Ecole de l'art de vivre

Enseignements Spirituels

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. "La coquetterie" Comme le décrit si bien ce texte, alors que la coquetterie contribue à développer la vanité, l'authentique féminité…

  2. "Le Secret magnifique" Ce qui est magnifique c'est l'onde lumineuse qui entoure ce secret. Mais, paradoxalement, celle-ci doit rester dans…

  3. "A quoi pourrait spirituellement nous servir la connaissance de l'avenir?" De par les lois de la création une notion de…

  4. "Mariage pour ........ la Vie." L'amour véritable entre deux êtres humains qui s'unissent dans le mariage ne peut que les…

Le Fondement Spirituel de l’Art

Le Fondement Spirituel de l’Art

Le Fondement Spirituel de l’Art

Pas d’homme sans art
Chacun s’accorde généralement à reconnaître à l’art un pouvoir particulier: celui de dispenser la beauté. Tout être humain touché par une œuvre d’art parcourt, l’espace d’un instant, grâce au talent de l’artiste, un chemin qui le conduit vers le beau et qui éveille la nature supérieure de son être, son esprit. L’œuvre d’art laisse en lui une empreinte ineffaçable, un moment intense d’émotion. C’est la marque du vivant, d’un mouvement ascendant vers les sphères supérieures. On est amené à penser que nul ne peut ressentir la beauté sans en porter nécessairement en lui une parcelle, même infime. En avoir conscience jusqu’à entrer en contact avec elle, c’est prendre conscience d’un niveau plus délicat de l’existence. Grâce à sa lumineuse présence, l’art éclaire l’imagination et le cœur de l’homme et ouvre progressivement son âme à la magnificence du monde de l’esprit. Il peut en éprouver un émerveillement infini et découvrir que rien n’est plus essentiel que l’art. [NDLR: A commencer par … L’Art … de Vivre!]
L’art est le canal par lequel s’écoulent l’Amour et l’intelligence cosmiques. L’artiste les capte, les transforme selon sa nature intérieure et les diffuse. Son œuvre est réussie lorsqu’elle émeut celui qui la contemple ou l’écoute. Bouleversé, il se trouve projeté très haut dans un monde plus léger, plus riche de sensations intuitives et d’intense expressivité. Par son pouvoir mystérieux, l’art élève, redresse et éduque, offrant une direction unique à emprunter, celle de la beauté qui mène vers les sommets. Délicate légèreté de l’esprit et fine nuance de l’âme, la substance de l’art se nourrit de la rosée céleste qui rafraîchit l’être humain. Au plus haut de ce qu’on peut éprouver spirituellement, l’art est cette puissante et chaude manifestation dont les effets élèvent l’être intérieur et qui, d’un seul coup, l’embrase: il ressent que la beauté sur Terre n’existe que pour louanger l’Être suprême: Dieu. Au cours des âges, l’art a toujours su émouvoir l’homme, telle une œuvre magique et secrète qui agite puissamment son âme en quête de la Vérité. L’acte créateur de l’artiste témoigne du don qu’il a de représenter, de faire figurer, dans la matière, les splendeurs de la vie spirituelle, certes toujours teintées de ses propres expériences vécues. C’est une force qui trouble en profondeur parce qu’elle contient des valeurs éminentes dont le rôle est d’aider à la promotion du genre humain. Sans lui, il n’existerait rien de construit et de durable. L’humanité n’aurait pu évoluer spirituellement.
Dans l’introduction de son livre “Sens et Destin de l’Art” René Huygue (Éditions Flammarion) a défini le champ de vie de l’art:
«Nombreux sont ceux pour qui l’art n’est qu’un jeu, supérieur, certes, mais un jeu, un amusement; nombreux sont ceux qui ne le révèrent que par conformisme et avec un secret mépris pour son “inutilité”. Certains ne sont pas loin de le considérer comme un luxe.
Pourtant l’art est une fonction essentielle de l’homme, indispensable à l’individu comme aux sociétés et qui s’est imposé à eux comme un besoin dès les origines préhistoriques. L’art et l’homme sont indissociables. Pas d’art sans homme, mais peut-être également pas d’homme sans art. Par lui, l’homme s’exprime plus complètement, donc se comprend et se réalise mieux. Par lui, le monde devient plus intelligible et accessible, plus familier. Il est le moyen d’un perpétuel échange avec ce qui nous entoure, une sorte de respiration de l’âme assez analogue à celle, physique, dont ne peut se passer notre corps. L’être isolé ou la civilisation qui n’accèdent pas à l’art sont menacés d’une secrète asphyxie spirituelle, d’un trouble moral.».

