Ecole de l'art de vivre

Progression Naturelle

  1. "Qu'est-ce que l'esprit?" Il n'est pas toujours facile de répondre clairement à une demande relative à la définition de l'esprit…

  2. "Le Travail de la Conscience" Ce travail si impératif attend donc tout être humain qui sait qu'il est avant tout…

  3. Le Secret de la Sainte Lance La force de la pensée n'est plus à démontrer aujourd'hui. Tout le monde peut…

  4. "Le Jour des morts" La vie réelle prend véritablement son sens que lorsque l'on a saisi la signification de la…

  5. Magnifique poème qui ne demande qu'a être lu à tous ceux qui ignorent qu'une Lumière les attend au bout de…

  6. Magnifique poème qui ne demande qu'a être lu à tous ceux qui ignorent qu'une Lumière les attend au bout de…

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Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

Le conditionnement collectif

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Mode d’emploi qui marche super bien

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Introduction

L’être humain est-il conditionnable? Le sujet a déjà été examiné. La réponse – tout au moins en ce qui concerne les êtres humains ayant perdu leur libre volonté – est, hélas, oui. En réalité, toutefois, un esprit humain vivant est absolument inconditionnable.

Le texte ci-dessous « Le conditionnement collectif » est tout d’abord présenté par Michel Dogna en ces termes:

Ce texte visionnaire est souvent attribué à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes ou à Gunther Anders (1956), Extrait de « L’obsolescence de l’homme ». En fait, il date de 2007 et c’est Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie qui en est l’auteur (Leçon 163: « Sagesse et révolte »).

Le conditionnement collectif

Et – concernant, cette fois, le conditionnement collectif, voici le texte en question:

«Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

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L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

L’être humain n’a pas d’autre juge que lui-même

Lorsque l’être humain de la Terre meurt, en réalité seul son corps terrestre meurt. Au moins jusqu’au Jugement Dernier lui-même ne meurt « jamais ». Ce que nous appelons « mort » c’est juste le fait que son âme quitte le corps terrestre pour pénétrer dans ce que nous appelons l’Au-delà. Le mot « au-delà » est lui-même discutable, parce qu’en réalité rien n’est au-delà: Entre le soi-disant « au-delà » et le soi-disant « en-deça » il n’y a pas de réelle séparation. En-deça comme Au-delà, tout est un monde unitaire transpénétré par les mêmes Lois.
Avec la « mort » le corps terrestre périt et, avec lui, l’un de ses organes les plus importants, celui qui sert d’indispensable outil ici sur Terre à l’esprit humain pour comprendre le monde gros-matériel qui l’entoure: le cerveau. Les pensées, qui forment finalement l’intellect, prennent naissance dans une partie du cerveau, le cerveau antérieur ou grand cerveau. Par conséquent, l’intellect, jugé si important sur Terre, disparaît complètement, lui aussi, avec la mort.
Il est, par nature, éphémère, car l’organe qui le produit — le cerveau — est, par nature, périssable. En effet, que ce soit sur le plan gros-matériel terrestre ou sur un autre plan, rien dans la Création ne peut franchir les limites de son propre genre, dans son être ou dans son activité. Par exemple, il n’est pas question qu’un être humain devienne un animal, pas plus que – inversement – il n’est question qu’un animal devienne un être humain ou qu’il manifeste des caractéristiques spécifiques à l’être humain.
Par exemple – même si la science a pu observer certaines formes, plus ou moins rudimentaires, de langage dans le monde animal, de façon générale, les animaux ne parlent pas un langage articulé, comme le font les êtres humains. Même le perroquet, capable, par instinct d’imitation, de répéter des paroles humaines, ne comprend pas les sons qu’il entend et qu’il répète, et n’interagit pas avec l’être humain ou d’autres animaux par le langage.
L’humain reste humain et l’animal reste animal, parce qu’il y a une différence d’origine (l’être humain est originaire du spirituel, tandis que l’animal est originaire du seul-entéallique) et que ces deux genres de la Création sont fondamentalement différents.
Une conclusion extrêmement importante découle de la constatation du fait que l’intellect, produit par le cerveau terrestre, est périssable. Cela implique, en effet, que l’intellect ne peut saisir et comprendre que ce qui, comme lui, est éphémère et périssable, donc le terrestre. Au-delà de cette limite séparant le genre gros-matériel et le genre fin-matériel il ne peut plus rien appréhender.
Ce qui est fin-matériel et ce qui est spirituel – a fortiori ce qui est éternel comme le Divin – lui échappe donc complètement, tout simplement parce qu’il s’agit là de genres complètement différents. Il ne peut, de ce fait, comprendre et agir au-delà de la matière grossière avec laquelle son cerveau est constitué. Ce serait comme vouloir creuser dans de l’eau avec une bêche ou bien de vouloir s’élever dans les airs en marchant sur l’air avec ses pieds.

