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Une authentique Image de Jésus?

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L’Icône de la Sainte Face dans la Cathédrale de Laon

Le Mandylion

«Ô, Christ Dieu, celui qui a confiance en Toi ne périra pas.»
– Roi Abgar d’Edesse. –

« Icône serbe de la Sainte Face datant du XII-XIIIème siècle et conservée dans le transept Nord de la Cathédrale de Laon, Aisne, France. Le tableau représente la figure biblique sur un mouchoir déplié avec l’inscription en slavon « Visage du seigneur sur un linge ». L’œuvre aurait été acquise par Jacques de Troyes [NDLR: dit « Pantaléon »], archidiacre de Laon, qui deviendra pape en 1261 sous le nom de Urbain VI. Il aurait fait don de l’icône à sa sœur Sybille, abbesse du monastère cistercien de Montreuil en Thiérache. L’icône fait l’objet d’un pèlerinage, qui se perpétue lorsque l’ordre religieux déménage en 1636 à Laon. A la suite de la disparition de l’abbaye durant la Révolution française, l’icône est intégrée au trésor de la Cathédrale. Elle a été restaurée à plusieurs reprises (1931, 1982 et 1988). »

« Le Mandylion du roi Abgar {d’Edesse} est la représentation la plus authentique du Christ, parce qu‟elle a été obtenue par le contact immédiat avec le Visage de Jésus… » – Source.

Histoire du roi Abgar d’Edesse
« Selon la légende, le roi Abgar (NDLR: Abgar V), qui souffrait d’un mal incurable, aurait adressé une lettre au Christ, dont il avait appris les Miracles. Il  invitait le Christ à abandonner les Juifs indignes et à venir se fixer en Osroène. Dans la réponse qu’Il lui aurait faite, le Christ aurait promis de dépêcher, après son Ascension, un Disciple qui guérirait Abgar. Ce fut Thaddée, l’un des soixante-douze Disciples.
À noter que L. Ælius Septimius Abgar VIII (177-214) se convertit réellement au Christianisme, et dès la période sassanide, l’Osroène fut un centre important de la diffusion du Christianisme en Orient. Certains historiens font même remonter la pénétration du Christianisme en Osroène au 1er siècle. »

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Le Suaire de Turin dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin, dit Le Saint Suaire

Le Suaire de Turin – ou Linceul de Turin – a échappé à de multiples reprises et de façon vraiment extraordinaire à la destruction. Les coïncidences sont troublantes. Découvert au Matin de Pâques à plat, gisant sur la banquette de pierre du sépulcre, par Simon-Pierre et Jean l’Évangéliste, comme si le corps de Jésus avait disparu de l’intérieur, il fut d’abord conservé à Jérusalem par les Disciples, puis emporté, probablement à Pella ou à Antioche, au début de la guerre des Juifs, vers l’an 66, lorsque les premiers Chrétiens, avertis par une Prophétie, quittèrent la Ville Sainte. Le Linceul et les autres reliques de la Passion échappèrent ainsi à la destruction par les armées de Titus en 70. Malheureusement, l’on ignore ce qu’ils devinrent ensuite durant plusieurs siècles.

Concrètement, le Suaire de Turin, dit « Le Saint Suaire », est un drap de lin jauni de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large montrant l’image floue (de face et de dos) d’un homme présentant des traces de blessures résultant à l’évidence d’une crucifixion. Le crucifié du Suaire abrité dans la Cathédrale Saint Jean Baptiste de Turin est-Il Jésus de Nazareth? Même si, selon la « science », cela ne serait pas le cas (la datation au carbone 14 dirait que non), la conviction intime de nombreux croyants est qu’il s’agit bien du Suaire ayant, après sa descente de la croix effectuée par Joseph d’Arimathie et Nicodème, enveloppé le corps crucifié de Jésus.

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Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

Le Mystère du Tombeau vide

«Et si {le} Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et, par conséquent, aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.»
(Apôtre Paul – «Première Épître aux Corinthiens» – Chapitre XV – Versets 17-18)

La Résurrection du Christ – comme le souligne pertinemment l’Apôtre Paul, dans sa première épître aux Corinthiens – est donc absolument centrale dans la Foi chrétienne.
Normal, Jésus n’a-t-Il pas dit?:
 «Détruisez ce Temple, et, en trois jours, Je le relèverai.».
(Jean II, 19)
Au sujet de cette Parole Jean précise juste après: «20 Les Juifs dirent: Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et Toi, en trois jours, Tu le relèveras! 21 Mais Il parlait du Temple de Son corps. 22 C’est pourquoi, lorsqu’Il fut ressuscité des morts, Ses Disciples se souvinrent qu’Il avait dit cela, et ils crurent à l’Écriture et à la Parole que Jésus avait dite.» (Jean II, 20-22).
Et Jésus n’a-t-Il pas aussi dit?:
«Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie,
  nul ne vient au Père que par Moi.».
(Jean XIV, 6)
Si Jésus est, entre autres, la Vie, Il est, par conséquent, bien sûr, à même de vaincre la mort!
«Je suis la Résurrection et la Vie.
 Celui qui croit en Moi,  fût-il mort, vivra.»
(Jean XI, 25)
Et, en plus, celui qui croit en Jésus et, de ce fait, met Sa Parole en pratique, peut, lui aussi, vaincre la mort!
«En Vérité, en Vérité, Je vous le dis, celui qui écoute ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle et ne vient point  en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» (Jean V, 24)
Celui Qui a envoyé Jésus, c’est, bien sûr, Son Père, Dieu, le Créateur de tout ce qui existe. Cette Parole est la confirmation que croire en Jésus c’est écouter Sa Parole, et que écouter Sa Parole c’est la mettre en pratique. C’est cela qui permet de passer de la mort à la Vie, et donc de ressusciter.

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La Nuit du Berger

La Nuit du Berger

La Nuit du Berger
– Conte pour la Nuit de Noël –
En cette saison et à cette époque – nous étions au début d’Octobre de l’An 749 après la naissance de Rome – les troupeaux dormaient encore dehors et devaient donc être gardés.
Un tour de rôle avait été instauré dans la campagne de ce « coin » de la Judée, proche de la Cité de David, de sorte que les bergers de la nuit surveillaient non seulement leurs propres troupeaux mais aussi, souvent, ceux de « ceux du jour ».
À la tombée de la nuit, David partit donc de chez lui, pour relayer son collègue de jour, qui s’appelait Youssef.
Celui-ci lui dit, en désignant les moutons:
– Les tiens sont là-bas, les miens de ce côté-ci et ceux des autres sont par là.
Vers l’Ouest, une lueur rosée, derrière une colline, indiquait la direction où le Soleil venait de se coucher.
– La nuit s’annonce belle, dit encore Youssef, regardant vers l’Ouest et désignant les premières étoiles qui commençaient à piqueter le Ciel profond.
– Oui, répondit David, levant les yeux, qui lui faisait face, oh! Tu as vu cette grosse étoile à l’Est?
– Ah! oui, dit Youssef, se détournant, elle semble grosse, en effet.
– Ce qui m’étonne, reprit David, c’est qu’elle n’était pas à cet endroit-là hier… Elle était plus à l’Est. De plus, elle est plus grosse…
– Tu en es sûr?
– Il n’y a pas grand-chose à faire la nuit, car les moutons, eux aussi, dorment… Alors, souvent, je m’allonge dans l’herbe et j’admire le ciel…
– C’est bizarre, elle a une queue… Peut-être cela présage-t-il quelque chose? dit encore Youssef…

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