lire plus
Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

“La seule chose qui vaille, c’est l’intuition.”
– Albert Einstein –

Mais de quoi parle-t-on, enfin?
Infiniment nombreuses sont les personnes qui considèrent les actions de la vie quotidienne comme le fruit unique du cerveau qui produit l’intellect, d’où découlent les pensées, les sentiments et l’imagination. Avec son concours, nous agissons et combinons habilement techniques et outils pour élaborer, construire et bâtir les divers domaines de la science. Journellement, nous transformons nos “œuvres“ mentales en réalisations pratiques privées ou professionnelles. Le cerveau est donc grandement appréciable et sa valeur est jugée indiscutable. Il aura fallu tout le vingtième siècle et des recherches considérables entrecoupées de tâtonnements incertains et de nombreuses contradictions pour apprendre à mieux connaître cet instrument remarquable. Au vingt et unième siècle, les hommes voient en lui le sommet, l’achèvement de ce qu’est l’homme. Ils en sont désormais convaincus, leur cerveau est l’esprit, et ils font tout ce qu’il est scientifiquement possible pour s’en persuader. Ainsi, un formidable engouement fébrile pour les neurosciences et les biotechnologies s’est emparé de milliers de chercheurs qui espèrent voir, en ce domaine, l’aboutissement et la consécration de leurs travaux. Sous l’emprise des découvertes technologiques, de la curiosité et du sensationnel médiatiques, de la mise en avant des personnes et l’appât démesuré du gain, des entreprises investissent à fond dans le créneau des sciences du cerveau, dans l’espoir, à terme, d’une fusion cyborgienne, apothéose de toutes leurs ambitions.
Ce cerveau est une masse organique. Il est composé de cent milliards de neurones interconnectés entre eux par des synapses. Il occupe environ un volume de 1200 cm3 et son poids avoisine 2,2% du poids total du corps, c’est-à-dire en moyenne 1400 grammes pour un cerveau masculin et 1280 grammes pour un cerveau féminin. Il atteint 90% de son poids définitif entre 4 et 6 ans. C’est un gros consommateur d’oxygène absorbant plus de 18% de la consommation totale du corps et il utilise 15% du débit cardiaque. Dotée d’une extraordinaire complexité, il fonctionne selon un codage réalisé par une succession plus ou moins irrégulière de signaux chimiques appelés neurotransmetteurs qui produisent des tensions électriques faibles de l’ordre du millivolt. L’appellation “matière grise” provient de la couleur de ses deux hémisphères. Le cortex cérébral se développe vers la 25e semaine de la grossesse. Du point de vue physique, le développement du cortex associatif et l’épanouissement du lobe frontal sont des spécificités de l’homme qui marquent nettement la différence qui existe entre les humains et les primates. Des découvertes physico-chimiques successives laissent à croire que tous les secrets du cerveau seront bientôt percés, en particulier ce que sont l’esprit et l’intuition. S’ajoutant à ces découvertes, de nouvelles connaissances en informatique et en électronique ont permis de concevoir l’“intelligence artificielle” connue sous le sigle I.A. Certains experts disent même qu’avec l’IA ils sont ainsi parvenus à extraire du cerveau un « modèle d’intelligence désincarnée”.
Puissant outil, désormais présent partout. Si certains craignent ses effets, d’autres, par contre, promettent d’atteindre, grâce à elle, le sommet de ce que le cerveau véhicule. Ils affirment pouvoir prouver la réalité du phénomène intuitif, qu’ils situent dans le cerveau. “Et bientôt, on va parler de logique intuitionniste, de manière à apporter par la preuve et la vérification la réalité de l’intuition humaine”, expliqua en son temps le professeur Maurice Trévoux, qui fut chef de service au groupe hospitalier Henri Mondor/Albert Chennevier.