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Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes vues de plus haut

Les transplantations d’organes, vues de plus haut

Du fait du constant accroissement du matérialisme, le « don d’organes » est « à la mode ». C’est ainsi que l’on voit de plus en plus (en général sans consultation de la population) fleurir, ici ou là, des communes auto-proclamées « ambassadrices du don d’organes ».
S’il y avait plus de conscience de ce que, en termes de douloureux préjudices, cela signifie vraiment pour les âmes des personnes dont les corps encore vivants (sinon, pourquoi les anesthésier?) sont ainsi « prélevés » et, en termes de karma, pour ceux qui transgressent ainsi les Lois de la Création, il y aurait probablement moins d’exaltation à encourager d’aussi préjudiciables pratiques.

A ce sujet, déjà dans les années 1990, dans son ouvrage « Die Welt wie sie sein könnte » [« Le monde comme il pourrait être »], l’auteur allemand Herbert Vollmann écrivait:

« C’est uniquement sous cette optique que doivent être envisagées les transplantations d’organes qui se pratiquent de plus en plus fréquemment. Si on prélève ces organes sur le corps d’êtres qui viennent de trépasser pour les greffer sur des êtres vivants, on porte incontestablement atteinte à l’intégrité personnelle de l’être humain, qui se trouve ainsi livré sans défense aux médecins puisqu’il ne lui est plus possible de se faire entendre.
Le respect dû au prochain — et ceci comprend également le corps gros-matériel — ainsi que le Commandement qui interdit de lui porter des préjudices de cet ordre ne valent pas seulement pour la période d’existence que représente la vie terrestre; ils s’appliquent également au-delà de la mort.
A quoi peut bien servir un « consentement » donné dans l’ignorance des conditions de l’au-delà! La réalité du monde de matière fine, dont l’on a donné ici [NDLR: Dans le livre « Die Welt wie sie sein könnte »] un court aperçu, éclairera bien vite et douloureusement l’âme du défunt.
C’est pourquoi il faut que cessent de telles expériences pratiquées sur des êtres humains pour la simple raison qu’aucun être humain, y compris le chirurgien, ne peut répondre des conséquences qu’aura son intervention dans l’au-delà: en effet, ne les connaissant pas, il ne peut par conséquent les évaluer.
De plus, la nature elle-même met le plus souvent une limite à cela grâce à la diversité et à l’incompatibilité des groupes de tissus différents, même lorsque l’on tente de briser ces barrières naturelles.
Les interventions pratiquées sur les corps gros-matériels d’êtres humains décédés, y compris les dissections et la crémation, ne devraient, de façon générale, sous nos latitudes, jamais être tentées au cours des trois jours bien connus qui suivent le décès.
L’on admet, en effet, que, passés ces trois jours, l’âme s’est, dans les cas normaux, libérée du corps. Ceci exclurait alors, au premier chef, le prélèvement de tout organe en vue d’une greffe, puisque, pour que l’opération soit médicalement possible, le prélèvement doit se faire immédiatement après la mort clinique.

