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Mariage pour … la Vie!

Mariage pour … la Vie!

Mariage pour la … Vie!

La conception courante traditionnelle relativement au Mariage est – ou était – que l’on se marie … pour la vie!  L’on entend – ou entendait – par là que le mariage devait durer la vie entière … voire davantage! Par « davantage » l’on entend ici la vie … éternelle! Cela sous-entendait que le mariage c’était … pour l’éternité! Mais – comme dit l’humoriste – « l’éternité c’est long, surtout … vers la fin! »  😛 .
Une conception un peu différente est exprimée par la parole parfois prononcée par l’officiant à l’attention des mariés, c’est – leur dit-il – que le mariage doit durer … « jusqu’à ce la mort vous sépare! », c’est-à-dire, au moins, déjà, toute la vie terrestre. Dans cette formulation il n’est pas question de la vie éternelle, mais seulement de la vie terrestre.
Le point commun entre les deux conceptions ci-dessus mentionnées c’est que cela sous-entend cette autre formule – tout à fait fausse! – affirmant: « On n’a qu’une vie ». Cette conception – largement répandue dans la catholicité et correspondant même au catéchisme officiel – implique que les mariés s’imaginent naïvement poursuivre au Paradis la vie qu’ils ont connue sur Terre. Ils croient que leur famille terrestre c’est pour l’éternité!
Ici il est possible d’évoquer un très beau livre intitulé « Le Mariage » de Bo Yin Ra. Assurément – pour ce qui est des délicats égards devant régner entre les deux conjoints dans un couple authentique – ce livre est magnifique. Il est juste dommage que la conception fondamentale du mariage qui y est développée ne soit pas entièrement juste. L’auteur considère, en effet, les deux conjoints comme les deux moitiés d’une orange qui aurait été coupée en deux lors de la Création de l’être humain, deux moitiés qui, à chaque vie terrestre, s’efforceraient ensuite de se réunir.
Cette conception ne peut être juste que pour des cas très particuliers (peut-être était-ce le cas de l’auteur?) et très rarissimes. Mais de tels cas tout à fait exceptionnels ne peuvent absolument pas valoir en tant que règle générale. La règle générale, au contraire, est qu’un être humain « normal » n’en est jamais réduit à un autre être humain unique pour trouver son complément au cours d’une vie terrestre. Il peut, tout au contraire, en rencontrer plusieurs au cours d’une même vie, de sorte que si l’un des deux n’est pas présent au rendez-vous, l’autre ne soit pas contraint pour autant à un célibat forcé au cours de cette vie.
Lorsque la conscience s’élargit et qu’un être humain se rend compte qu’en fait son esprit (pas son intellect!) – même si sa conscience terrestre ne s’en souvient pas – a déjà vécu de nombreuses vies terrestres, alors il – ou elle – peut se demander ce qu’il va faire de ses nombreuses épouses – ou nombreux époux -, au Paradis, pendant … l’éternité?!

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Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

L’Intelligence Artificielle au service du mal

En soi l’Intelligence Artificielle est un simple outil, neutre, pouvant rendre service si –  comme l’intellect – cet outil demeure sous la maîtrise de l’esprit. Si, par contre, ce n’est pas le cas l’Intelligence Artificielle – comme l’intelligence naturelle – l’intellect – va inévitablement se placer au service du mal.
De plus en plus l’on voit – avec la vulgarisation des « services » pouvant être rendus par ce qu’il est maintenant convenu d’appeler l' »Intelligence Artificielle » (« IA ») – que tout individu animé d’intentions douteuses ou mêmes franchement malhonnêtes peut toujours plus facilement arriver à berner son prochain dans le but de l’escroquer, de lui nuire de toutes sortes de manières, d’endommager ou salir sa réputation, ou de se moquer de lui.
Il est ici hors de propos – et même probablement impossible – de passer en revue toutes les possibilités de nuisance de cette nouvelle technologie. Aussi nous bornerons-nous à quelques exemples et surtout nous nous interrogerons pour savoir ce que peut faire l' »honnête homme » contre cela…

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Ars Moriendi

Ars Moriendi

Ars moriendi

L’Art de {bien} mourir

Les cinq tentations de l’âme

 « Memento mori. »
 « Souviens-Toi que Tu es mortel. »