lire plus
Les arbres parlent

Les arbres parlent

Les arbres parlent

1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.

lire plus
Le sentiment

Le sentiment

Le sentiment

Le sentiment comme cause de la décadence

« L’enfer est pavé de bonnes intentions. »
– Proverbe –

Tout comme l’argent, l’intellect et le sentiment sont d’excellents serviteurs mais de très mauvais maîtres. Si l’esprit ne les maîtrise pas, ils sont comme un véhicule fou qui s’avance à toute vitesse mais sans pilote à bord, au risque de tout détruire sur son passage. Les exemples de ce que peut faire un intellect non maîtrisé abondent. Mais le sentiment, – pour lequel, à l’insu des sentimentaux, l’intellect joue le premier rôle, lui aussi, peut, toujours plus, généré des situations absurdes, voire sans issue.
Animés par de « bons sentiments » et de bonnes intentions – dont « l’enfer est pavé » -, les êtres humains sont – par vouloir-être-bon – capables d’avoir toutes sortes de comportements aberrants. Par exemple, ils sont capables de transformer la Fête de Noël en guimauve, de soutenir des idées aberrantes, de s’adonner au deuil, d’offrir des cigarettes, « faire l’amour », « donner leurs organes » ou « donner leur sperme », de tuer, de pratiquer ou de soutenir l’infanticide, et plein d’autres choses similaires, avec, bien sûr, toujours, les meilleures intentions!
«On  ne peut porter le Flambeau de la Vérité dans les peuples sans roussir la barbe de quelques-uns.»
Au début de son ouvrage « Le Christ assassiné » – lequel, comme son titre l’indique, est principalement consacré au meurtre perpétré sur Jésus de Nazareth – l’écrivain Jean Choisel raconte l’anecdote suivante, typique de ce qui se passe dans un monde dominé par l’intellect et le sentiment:
« – Comment se fait-il que, vous qui êtes diabétique depuis bien plus longtemps que moi, les soins ne vous soient pas encore remboursés à 100 % par la Sécurité Sociale?
– Bah! C’est sans doute parce que je me fais moi-même chaque jour ma piqûre d’insuline, pour éviter l’inconvénient d’avoir à attendre quotidiennement l’infirmière payée pour me la faire. Si bien que les frais du traitement ne sont pas assez élevés pour justifier un remboursement à 100 %.
– L’an passé, ça m’est arrivé à moi aussi! Ayant considéré que le coût de mon traitement n’était pas assez élevé pour justifier un remboursement à 100 %, la Sécurité Sociale décida de ne me rembourser qu’à 70 %. Alors je suis allé voir mon toubib pour lui demander conseil. Il a allongé la liste des remèdes qu’il me prescrit pour que leur coût atteigne le montant à partir duquel la Sécurité Sociale accorde le remboursement à 100 %.
– Et que faites-vous de tous les remèdes qu’il vous a prescrits? Vous les absorbez tous?
– Bien sûr que non! Je ne suis pas fou! Je ne tiens pas à m’intoxiquer! Je les jette. Mais ça m’est égal, puisque je suis remboursé à 100 %. ».
Suite à ce récit, Jean Choisel commente l’anecdote en ces termes…

lire plus
Le Notre Père expliqué par Martin Luther

Le Notre Père expliqué par Martin Luther

Le Notre Père expliqué par Martin Luther

« Notre Père Qui est aux Cieux »

Quel est le Sens de cette Parole?

Dieu nous convie à croire qu’Il est vraiment notre Père, et que nous sommes vraiment ses enfants, afin qu’avec une confiance d’enfant nous lui adressions nos Prières comme à notre Père bien-aimé.

Commentaire: Nous sommes pleinement d’accord avec cette interprétation de la première Parole du Notre Père rappelant le Premier Commandement: « Je suis le Seigneur, Ton Dieu, Tu ne dois pas avoir d’autres dieux devant Ma Face ». En s’adressant à Dieu et en L’appelant « Notre Père » l’être humain reconnaît Dieu non seulement comme son propre Père mais aussi comme le Père de tous les autres êtres humains se reconnaissant aussi comme Ses enfants.