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La fausse conscience

La fausse conscience

La fausse conscience

« Il ne faut pas regretter que tout soit éphémère en ce monde,
car l’éphémère, lorsqu’il nous touche vraiment,
éveille en nous l’impérissable. »
– Friedrich Hebbels –

C’est quoi la fausse conscience? C’est une conscience dominée par l’intellect et le sentiment. C’est une fausse conscience de soi-même qui, de par l’Activité des Lois, devra, un jour, être effacée, parce que, du fait de sa fausseté, elle est impropre à la vie éternelle.
Le germe d’esprit humain est un support, comme un magnétoscope ou un magnétophone. Le support lui-même est destiné à être conservé. En ce cas l’on peut même dire qu’il est impérissable. Mais l’enregistrement effectué sur ce support, lui, ne sera conservé que s’il a de la valeur et est de bonne qualité.
C’est ce que tout le monde fait sur ses différents appareils – tels des disques durs ou autres dispositifs de sauvegarde – destinés à sauvegarder des enregistrements. Lorsqu’un enregistrement est bon et valable, l’on désire le conserver, car il pourra toujours servir. Mais s’il est mauvais, l’on voudra l’effacer pour s’en débarrasser et faire de la place pour les bons.
Dans cette image l’esprit est comme un magnétoscope et la personnalité est comme l’enregistrement enregistré dessus. Lorsque le Jugement arrive, le moment du Tri est aussi arrivé: Certes les supports sont conservés, mais les mauvais enregistrements sont effacés.
C’est pourquoi s’il est juste de dire que l’esprit, quant à lui, est éternel (du moins éternel en direction de l’avenir!), cela ne signifie pas pour autant que la personnalité qui est enregistrée dessus l’est automatiquement. Elle ne le sera que si elle est valable en regard des Lois de la Création. Une « gravure », au départ temporaire, sera devenue définitive.

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Le faux chemin

Le faux chemin

Le faux chemin

Docteur Karlheinz Hütter

Depuis Hippocrate, tous les grands médecins de l’humanité ont une loi et une méthode. Leur loi était la Loi de la Nature, et leur méthode était l’Art de rechercher cette Loi de la Nature afin de la rendre utile à l’humanité souffrante. L’humanité n’aurait jamais eu besoin de connaître la maladie si elle n’avait pas dévié des Lois de la Création, et si, depuis la chute de l’être humain, elle ne s’était pas de plus en plus éloignée de Dieu. Tout événement extérieur a, partout dans la Création, son {correspondant} intérieur, c’est-à-dire une cause spirituelle.

Car si l’humanité n’avait, en effet, vécu dans la stricte observance des Lois de la Création, que par Amour du prochain, la Joie et la plus riche Bénédiction terrestre seraient devenues son lot. Le Paradis se serait alors, depuis longtemps, développé sur Terre, ainsi que, depuis le début, par Dieu, le Seigneur, cela, pour de l’humanité, a été conçu.

Mais, depuis la chute dans le péché, toutes les sombres caractéristiques ont gagné de l’espace sur Terre et ont mis un terme à l’accomplissement de l’état paradisiaque. Par la haine sont venues les guerres, par les mensonges est venue la décomposition, par les passions sont arrivées les maladies, par la déviation vis-à-vis de la Vérité et des Lois de la Création est arrivé, pour finir, tout le malheur, qui, à présent, maintenant apparemment toute l’humanité apparemment irrémédiablement enserrée. Le Courant rythmique de la Vie issu de Dieu le Père a été interrompu par cette mauvaise façon d’agir de l’humanité, de sorte que la maladie a dû en être la conséquence dans tous les domaines sur cette Terre.

Comment, maintenant, est née la maladie de l’être humain au sens véritable?

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Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Aucun Commandement n’est facultatif!

Respecter fidèlement neuf Commandements
et ne pas en observer ne serait-ce qu’un seul,
cela a pour conséquence, en définitive,
la perdition!

