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L’Insertion dans la Volonté Divine

L’Insertion dans la Volonté Divine

L’Insertion dans la Volonté Divine

La plupart des êtres humains n’ont pas compris – même d’un point de vue égo-centré – l’importance de l’Insertion dans la Volonté Divine.

Selon l’Apocalypse de Jean les Archanges vivant dans la Sphère Divine passent leur éternité à proclamer: « Saint, Saint, Saint est le Seigneur ». Aussitôt, l’intellect humain se fait une représentation de cela en {se} disant: « Cela doit être terriblement monotone! ». Mais il n’en est pas ainsi, car, à vrai-dire, les Archanges ne récitent pas cette Parole, mais ils la vivent! Ils la vivent de manière constante, sans jamais se lasser, éternellement! Et cela change tout!

L’être humain aimerait peut-être ne devoir sa vie qu’à lui-même. Mais il n’en est pas ainsi! Sans Dieu il n’existerait tout simplement pas! Il n’est qu’une créature qui a eu un commencement et qui doit son existence à un Être Supérieur qui est à la fois Pureté, Amour et Justice, et il en sera à jamais ainsi!

Dieu n’a pas besoin de Ses créatures ni même de la Création entière. Avant la Création Il était déjà, pendant la Création Il est, et si la Création cessait un jour d’exister, alors Il serait encore … pour l’Éternité! Mais Ses créatures – et, en particulier, les êtres humains – ont, quant à elles – si elles veulent subsister -, infiniment besoin de Lui! Car leur vie dépend constamment … de Sa Force!

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L’abrègement de la vie terrestre

L’abrègement de la vie terrestre

L’abrègement de la vie terrestre

Ceux qui ont lu ou vu « Nosso Lar » [« Notre Demeure »] du médium brésilien Chico Xavier se souviennent peut-être de la scène où le héros – le médecin sur Terre André Luiz –  se retrouve dans l’Au-delà et est violemment critiqué et discriminé par son entourage parce qu’il est considéré comme un « suicidé ». Pourtant – si l’on considère son histoire terrestre (son incarnation immédiatement précédente) – l’on peut voir qu’il ne s’est nullement infligé lui-même, de façon pro-active, une mort violente. Mais il apparaît alors que – bien que médecin – il a négligé les besoins de son corps et cela a suffi pour qu’il soit considéré comme un suicidé. Cela ne donne-t-il pas à réfléchir?

Il y a certainement un bon moment pour mourir, c’est lorsque – comme il est dit dans la Bible au sujet, par exemple, de Abraham, il est « rassasié d’années ». Dans l’idéal cela ne devrait jamais être à cause d’une déficience du corps mais à cause de la nostalgie de l’esprit à s’élever vers la Lumière et vers sa Patrie spirituelle, le Paradis. Hélas, une telle mort bienheureuse, de nos jours, est devenue très exceptionnelle. Dans plus de 99% des cas – en dehors des morts accidentelles, les gens décèdent parce que – devenu de plus en plus déficient – leur corps « n’en peut plus ».

Plus précisément, il n’émet plus une radiation suffisante pour permettre à l’âme, par attraction magnétique, de rester à l’intérieur de lui. Il n’y eut, en effet, entre le corps et l’âme, jamais de fusion mais seulement une jonction temporaire due à l’attraction mutuelle de leurs irradiations respectives. La force – ou l’intensité – de cette attraction varie en fonction de différentes circonstances. Par exemple, elle est plus grande pendant la première moitié de la vie (processus d’incarnation croissante) que pendant la seconde (processus d’excarnation progressive). De même elle est plus grande le jour que la nuit, où un relâchement se produit naturellement dans la jonction. A ce sujet, il est bien connu que « Le sommeil est le petit frère de la mort. ». C’est ainsi qu’il est aussi possible de dire que, d’une certaine manière, « l’on se réincarne tous les matins »!

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La Parabole du Bon Samaritain selon Edmond Rostand

La Parabole du Bon Samaritain selon Edmond Rostand

La Parabole du Bon Samaritain selon Edmond Rostand

« PIERRE
Que nous demandes-Tu, Rabbi?
JÉSUS
D’être parfaits.
On se sent allégé quand on porte mon faix.
Portez-le. Chérissez le prochain.
PIERRE
Ce qu’on nomme
Le prochain, est-ce donc un vil païen?
JÉSUS
Un homme,
Qui de Jérusalem allait à Jéricho,
Rencontra des voleurs. On le frappe, on le blesse,
Ses cris demeurent sans écho,
Et, le croyant mort, on le laisse.
Il n’est plus qu’une plaie, il gît;
Le sang fuit de son corps comme le vin d’une outre.
Passe un prêtre. Il voit là ce corps, ce sol rougi.
II passe outre.
Passe un lévite. Il voit cet œil où meurt le jour.
II passe outre, à son tour.
Passe un Samaritain. Il voit la pauvre tête
II s’arrête. »