L’Art de {bien} Mourir
Cultiver l’Art de bien mourir c’est tout simplement se préparer à mourir. Ce qui comprend se préparer à affronter ses démons.
Les « Ars Moriendi » au pluriel, autrement dit « Art(s) de {bien} Mourir », sont caractéristiques de l’état d’esprit régnant à la fin du Moyen Âge jusqu’à la fin de la Renaissance. Bouleversés par les douloureuses épreuves traversées par les peuples de l’Europe à cette époque (guerres, épidémies telles que la peste…), les êtres humains placent la mort au cœur de leurs préoccupations. Afin de tenter de contrer l’angoisse, se développent des genres littéraires et artistiques tels que les « danses macabres », les « vanités », et les « Ars Moriendi ».
Les « Ars Moriendi » – dont il est maintenant ici question – sont des illustrations – souvent des gravures sur bois – présentant un homme allongé sur son lit mortuaire et se tenant donc au seuil de la mort. Secourables, des Anges viennent au chevet du mourant pour l’inviter à s’élever vers le Paradis. Mais, à l’inverse, des démons s’efforcent de retenir l’agonisant en bas dans la matière grossière, en lui faisant regretter les richesses matérielles terrestres dont, du fait de sa mort, il se trouve, à regret, contraint de se séparer.
La parfaite compréhension du sens éducatif des gravures nécessite la connaissance des Lois de la Création. Il faut distinguer le monde terrestre (le mourant, son lit mortuaire, ses amis et sa famille) gros-matériellement visible et le monde immatériel, supra-terrestre, spirituel, auquel appartiennent les anges ainsi que celui de l’Au-delà encore proche de la Terre auquel appartiennent les démons. Seul le mourant a accès à cet univers de l’Autre Monde.
En effet, grâce au processus de la « semi-vision » – ou « vision de transition » – (qui – en attendant que les yeux fin-matériels s’ouvrent pleinement (*) – permet de déjà commencer à voir le plan de l’Au-delà le plus proche à l’aide des yeux gros-matériels), il est comme  à califourchon entre deux mondes. Pour lui, le voile entre le monde gros-matériel lourd et le monde gros-matériel moyen et fin a déjà commencé à se déchirer.
La famille – l’entourage – de l’agonisant est dans le monde gros-matériel, et, de ce fait, ne voit pas les démons. Par contre, les démons, eux, voient les vivants de la Terre et se divertissent à leurs dépens, sans même que ceux-ci n’en aient conscience.
Sur les illustrations les parchemins déroulés sur lesquels des mots sont inscrits correspondent aux « bulles » des bandes dessinées modernes. Cela décrit les paroles prononcées par les démons et les anges.
A noter que l’auteur de ces gravures est un certain « Meister [« Maître »] « E.S. » », ainsi appelé parce que l’on ne connaît que ses initiales, avec lesquelles il signait souvent ses œuvres.

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Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

La femme entretient la vie!
Donne à une femme…
 Et Tu récolteras au milluple!

La femme authentique est magique.
Elle embellit, magnifie et fait fructifier tout ce qu’elle touche!

Donne-lui des Fleurs, et elle Te donnera … un sourire!
Donne-lui des graines, et elle Te fera … un jardin!
Donne-lui des légumes, et elle Te fera … un repas!
Donne-lui des poules, et elle Te donnera … une ferme!
Donne-lui Ton chien, et elle lui donnera … son affection!
Donne-lui Ton respect, et elle Te donnera … son Amour!
Donne-lui un sourire, et elle Te donnera … son cœur!
(…)

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Un Exemple d’Humilité

Un Exemple d’Humilité

Élisabeth de Thuringe

Avec Lucien Siffrid nous avons déjà appris à mieux connaître la Vertu de l’Humilité. Nous voudrions maintenant nous intéresser à un cas concret en donnant un exemple célèbre.
Une Princesses hongroise devenue Reine de Thuringe
Il s’agit ci d’Élisabeth de Thuringe  – initialement appelée, en tant que princesse hongroise, Élisabeth de Hongrie, née à  Presbourg, le 7 juillet 1207 –  décédée à Marbourg (où son enveloppe terrestre a sa châsse), le 17 novembre 1231.
Fiancée à quatre ans et mariée à quatorze ans au Landgrave Louis IV de Thuringe, Élisabeth de Hongrie a vécu de 1211 à 1228 au Château de la Wartburg auprès de son époux, de ses quatre enfants (le dernier n’était pas encore né au décès de son mari – survenu peu après son départ pour la croisade -, lorsqu’elle doit quitter le château, parce qu’elle ne voulait pas se re-marier) et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière.
Étant donné que Élisabeth n’avait pas le profil habituel des femmes de la cour, l’entourage du roi Louis 4 fut d’abord hostile à sa présence au château de la Wartburg en tant qu’épouse du roi et reine de la Thuringe. Alors le roi Louis IV de Thuringe leur répondit:
– « Voyez-vous, leur dit-il, cette grande montagne en face de nous? Eh bien, quand même vous me donneriez une quantité d’or plus considérable que cette masse gigantesque, je ne renverrais pas Elisabeth. ».
Le roi était conscient du Trésor qu’en la personne d’Élisabeth il avait dans son royaume, son château et son foyer.
Élisabeth disait:
– « Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-Il pas me voir joyeuse? Puisque je L’aime et qu’Il m’aime? ».
Un évocateur et admirable personnage féminin – une sorte de Mère Thérésa du Moyen Âge – suscitant, encore aujourd’hui, l’admiration des habitants non seulement de sa Hongrie natale mais aussi de ceux de sa Thuringe d’adoption, sans parler des innombrables étrangers, Chrétiens ou non…

