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Les ravages de l’intellect

Les ravages de l’intellect

Les ravages de l’intellect

«L’on peut dire de l’intellect ce que l’on peut dire de l’argent: c’est un excellent serviteur, mais un très mauvais maître.»

L’être humain a coutume de chercher ses ennemis à l’extérieur, sans soupçonner que son plus mortel ennemi est à l’intérieur de lui-même.
Avant toute Progression, donc Ascension réelle, il est absolument nécessaire de reconnaître l’ennemi, celui qui entrave le Chemin de l’Ascension vers la Lumière.
C’est là un sujet tout à fait fondamental que les Chercheurs sérieux doivent obligatoirement, un jour ou l’autre, très sérieusement aborder, car {le postulat de départ est ici que} la domination de l’intellect est l’ennemi public numéro 1 non seulement de l’humanité entière mais aussi, en premier lieu, de chaque être humain individuel.

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La rumination mentale ou «ressassage»

La rumination mentale ou «ressassage»

La rumination mentale ou «ressassage»
«L’on est riche des coups que l’on a reçus et non de ceux que l’on a esquivés.»
Définition
La rumination mentale est un véritable fléau.
C’est un état pathologique qui conduit à la maladie de l’âme et à celle du corps.
Principe
L’être humain doit vivre, faire l’expérience de la vie.
Vivre réellement signifie vivre au présent, dans le présent.
Il n’y a que dans le présent que l’on peut et doit vivre.

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Les quatre étapes d’une Idée nouvelle

Les quatre étapes d’une Idée nouvelle

Les quatre étapes d’une Idée nouvelle
“Mutig voran, Gottwohlgetan!”
«Nul ne peut se tenir en face de la Vérité pour la réfuter.»
«Les chiens n’aiment pas le bâton,
les hommes n’aiment pas la vérité.»
– Proverbe tibétain –
«Les vérités que l’on aime le moins à apprendre
sont celles que l’on a le plus d’intérêt à savoir.»
– Proverbe Chinois –
«Toute vérité passe par trois étapes: D’abord, elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue, et, pour finir, elle est acceptée comme absolument évidente.»
a dit Arthur Schopenhauer (1788-1860).

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Le savoir inutile

Le savoir inutile

Le savoir inutile
«On nous cache tout, on nous dit rien! Plus on apprend, plus on ne sait rien!», dit fort justement la chanson.
Qu’est devenue l’école, aujourd’hui ? L’école est largement devenue une école de l’ignorance, où les élèves – que l’on devrait élever – sont constamment rabaissés et même écrasés sous le poids d’un savoir purement intellectuel – donc  mort – dont le Noyau vivant de l’être humain n’a que faire.
Le {vrai} Savoir est uniquement le fruit de l’expérience vécue personnelle. Ce que l’on appelle faussement «savoir par cœur» – qui n’est, en fait, que savoir par tête – n’est pas {vraiment} savoir. Car le vrai Savoir est, en effet, celui qui est véritablement du Cœur, celui que l’on a expérimenté avec son cœur.

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Histoire de la grenouille cuite

Histoire de la grenouille cuite

La grenouille cuite
Une expérience hautement significative
Soit, placée sur un trépied, une marmite remplie d’eau froide (entre 0° et 10° C), dans laquelle barbote tranquillement une grenouille.
Un feu doux est alors allumé sous la marmite; l’eau chauffe très progressivement. Elle est bientôt tiède (20° C à 30° C). La grenouille trouve cela franchement agréable et continue à barboter paisiblement.
Graduellement, la température continue à monter. L’eau est maintenant chaude (45°C.). C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais, saisie par une relativement agréable torpeur, elle ne s’affole pas pour autant, mais barbote juste plus lentement.
Quelques minutes plus tard, l’eau devient, cette fois, vraiment très chaude (60° C). La grenouille commence à trouver cela franchement désagréable, mais l’eau trop chaude, agissant de façon émolliente, l’a, en même temps, affaiblie et anesthésiée, alors elle supporte passivement la situation et ne fait rien pour s’en sortir.
La température de l’eau continue encore à s’élever (80° C), jusqu’au moment où, avant même que l’eau ne soit parvenue à ébullition (100° C), la grenouille va tout simplement finir par cuire et donc mourir, sans jamais avoir fait, à temps, quelque chose pour s’extraire de ce milieu pourtant, entre temps, devenu, pour elle, mortel.

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Échappe au faux!

Échappe au faux!

Échappe au faux!