Concernant les Dix Commandements de Dieu, un être humain qui transgresse un seul Commandement ne peut pas aller au Paradis et donc être sauvé.
A plus d’un une telle affirmation pourra sembler terriblement dure, parce que la mentalité humaine courante se dit: « Quelqu’un qui respecte intégralement neuf Commandements de Dieu c’est déjà quelqu’un de très bien! ».
Face à cela plusieurs réflexions peuvent être partagées:
– Les Dix Commandements forment évidemment un indissociable Tout. L’on ne peut pas sérieusement concevoir un être humain réellement soucieux d’accomplir la Volonté de Dieu et qui s’imaginerait que cela suffirait de l’accomplir aux neuf dixièmes. Celui qui a vraiment à cœur d’accomplir la Volonté Divine voudra le faire en toutes choses et particulièrement là où il présente des points faibles. La Fidélité consiste uniquement à accomplir tous les Commandements de Dieu et pas seulement certains.
– Par exemple, la transgression du Deuxième Commandement – indissociable du Premier Commandement – est peut-être la transgression la plus fréquente, tellement elle est, aujourd’hui, banalisée (on la voit, par exemple, complètement généralisée à tous propos dans les films, les séries, les feuilletons, etc.). C’est, pourtant, à l’évidence, manifestement une offense contre Dieu Lui-même, voire un blasphème! Car le Nom de Dieu est Saint, comme Lui-même! C’est probablement le deuxième Commandement non seulement dans l’ordre des Commandements mais aussi – juste après le Premier – en importance, de sorte que son respect est indispensable!

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Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Question: « Si, lors de partages avec mes pairs, je dis tout haut que je désire me laver de mes fautes, cultiver les Vertus, faire le Bien, Servir la Lumière et retourner, un jour, au Paradis, je n’utilise pas, en premier lieu, la grande Puissance du Silence et je ne peux progresser vers le Haut! C’est donc dire que, lors de partages, où nous exprimons tout haut nos buts et nos ressentis, nous enfreignons cette Loi et nous nous coupons de la possibilité de progresser vers le Haut? ».

Réponse: Il n’est pas dit qu’il ne faut jamais parler, mais seulement qu’il faut parler lorsque c’est le bon moment…
Cela veut notamment dire que:
1) La parole doit intervenir au bon moment, lorsque, grâce à la pression résultant du silence, le temps de condensation a abouti.
2) Elle ne doit donc pas être superficielle, donc vide, répétitive, machinale, automatique, etc., mais toujours vivante, elle aussi.
La vertu du « Silence » (que l’on pourrait aussi désigner par l’expression « se taire ») n’est donc pas intrinsèque (= le but serait un silence permanent ou bien de prononcer le moins de mots possible), mais résulte uniquement de ce qu’il produit, sur la pensée initiale, une pression permettant la condensation, donc une attraction magnétique de cette première forme-pensée.
La raison pour laquelle il en est ainsi est liée à la structure même de la matière. C’est une loi physique.
Toute matière (qu’elle soit fin-matérielle ou gros-matérielle) qui, du fait d’une raison quelconque, est concentrée ou condensée devient plus attractive que celle qui l’est moins.
Toute la « Mécanique céleste » découverte par Newton avec sa « gravitation universelle » est basée là-dessus: Si l’on a deux planètes de volume égal, c’est celle qui est la plus condensée (autrement dit dont la masse est la plus grande) qui exercera l’attraction la plus grande sur son entourage.
Dans le cas de la forme-pensée…, par mon silence – c’est-à-dire par le fait de ne pas l’exprimer tout de suite -, j’exerce sur elle une contre-pression (la pensée exerçant elle-même une première pression), de sorte que ma pensée originelle se condense et qu’elle devient donc attractive pour les autres.
Ce n’est pas pour rien que « le plus fort attire le plus faible ». Le plus fort signifie aussi, en ce cas, le plus dense…
Ces autres pensées émises par d’autres penseurs sur le même sujet, donc de genre semblable, planent sur le plan des formes-pensées…, mais c’est la plus condensée de toutes qui va, en définitive, attirer toutes les autres…, de sorte qu’elles ne vont plus en former qu’une seule…

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Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur!