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Le rôle de l’âme

Le rôle de l’âme

Le rôle de l’âme

Esprit et âme

Nous avons déjà eu l’occasion de définir ce qu’est l’esprit, ce qu’est l’âme et ce qui devrait caractériser le corps. Une fois – comme nous l’avons déjà vu – clairement établi que l’esprit est le seul réellement Vivant dans l’être humain et qu’à ce titre l’on ne chantera jamais assez les louanges de l’esprit, nous voudrions, cette fois, dans la personnalité humaine, davantage préciser le rôle de l’âme… Oui, sachant que l’esprit est son noyau – le seul {principe} réellement et éternellement vivant en l’être humain -, quel est le rôle spécifique de l’âme?

L’âme – qui contient l’esprit et ne serait rien sans lui – est, pour ainsi dire, la caisse de résonance de l’esprit. Ou bien son cœur. Penser, par exemple, à l’âme d’un violon se trouvant au cœur de la caisse de résonance de l’instrument. Cette caisse de résonance est utile aussi longtemps que l’esprit n’est pas assez fort pour pouvoir s’en passer. Qui, en plus de celles de l’esprit, chantera aussi temporairement les louanges de l’âme?

L’âme et le psychisme
La vie animique (du latin « anima »: « âme ») ou psychique (du grec « psyché: « âme ») d’un être humain se passe – comme les adjectifs synonymes (les deux qualificatifs ont le même sens « relatif à l’âme ») l’indiquent -: dans son âme. Naturellement, il n’y aurait pas d’âme s’il n’y avait pas d’esprit, et pas de psychisme sans le spirituel. Mais, lorsque l’esprit lui-même ne peut pas être immédiatement et directement atteint, en tant qu’étape incontournable, le psychique est le chemin vers le Spirituel.
L’âme et l’émotion

Comme nous l’avons déjà vu, il y a deux sortes d’émotions. Les émotions-impulsions qui proviennent de l’âme – qui sont des mouvements de l’âme – et les émotions – pouvant aussi être appelées « affects » (relevant de la vie affective) – jaillissant dans le cerveau intellectuel (le cerveau antérieur) et pouvant donc être qualifiées de sentimentales. Il est très important de ne pas confondre les deux!

L’âme et l’Intuition

Dans l’Au-delà – où n’existent plus ni intellect ni sentiment – l’âme de vit que dans l’Intuition. Que ce soit dans l’Au-delà ou dans l’En-deçà, à l’instar de l’esprit dont elle est le cœur – une âme manifeste une fine vibration d’intuition. L’intuition de l’âme est juste modulée et amplifiée par le corps fin-matériel – l’enveloppe ou corps de l’âme -. Mais – ne pas confondre! – le sentiment n’est pas l’Intuition!

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Les conditions de la correction fraternelle

Les conditions de la correction fraternelle

Les conditions de la correction fraternelle

La pratique d’une vie exemplaire
Entre autres, les Chrétiens  se sont engagés à pratiquer les Vertus et à mener une vie exemplaire. C’est fondamentalement un effort spirituel personnel et donc individuel. Étant donné, toutefois, qu’il n’y a de Chrétien que de co-Chrétien, personne ne peut suivre le bon Chemin sans aussi se préoccuper {de celui} des autres, c’est-à-dire du prochain.
Il convient, toutefois, de bien distinguer deux domaines bien distincts, celui du Chemin spirituel personnel (la raison pour laquelle il ou elle est venu(e) sur Terre) de chaque Aspirant(e) à la Vérité et l’aspect humain. Dans le domaine de sa vocation propre, chaque Aspirant à la Lumière est absolument intangible. Personne ne peut lui conseiller quoi que ce soit quant à ce qu’il ou elle aurait à faire ou pas. C’est uniquement une « affaire » entre lui ou elle et la Lumière.
Par contre, sur le plan humain, comme à tout autre être humain, des remarques peuvent lui être faites si son comportement laisse à désirer et/ou est préjudiciable pour autrui, s’il se montre grossier ou mal élevé, etc.
De même, indépendamment de sa personne, s’ils contiennent des erreurs ou des faussetés, ses paroles ou ses écrits peuvent et même doivent – s’ils en sont capables – être rectifiés par ceux qui en ont connaissance.

