rarissime. Il y a suffisamment de cas pour – pour autant que l’on soit honnête et sincère dans la recherche de la Vérité – ne pas pouvoir les balayer du revers de la main,et aussi pour qu’il soit possible de mieux comprendre le phénomène et d’établir un certain nombre de constats…
Différence entre « souvenirs » et « cas »
Remarquons aussi, déjà, que des « souvenirs de réincarnations » ne sont pas exactement la même chose que des « cas de réincarnation ». Lorsqu’un petit enfant affirme avoir déjà vécu ailleurs sur la Terre, dans une autre famille, et qu’il est capable de fournir de nombreux détails sur sa supposée ancienne vie, et que – après vérification – tous ces détails s’avèrent être vrais, c’est-à-dire conformes à la réalité objectivement observable (voir, par exemple, le célèbre cas de Shanti Devi, déjà examiné sur le site de l’École de L’Art de Vivre), si, pour certains chercheurs (comme le comité scientifique mis en place par Gandhi lui-même, dans le cas de Shanti Devi) cela suffit amplement pour établir le fait indéniable et indubitable de la réincarnation, pour d’autres, dominés par leur propre intellect, il n’y aura jamais assez de « preuves » et même s’ils ne peuvent nier les faits objectifs ni leur donner aucune autre explication valable, ils continueront toujours à affirmer que cela ne suffit pas pour pouvoir affirmer qu’il s’agit d’une réincarnation. Alors quoi d’autre?

lire plus
Bâtisseurs de l’Ancien Monde

Bâtisseurs de l’Ancien Monde

Bâtisseurs de l’Ancien Monde

Comment expliquer toutes les incroyables énigmes montrées dans le film « BAM » visible ci-dessus? Dans le film l’auteur (J.G.) émet l’hypothèse d’une civilisation antique extrêmement brillante, aujourd’hui disparue et disposant alors de connaissances, de savoir-faire et de technologies que l’on croyait jadis complètement inconnus et que l’on ne possède même pas au même degré, de nos jours? Mais d’où ces êtres humains auraient reçu ces connaissances, savoir-faire et technologies?

Une hypothèse qui n’est pas mentionnée dans le film se trouve dans l’œuvre de Roselis von Sass, en particulier dans ses livres « La Grande Pyramide révèle son Secret », « La Vérité sur les Incas », « Atlantide: Un continent choisit sa fin », « Le Jugement Dernier sur la Terre », etc. Et, à vrai-dire, cette fort étonnante hypothèse est la seule qui tient la route…

lire plus
La confiance

La confiance

La Confiance

Questions au sujet de la Confiance

En qui et en quoi l’être humain doit-il avoir confiance? Vis-à-vis de qui et de quoi doit-il être particulièrement vigilant?

Confiance en Dieu et en Sa Toute-Puissance

Il est tout naturel d’avoir confiance dans la Perfection, la Sublimité et Pureté du Créateur d’avoir confiance dans la Volonté de Dieu, confiance dans la Lumière. Dans la confiance en Dieu réside l’Obéissance à Dieu! Par contre, la peur démontre une absence de confiance en Dieu, ou alors la crainte du Jugement.

La Confiance en Dieu peut générer autour de l’être humain une enveloppe protectrice. La créature a seulement besoin d’élever, avec une Confiance spirituellement ressentie, son regard vers le Créateur; car une Confiance solidement ancrée forme toujours le meilleur Chemin pour une Aide en provenance de la Lumière.

Un jour, les êtres humains dignes de ce nom devront aussi avoir confiance en Celui qui aura été désigné par le Créateur pour les délivrer de l’emprise de l’intellect, leur apporter le Secours et la Libération de la détresse spirituelle autant que terrestre.

Pour chaque Don reçu d’En-Haut une confiance renouvelée en Dieu constitue une naturelle contre-valeur de compensation.

A noter que la confiance dans les serviteurs de Dieu est, pour beaucoup, une condition de la Confiance en Dieu Lui-même.

Confiance dans les Lois de la Création

L’être humain peut avoir confiance dans les Lois de la Création, dont la Fiabilité est absolue, de même que dans la Justice Divine. Il peut donc aussi avoir confiance dans l’avenir, s’il peut, rempli de Confiance, à tout moment lever le regard vers Dieu.

lire plus
Les arbres parlent

Les arbres parlent

Les arbres parlent

1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.

lire plus