Je n’ai pas peur des maladies, des voleurs, de la nuit noire de la rue (ni de la nuit noire de mon âme).

Je n’ai pas peur de quitter les relations qui ne me permettent pas de grandir et {je n’ai pas peur} d’être seul(e).

Je n’ai pas peur de défendre et de faire entendre ma vérité, même si certaines personnes ne l’aiment pas.

Je n’ai pas peur de rencontrer et d’apprendre des nouvelles personnes qui entrent dans ma vie et de parcourir le monde avec seulement une petite valise et peu d’argent dans mon portefeuille, mais avec un esprit plein de curiosité et d’enthousiasme.

Je n’ai pas peur de demander pardon, de changer de look et d’essayer de nouvelles choses.

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La Rédemption

La Rédemption

La Rédemption

Nécessité de la Rédemption
Étant donné que – à part les très peu nombreux Missionnés – « les gens bien ne sont pas/plus sur Terre », pratiquement tous les êtres humains actuellement présents sur la Terre ont besoin, oui, de … Rédemption! Oui, tous les êtres humains, vous, les autres … et moi!
Mais comment cette Rédemption peut-elle s’effectuer? Concernant la Rédemption il y a l’aspect collectif et l’aspect individuel. L’aspect collectif est surtout théologique; la Rédemption serait essentiellement le fait du Rédempteur. A part croire en Lui, les bénéficiaires n’auraient quasiment rien à faire pour être rachetés. Leur Salut serait assuré par un Autre qu’eux…
La Doctrine de la Justification
C’est ainsi qu’est née, par exemple, la « Doctrine de la Justification ». La Justification signifie ici: Comment se justifier devant Dieu. Naturellement, il ne s’agit pas ici de tenter de s’auto-justifier soi-même avec des mots surgis de l’intellect, dans le sens de s’auto-disculper vis-à-vis de ses fautes. Devant le Juge Suprême, cela ne marche pas!
Il s’agit donc de se justifier spirituellement devant Dieu, autrement dit de pouvoir paraître devant Lui en qualité de Juste. Au sujet de cette « Doctrine de la Justification » il existe, dans une tentative de rapprochement doctrinal inter-églises chrétiennes, une « Déclaration conjointe de la Fédération Luthérienne Mondiale et de l’Église Catholique ». Il existe même une « Science du Salut » appelée la Sotériologie, rien que cela!
Jésus comme Rédempteur
Étant donné que cela déjà été fait, nous n’approfondirons pas ici en détails cette Doctrine de la Rédemption entièrement centrée sur le Sacrifice de Jésus. Un faux sens lui a été donné. L’assassinat du plus Innocent qui soit ne pouvait racheter personne, bien au contraire! Cela ne pouvait que charger encore bien davantage le karma des pécheurs.
Question: Mais si Jésus n’est pas mort sur la croix dans le but d’expier nos péchés à notre place, peut-Il toujours être désigné comme étant le Rédempteur? La réponse à cette question est clairement oui. Il suffit juste de comprendre que la Rédemption ne réside pas dans le fait d’expier nos péchés à notre place – ce que l’Omni-Justice Divine ne permet clairement pas! – mais dans le fait – avec tous les risques que cela comporte! – d’apporter jusque sur la Terre largement enténébrée la Parole de la Vérité Divine seule capable de montrer aux êtres humains profondément déchus le Chemin du Salut, qui, pour eux, déjà à cette époque, était déjà perdu.
En effet, les paroles des Prophètes déjà envoyés par Dieu ne suffisaient plus à ramener les êtres humains perdus vers la Lumière. Il fallait – venu d’En Haut – un Secours plus incisif que Seule une vivante Partie de DIEU Inentéallique (= Inqualifiable, sans nature propre ni attributs, totalement Indépendant) pouvait encore apporter. Ce fut une Mission d’urgence. Si Jésus n’était pas alors venu, plus aucun être humain de la Terre encore sur Terre ne pouvait plus être sauvé!

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