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Le Chemin propre

Le Chemin propre

Le Chemin propre

Cinq Sages se sont égarés dans une vaste forêt, dense et sombre.
Lorsqu’il s’agit d’enfin en sortir….:
– Le premier dit: «Je vais à gauche, c’est mon intuition qui me le dit.».
– Le deuxième dit: «Je vais à droite. Ce n’est pas en vain le mot « droite » dérivé du mot « droit ».».
– Le troisième dit: «Je fais demi-tour. C’est de là que nous venons, c’est de là que je sortirai sûrement des bois.».
– Le quatrième dit: «Je vais de l’avant – il faut avancer, la forêt va sûrement finir par se terminer et quelque chose de nouveau va se présenter.».
– Le cinquième dit: «Aucun de vous n’a raison. Il y a un meilleur moyen. Attendez-moi.».
Il trouve l’arbre le plus élevé de la forêt et l’escalade. Une fois en haut de l’arbre, il voit où il doit aller pour – le plus vite possible – sortir de la forêt.
Maintenant, il peut même dire dans quel ordre les autres sages vont arriver à la lisière de la forêt. Monté le plus haut, il voit le plus court chemin pour sortir de la forêt. Ainsi il se rend compte qu’il se tient au-dessus du problème, de sorte qu’il peut ensuite le résoudre mieux que quiconque! Il est sûr qu’il a tout fait correctement. Mais pas les autres. De son point de vue, ils se montrent têtus à ne pas vouloir l’écouter. Il pense de lui qu’ainsi il s’est montré un vrai sage!
Mais, en fait, oui, il a tort de présomptueusement penser cela…
Et pourquoi donc?

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Lorsque l’on triche avec les Lois…

Lorsque l’on triche avec les Lois…

Lorsque l’on triche avec les Lois…

La mère de l’enfant qui n’était pas le sien

Des « faits divers » toujours plus interpellants pour la conscience
Après les « dons de semence » masculine sans conscience et l’homme enceint (sic!), voici maintenant un nouveau « fait divers » – notamment signalé au journal télévisé du 20/02/2025 – montrant comment, de plus en plus, dans un monde à la dérive, sans morale et dominé par l’intellect et le sentiment, des situations toujours plus aberrantes et même ubuesques se présentent …:
Un nouveau cas: La mère de l’enfant qui n’était pas le sien
Une Américaine voulant probablement « faire un bébé toute seule » (sic!) – subit une « erreur de fécondation in vitro » et se voit implanter dans son utérus un embryon qui n’est pas « le sien ». Arrivée au terme de sa grossesse – alors que, tout comme elle, le « donneur de sperme » (expression issue de la langue de plomb) est blanc, elle met au monde un enfant noir. Se doutant de quelque chose de « pas normal », elle s’adresse à la « clinique de fertilité » où elle a été implantée, laquelle reconnaît une « erreur d’implantation ». 
L’embryon qui lui a été implanté n’est bien pas le sien mais – en fonction de la génétique – appartient à un couple vraisemblablement noir, à qui, d’un point de vue juridique, elle doit – bien évidemment – rendre l’enfant! Dès lors, cette mère ayant eu recours à une fécondation artificielle se pose en victime en tant que « mère porteuse involontaire » (sic!).
Aucune remise en cause sur le fond, de la part de personne!
Au cours du reportage de la TV française, un spécialiste de la fécondation artificielle et de la « GPA » (« gestation pour autrui ») (sic!) déplore exclusivement le « manque de contrôle » existant dans certaines cliniques de fécondation artificielle, sans – bien évidement -, le moins du monde, remettre en cause de telles pratiques artificielles pourtant, à l’évidence, contre-nature. Personne, ici, ne se remet en cause, ni les « spécialistes », ni la clinique, ni la mère.
Comment la mère découvre l' »erreur »…
Dans le détail, « malgré ses doutes », la future mère « rentre chez elle avec l’enfant et s’en occupe pendant cinq mois ». « Fin janvier 2024, un kit de test ADN réalisé à domicile lui révèle qu’elle n’est pas la mère biologique de l’enfant qu’elle a porté pendant 9 mois. Elle en fait part à la clinique le 5 février (2025), qui alerte les parents biologiques. ».