La nécessité de la Correction fraternelle
La correction fraternelle peut être considérée comme un Devoir. C’est ainsi que, dans la Bible, Dieu explique au Prophète Ézéchiel que ne pas avertir son frère qui pèche mortellement, c’est de facto se rendre aussi coupable que lui (Ézéchiel III, 7-9):
7 « Et Toi, fils de l’homme, je t’ai établi comme sentinelle sur la Maison d’Israël. Tu dois écouter la Parole qui sort de Ma Bouche, et les avertir de ma part.
8 Quand Je dis au méchant: Méchant, Tu mourras!, si Tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa voie, ce méchant mourra dans son iniquité, et Je Te redemanderai son sang.
9 Mais si Tu avertis le méchant pour le détourner de sa voie, et qu’il ne s’en détourne pas, il mourra dans son iniquité, et Toi Tu sauveras Ton âme. ».
Plus encore que la crainte pour son propre Salut, ou même que le souci plus noble du bien commun, ce qui motive la Correction fraternelle, c’est le sincère et véritable Amour pour le frère (ou la sœur). Le mot « frère » mérite d’être approfondi.

Toutefois, la pratique de la correction fraternelle ne doit pas consister à juger ou à accuser, mais à aider.

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Le Misanthrope

Le Misanthrope

Le Misanthrope

« Quelle mâle gaieté, si triste et si profonde
 Que lorsque l’on vient d’en rire l’on devrait … en pleurer! »
– Alfred de Musset au sujet du « Misanthrope » de Molière –

« Le Misanthrope » est une comédie de Molière en cinq actes et en vers, créée le 4 juin 1666 sur la scène du Palais-Royal. Le sous-titre en est: «L’Atrabilaire amoureux». Le texte complet de la pièce est, par exemple, lisible ici.

Le sujet de la pièce est un personnage nommé Alceste qui méprise l’humanité tout entière. Il en dénonce l’hypocrisie, la couardise et la compromission. La couardise est le comportement méprisable de ceux qui se laissent dicter leur comportement par la peur. La compromission est le comportement de ceux qui transigent avec la Loi, la Vérité, l’Honneur. Paradoxalement, alors qu’il est aimé d’Arsinoé, la prude (la pruderie est une caricature intellectuelle de la vraie pudeur, qui est un ressenti spirituel), et d’Éliante, la sincère (la sincérité est une qualité consistant à exprimer franchement ce que l’on ressent intérieurement), il aime passionnément Célimène, une veuve de 20 ans, coquette, superficielle et médisante.

En soi la misanthropie – c’est-à-dire le fait de détester les êtres humains et donc le contraire de la philanthropie – n’est guère recommandable, cela semble être le contraire de l’Amour. Mais c’est le talent de Molière d’arriver ici à rendre sympathique un homme qui, en apparence, déteste le genre humain. Au-delà de son apparence de « misanthrope », Alceste recèle, en fait, en lui une exigence de vérité et de sincérité dans les relations humaines qui, elle, est certainement à saluer…

En réalité, ce n’est pas qu’Alceste déteste les êtres humains ou le genre humain en tant que tel(s), ce qu’il déteste véritablement, c’est l’hypocrisie, les faux-semblants, les compromissions, les apparences, la fausseté très répandus dans la société qui l’entoure, d’une façon générale. C’est largement vrai dans la société actuelle, cela l’était déjà à son époque. En ce sens il ressemble à Cyrano de Bergerac, tel qu’il se décrit, juste avant sa mort, dans la dernière scène du dernier acte.

La pièce commence par une dispute entre Alceste et son ami Philinte (nom qui veut dire « qui aime »). Alceste semble chercher le conflit avec tout le monde, alors que Philinte est bien plus conciliant et même accomodant. Aux autres il cherche plutôt des excuses. Alceste et Philinte sont amis (leur amitié est réelle), mais – pour désigner leur relation – Alceste refuse ce mot. Reprochant à son ami Philinte de se livrer à la flatterie, Alceste condamne les faux-semblants de la société mondaine. Refusant le faux « esprit de conciliation » invoqué par Philinte, il déclare que tous les êtres humains sont haïssables.

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Mariage pour … la Vie!

Mariage pour … la Vie!

Mariage pour la … Vie!