« Que Ton Nom soit sanctifié »

Quel est le Sens de cette Parole?

Le Nom de Dieu est Saint par Lui-même; mais nous demandons qu’Il soit aussi sanctifié parmi nous.

Que faut-il pour que le Nom de Dieu soit sanctifié parmi nous?

Il faut que la Parole de Dieu soit fidèlement enseignée, dans toute sa Pureté, et que nous vivions saintement, comme des Enfants de Dieu. Que notre Père céleste nous accorde cette Grâce!

Mais quiconque enseigne ou vit autrement, déshonore parmi nous le Nom de Dieu. Que notre Père céleste nous en préserve!

Commentaire: C’est effectivement à l’être humain de sanctifier le Nom de Dieu par son comportement et en particulier par son langage: Cette deuxième Parole du Notre Père rappelle, en effet, le Deuxième Commandement: « Tu ne dois pas prononcer le Nom de Dieu en vain. ». Il ne s’agit donc pas seulement de demander à Dieu que Son Nom Sacré soit aussi sanctifié par nous mais bien de Le sanctifier nous-mêmes!

« Que Ton Règne vienne »
Quel est le Sens de cette Parole?

Le Règne de Dieu s’établit de lui-même dans le Monde, et sans le secours de nos Prières; mais nous demandons qu’il s’établisse aussi en nous.

Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous?

Il faut que le Père céleste nous donne Son Saint Esprit, pour croire, par Sa Grâce, à Sa Parole, et pour vivre saintement dans le temps et dans l’éternité.

Commentaire: Le Règne de Dieu peut-il s’établir « tout seul » sans la participation des êtres humains? Déjà cela pose question: Jésus aurait-Il, dans la Prière du Notre Père donnée par Lui aux êtres humains, incité les êtres humains à prier pour la Venue du Règne de Dieu sur la Terre ainsi qu’il existe déjà dans le Ciel si l’instauration de celui-ci avait été automatique?

A la question « Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous? » Martin Luther répond: « Il faut que le Père Céleste nous donne Son Saint Esprit ». Nous considérons, pour notre part, que nous n’avons pas à dire au Père Céleste ce qu’Il doit faire. Dans Son Omnisagesse Il le sait infiniment lieux que nous! Pour ce qui est de « vivre saintement » nous avons déjà vu, par le passé, que la sainteté n’est pas un mérite pouvant s’acquérir, de sorte que le « culte des saints » n’est pas justifié et que Dieu Seul est Saint.

lire plus
Un homme qui se respecte ne donne pas sa semence

Un homme qui se respecte ne donne pas sa semence

Un homme qui se respecte ne donne pas sa semence

Le «don de sperme» au regard des Lois de la Création

 «Jamais poète n’a interprété la nature aussi librement qu’un juriste la réalité.» – Giraudoux –

Des situations toujours plus absurdes et ubuesques!
Par exemple:

Un « donneur de sperme » condamné à payer une pension alimentaire

Voici un cas: Une lesbienne est «en couple» (en réalité, deux lesbiennes ne font pas un couple mais une paire) avec une autre femme lesbienne. Cette femme lesbienne décide d’avoir un enfant par insémination artificielle, à la suite de quoi un enfant naît de cette insémination artificielle.

Puis cette mère lesbienne rompt avec sa copine lesbienne, ou la copine lesbienne rompt avec elle. L’ex-copine lesbienne lui dit qu’elle n’a aucune obligation légale envers l’enfant et ne payera donc pas de pension alimentaire, car l’enfant conçu par insémination artificielle avec le sperme d’un «donneur» n’est pas le sien.

« Abandonnée », la mère lesbienne assigne en justice le donneur du sperme pour qu’il paye une pension alimentaire, car – après tout – c’est lui le père biologique! Et la « justice » lui donne raison!

Une telle décision de justice – et l’on ne peut que s’en réjouir! – est donc la négation même du principe du «don du sperme». En réalité, il n’y a pas de «don de sperme», mais seulement une paternité responsable, à laquelle, selon les Lois de la Création, il est impossible d’échapper. Alors, quand la loi humaine se conforme aux Lois de la Création (c’est loi  d’être toujours le cas!), c’est tant mieux!