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La véritable Autorité

La véritable Autorité

 « Celui (ou celle) qui s’efforce de dominer les autres avec son intellect,
  montre simplement qu’il est lui-même dominé par son propre intellect. »

La véritable Autorité ne peut être que spirituelle. Avec cette simple phrase tout est dit ou à peu près. Dans un monde ou une société où, tout au contraire, l’autorité est basée quasi exclusivement sur les seules compétences de l’intellect dominateur, cela permet facilement de comprendre comment s’effectuent de nombreuses dérives tyranniques.

Lorsqu’il ne se tient pas sous la maîtrise de l’esprit, en effet, l’intellect qui, volontiers, prend « toute la place », est facilement dominateur. Il est comme une bête sauvage qui, sous la maîtrise de son dompteur, va pouvoir se comporter d’une façon agréable et non dangereuse, mais qui – si le dompteur « lâche la bride » et se laisse dépasser – va pouvoir, sans ménagement, dévorer tout ce qui se trouve autour de lui, y compris son dompteur!

La véritable Autorité

L’Autorité spirituelle, c’est ce qui aide à grandir. Elle rayonne mais ne s’impose pas. Ou – si elle s’impose -, elle s’impose naturellement. Sans exercer de pression arbitraire sur autrui. C’est toute la différence entre régner et assujettir. Régner signifie non pas commander mais servir.

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La médialité

La médialité

La médialité

Introduction
Beaucoup s’imaginent que la médialité – ou médiumnité – rime avec Élévation spirituelle ou Illumination spirituelle. Ce n’est pourtant pas le cas. A quoi sert-il spirituellement à un être humain de voir ou percevoir ce qui – dans la matière fine (ou le plus souvent, seulement même dans la matière grossière moyenne [aussi communément appelée « plan astral »] – ou fine [le plan des formes-pensées]) – se tient à la même hauteur (et souvent même bien en-dessous!) que lui? La réponse est simple et irréfutable: A rien! Cela ne peut que nourrir sa curiosité intellectuelle, rien d’autre. Comme de trop se pencher au bord du vide pour voir ce qu’il y a « en bas », cela comporte aussi, en outre, de très graves dangers.
Cela ne signifie pas pour autant que la médialité n’ait aucune raison d’être et que les êtres humains de la Terre doivent complètement se désintéresser de la matière fine, mais, pour une pratique salutaire, naturelle et saine, il y a de rigoureuses conditions à respecter. Des pratiques comme la « transcommunication instrumentale » – où le moteur est, à l’évidence, la curiosité intellectuelle et la « soif du mystère », ne font pas partie de ce qui est recommandable. Si un être humain doit fin-matériellement entrer en contact avec l’Au-delà, cela doit se faire d’une manière entièrement naturelle, sans rien de forcé ni de contraint, donc sans l’avoir intellectuellement cherché. Uniquement à partir d’une aspiration animique, cela arrive, c’est tout.
Cela exclut donc des pratiques comme les tables tournantes, la Table-Girardin,  le oui-ja, le pendule, etc., et cela pour une raison toute simple: Toutes ces pratiques utilisent des supports {gros-}matériels. Or, du fait de la Loi d’Attraction du Genre Semblable (le genre semblable est plus important entre les ténèbres et la matière grossière qu’entre la Lumière et la même matière grossière), lorsqu’il s’agit de contrôler un objet gros-matériel, les ténèbres ont toujours la préséance, car – afin de ne pas devoir se souiller à leur contact – un esprit lumineux est obligé de se retirer et de leur laisser le contrôle de l’objet gros-matériel.
C’est la raison pour laquelle, par exemple, si des participants à un oui-ja ayant posé leur doigt sur un verre, un chapeau haut de forme, une boîte en carton, ou tout autre objet gros-matériel, et ayant obtenu un début de phrase provenant authentiquement d’une personne décédée s’étant présentée comme telle, un bas esprit de l’au-delà, usurpant son identité, peut tout à fait finir une phrase commencée par elle à sa place! C’est pourquoi la tromperie et l’illusion sont les compagnons habituels de tels investigateurs de l’au-delà, suffisamment crédules pour accorder un quelconque crédit à de telles « communications »!

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