L’être humain, en conséquence de la domination intellectuelle, est devenu extrêmement superficiel.
Cette superficialité, liée à la paresse d’esprit, se vengera amèrement sur lui, parce qu’elle est capable de causer sa perte.
Pour mieux discerner en quoi la superficialité peut s’avérer catastrophique, considérons l’importante différence entre véritablement «Savoir» et seulement «avoir entendu dire».
La différence entre «Savoir» et «avoir entendu parler»
Prenons le cas de personnes interrogées au sujet d’une chose quelconque dont elles ont entendu parler et qu’elles ont aussi, peut-être, pu voir pour une part. Interrogées à ce sujet, la plupart affirmeront, sans plus, qu’elles savent de quoi il retourne.
Selon l’opinion de la plupart des êtres humains actuels tellement superficiels, cette réponse serait exacte, et pourtant, tout bien considéré, elle est fausse et, par conséquent, condamnable.
« Savoir » signifie, en effet, être capable de donner des renseignements précis sur une chose considérée dans sa globalité, donc depuis le début jusqu’à la fin, sur chaque détail, sans aucune lacune, et à partir de sa propre expérience vécue. Alors seulement un être humain peut dire qu’il sait.
Il réside donc une grande responsabilité dans l’expression « Savoir » et la notion qui s’y trouve liée!
Il y a une immense différence entre le « savoir » et l' »appris ». Ce qui est appris fait seulement partie de l’érudition, et l’érudition n’est pas, et de loin, savoir véritable, lequel ne peut être que strictement personnel, tandis que l’appris demeure l’acceptation, sans vérification personnelle, de quelque chose d’extérieur à la personne.
Autrement dit, Savoir est spirituel tandis qu’apprendre est intellectuel.
Ce que l’on sait le mieux, c’est ce que l’on n’a jamais appris!

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Le ravageur endoctrinement

Le ravageur endoctrinement

Le ravageur endoctrinement

Au bout du chemin que nous suivons encore présentement, sans Intervention supérieure, c’est la culbute assurée!
Le savoir intellectuel humain a déjà amplement montré qu’il conduit à l’impasse: Du fait de l’hypertrophie de la «grande cervelle» et de la domination intellectuelle en résultant et – liée à cela – de la cupidité d’un grand nombre de Terriens, la Terre elle-même est menacée de destruction et la vie sur Terre est donc, elle aussi, tout simplement menacée de disparition.
Voilà à quoi a conduit le déséquilibre encéphalique entraînant la domination de l’intellect et tout le cortège de son inutile et donc nuisible savoir, puisque tout ce qui est inutile ne peut faire autrement que d’agir de façon nuisible: À l’impasse totale.

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Le tourisme mondial: La profanation généralisée

Le tourisme mondial: La profanation généralisée

Le tourisme mondial: La profanation généralisée

En temps de «vacances» (bien nommées, parce que la vacuité humaine s’y manifeste encore davantage qu’en temps ordinaire!) re-surgit périodiquement une nouvelle espèce d’êtres humains – à moins que cela ne soit une espèce d’êtres in{fra}-humains! –l’«homo touristicus».
L’«homo touristicus» veut tout voir et tout connaître dans le vaste monde. Alors il visite les pays de la Terre qui ont des choses à lui montrer.
Et, en dehors de leur beauté naturelle (les paysages de montagnes, forêts, côtes, mers, etc… – à l’existence desquelles les êtres humains n’ont aucune part mais dont ils se glorifient quand même!), que les différents pays – ou différentes nations – ont-ils/elles donc à montrer?
Pour l’essentiel, pour ceux qui peuvent se glorifier d’avoir été, jadis, le théâtre d’anciennes et brillantes civilisations, des édifices, des monuments, des œuvres d’art.
Et l’«homo touristicus» veut voir tout cela. Il veut «faire le tour» de tout ce qui existe, tout visiter, jauger, photographier, filmer, «vidéoter», enregistrer, mettre dans ses boîtes.
À noter que les monuments en question sont, le plus souvent, des monuments religieux, tels que cathédrales, églises, temples, monastères, couvents, cloîtres, synagogues, mosquées, pagodes, etc., des différents cultes, avec toutes leurs riches décorations, sculptures, peintures, ornementations, etc.
Ils furent, en général, édifiés par des hommes de Foi, et c’est précisément leur Foi qui leur inspira, quel qu’en soit le genre, la réalisation de ces authentiques œuvres d’Art, que l’on admire encore aujourd’hui.

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