Pour un homme, un tel soi-disant «don de sperme» (une expression faisant partie de la «langue de plomb») n’est, selon la Loi Divine, en réalité, qu’une tentative de fuir sa responsabilité paternelle. Et même si le souci principal de la justice humaine est ailleurs (pourvoir aux besoins de l’enfant en dispensant la société d’avoir à le faire), c’est une bonne chose si la justice humaine rappelle aux pères inconscients leur impossibilité à fuir leur responsabilité.

Par exemple, le droit allemand de la famille est très clair: Dès lors où la paternité est établie – quand bien même cette paternité est le résultat d’un don de sperme réalisé « dans les règles » -, un père – même s’il se considère comme un simple « donneur » – doit pourvoir aux besoins de sa progéniture.

Et quand bien même la justice et la société humaines ne s’en chargeraient pas, cela ne changerait rien à la responsabilité des hommes qui s’imaginent faussement pouvoir être des donneurs sans être des pères!

lire plus
Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Question:
« Si lors de partages avec mes pairs, je dis tout haut que je désire me laver de mes fautes, cultiver les Vertus, faire le Bien, Servir la Lumière et retourner un jour au Paradis, je n’utilise pas en premier lieu la grande Puissance du Silence et je ne peux progresser vers le Haut! Cela veut-il donc dire que, lors de partages où nous exprimons tout haut nos buts et nos ressentis, nous enfreignons cette Loi et nous nous coupons de la possibilité de progresser vers le Haut? ».

Réponse:
Il n’est pas dit pas qu’il ne faut jamais parler (Il existe, aussi, du reste, un proverbe qui dit « La parole est d’argent mais le Silence est d’Or » et cela ne doit pas être sans raison…!), mais seulement qu’il faut parler lorsque c’est le bon moment…
Cela veut notamment dire que:
1) La parole doit intervenir au bon moment, lorsque, grâce à la pression résultant du silence, le temps de condensation a abouti.
2) Elle ne doit donc pas être superficielle, donc vide, répétitive, machinale, automatique, etc., mais toujours vivante, elle aussi.
La vertu du « Silence » (que l’on pourrait aussi traduire par le « se taire ») n’est donc pas intrinsèque (= le but serait un silence permanent ou bien de prononcer le moins de mots possible), mais résulte uniquement de ce qu’il produit, sur la pensée initiale, une pression permettant la condensation, donc une attraction magnétique de cette première forme-pensée.
La raison pour laquelle il en est ainsi est liée à la structure même de la matière. C’est une loi physique qui veut que toute matière (qu’elle soit fin-matérielle ou gros-matérielle) qui, du fait d’une raison quelconque, est concentrée ou condensée devient plus attractive que celle qui l’est moins.

lire plus
L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

Questions préalables
Nous avons déjà approfondi l’importante question « Comment reconnaître ce qui est supérieur? ». Nous nous sommes aussi posé la question de savoir si – comme certains semblent le croire – l’être humain est divin ou bien – conformément au nom « homme » – simplement humain?
Nous avons aussi déjà vu que – en fonction de son genre limité (l’esprit humain ne prend pas forme immédiatement mais, initialement, avant de devenir un esprit à part entière, en tant que germe d’esprit, est soumis à une évolution) – « L’être humain ne peut pas voir Dieu en Face ».
L’être humain peut-il réellement connaître – ou  reconnaître – ce qui se tient plus haut que lui?
En relation avec ces questions déjà examinées se pose maintenant une nouvelle question: L’être humain peut-il réellement connaître ce qui se tient plus haut que lui? Et la réponse à cette question est clairement non. En effet, « con-naître » signifie « naitre avec ». Il s’agit donc d’une expérience vécue spirituelle personnelle.
Par conséquent, « avoir entendu parler de » ou « avoir lu que » ou « avoir vu à la télévision ou sur Internet que » n’est pas du tout la même chose que connaître ou que savoir, car le véritable Savoir vient uniquement de l’expérience vécue, laquelle ne peut être que spirituelle.
Ce qui est seulement appris par l’intellect n’est pas du Savoir mais seulement de l’érudition. Or l’érudition – seulement enregistrée dans le cerveau terrestre – s’arrête d’exister à la mort. Alors que le Savoir vivant s’attache à l’âme et à l’esprit et continue de perdurer, même après la mort du corps gros-matériel.
Alors, demandera-t-on peut-être, comment est-il possible de savoir que Dieu existe si l’être humain n’est pas capable de voir Dieu en Face?

lire plus
What Is the Root Cause of Humanity’s Greatest Problem?

What Is the Root Cause of Humanity’s Greatest Problem?

«Les Codes de la Genèse – {Le mot} «code» désigne un modèle ou une clef permettant de comprendre la vie de l’individu, de la nation et de l’ensemble de l’humanité. Certains récits de la Bible combinent réalité historique et code, mais l’histoire du Jardin d’Eden est entièrement codée.

Par conséquent, ceux qui lisent les histoires bibliques comme des récits censés décrire uniquement des faits historiques peuvent parvenir à des conclusions erronées – comme l’affirmation de nombreux intellectuels – selon laquelle l’histoire de la Genèse est fausse, car scientifiquement, l’Univers n’a pas pu être créé en six jours.

Le Code de l’Arbre de la Connaissance. Comme nous le savons tous, Adam et Ève, dans le Jardin d’Éden, ont eu le privilège et la bénédiction de jouir des fruits de tous les arbres, mais ils ont été avertis par Dieu de ne pas s’approcher ni de goûter au fruit d’un seul arbre: L’Arbre de la Connaissance {du Bien et du mal}: «Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, de peur de mourir.». Genèse III, 3.

lire plus
La Vengeance est Mienne! Je veux rétribuer!

La Vengeance est Mienne! Je veux rétribuer!

« La Vengeance est Mienne! Je veux rétribuer! »

 «Die Rache ist mein.»  «Ich will vergelten.»

« La Vengeance est Mienne! » « Je veux rétribuer! »
Par August Manz
– Extraits –

«La Vengeance est Mienne, Je veux rétribuer.» – C’est ce qui est écrit dans le 5ème Livre de Moïse au chapitre XXXII [Deutéronome 32-35]. Et on lit au chapitre XII de l’Épître de {l’Apôtre} Paul aux Romains:
«Ne vous vengez pas vous-mêmes, mes bien-aimés, mais laissez agir la Colère de Dieu, car il est écrit: «La Vengeance est Mienne, Je veux rétribuer», dit le Seigneur». —
L’on sait que l’étude des religions comparées cherche à établir une opposition entre la Notion de Dieu dans l’Ancien Testament et celle {se trouvant} dans Nouveau Testament. Jéhovah, le Dieu des Juifs, est perçu comme un Dieu de Vengeance, un Dieu rigoureux et coléreux, dont le genre spécifique est censé avoir trouvé son expression fondamentale dans la Parole rapportée par Moïse: «La Vengeance est Mienne, Je veux rétribuer!».
Mais le Dieu du Nouveau Testament est, par contraste, un Dieu de l’Amour Qui pardonne, Lequel, en toute logique, exige également des êtres humains l’Amour qui pardonne, tel qu’Il le donne. «Aime Ton prochain comme Toi-même» est présenté comme le fondement de la Religion chrétienne.
(…) Nous a{vons} (…) la Connaissance qu’une opposition ne peut pas exister entre le Dieu de l’Ancien Testament, Qui a été révélé aux êtres humains par les Prophètes, et le Dieu {à partir} Duquel Jésus est venu vers les êtres humains, en tant que Partie {de Lui}, en tant que Son Fils né en Lui. Et qu’aucune opposition ne pourrait exister. Car Dieu est éternellement identique à Lui-même.
Jésus a aussi expressément souligné:
«Ne croyez pas que Je sois venu pour abolir la Loi ou les Prophètes. Je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car Je vous le dis, en Vérité, tant que le Ciel et la Terre subsisteront, il ne disparaîtra pas un seul iota ou un seul trait de lettre de la Loi, jusqu’à ce que tout cela soit arrivé.» (Matthieu V, 17). –

lire plus