La conception courante traditionnelle relativement au Mariage est – ou était – que l’on se marie … pour la vie!  L’on entend – ou entendait – par là que le mariage devait durer la vie entière … voire davantage! Par « davantage » l’on entend ici la vie … éternelle! Cela sous-entendait que le mariage c’était … pour l’éternité! Mais – comme dit l’humoriste – « l’éternité c’est long, surtout … vers la fin! »  😛 .
Une conception un peu différente est exprimée par la parole parfois prononcée par l’officiant à l’attention des mariés, c’est – leur dit-il – que le mariage doit durer … « jusqu’à ce la mort vous sépare! », c’est-à-dire, au moins, déjà, toute la vie terrestre. Dans cette formulation il n’est pas question de la vie éternelle, mais seulement de la vie terrestre.
Le point commun entre les deux conceptions ci-dessus mentionnées c’est que cela sous-entend cette autre formule – tout à fait fausse! – affirmant: « On n’a qu’une vie ». Cette conception – largement répandue dans la catholicité et correspondant même au catéchisme officiel – implique que les mariés s’imaginent naïvement poursuivre au Paradis la vie qu’ils ont connue sur Terre. Ils croient que leur famille terrestre c’est pour l’éternité!
Ici il est possible d’évoquer un très beau livre intitulé « Le Mariage » de Bo Yin Ra. Assurément – pour ce qui est des délicats égards devant régner entre les deux conjoints dans un couple authentique – ce livre est magnifique. Il est juste dommage que la conception fondamentale du mariage qui y est développée ne soit pas entièrement juste. L’auteur considère, en effet, les deux conjoints comme les deux moitiés d’une orange qui aurait été coupée en deux lors de la Création de l’être humain, deux moitiés qui, à chaque vie terrestre, s’efforceraient ensuite de se réunir.
Cette conception ne peut être juste que pour des cas très particuliers (peut-être était-ce le cas de l’auteur?) et très rarissimes. Mais de tels cas tout à fait exceptionnels ne peuvent absolument pas valoir en tant que règle générale. La règle générale, au contraire, est qu’un être humain « normal » n’en est jamais réduit à un autre être humain unique pour trouver son complément au cours d’une vie terrestre. Il peut, tout au contraire, en rencontrer plusieurs au cours d’une même vie, de sorte que si l’un des deux n’est pas présent au rendez-vous, l’autre ne soit pas contraint pour autant à un célibat forcé au cours de cette vie.
Lorsque la conscience s’élargit et qu’un être humain se rend compte qu’en fait son esprit (pas son intellect!) – même si sa conscience terrestre ne s’en souvient pas – a déjà vécu de nombreuses vies terrestres, alors il – ou elle – peut se demander ce qu’il va faire de ses nombreuses épouses – ou nombreux époux -, au Paradis, pendant … l’éternité?!

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La dernière chance

La dernière chance

La dernière chance

Souvent l’on voit des catastrophes – tempêtes, tornades, éruptions volcaniques, tremblements de terre, raz-de-marées, glissements de terrain, etc. qui s’abattent sur de pauvres gens « à l’autre bout du monde » et l’on peut se poser la question « Quel karma avaient-ils? » ou bien « Qu’ont-ils fait pour mériter cela? Étaient-ils pires que nous? ».

Un épisode de l’Évangile de Luc nous permet de répondre à cette question, c’est celui du massacre des Galiléens par Pilate et de l’effondrement de la Tour de Siloé:

« 01 À ce moment, des gens qui se trouvaient là rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
02 Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort?
03 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!
04 Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem?
05 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!».

Puis, « dans la foulée », l’Évangéliste enchaîne avec la Parabole du figuier:

« 06 Jésus dit encore cette Parabole: «Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.
07 Il dit alors à son vigneron: “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol?”.
08 Mais le vigneron lui répondit: “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.
09 Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, Tu le couperas.”». (Luc XIII, 1-9.)

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Lorsque le Jugement arrive…

Lorsque le Jugement arrive…

Lorsque le Jugement arrive…

« Mene, mene, teqel, upharsin »

מנא מנא תקל ופרסין

Lorsque le Jugement de Dieu arrive, il est extrêmement subit! Dans la Bible, un épisode du Livre de Daniel en donne une bonne illustration…

Le contexte: Le peuple juif est en exil à Babylone. Parmi eux, le Prophète Daniel. Le roi régnant de l’époque est Balthasar, le fils de Nabuchodonosor, celui qui a vaincu les Juifs, détruit le premier Temple, et emmené les Juifs survivants en esclavage à Babylone, mais son temps est désormais étroitement compté!:

Voici l’histoire:
« Mané, Thécel, Pharès » ou, selon la formulation complète, « mene, mene, teqel, upharsin » (en hébreu: « מנא מנא תקל ופרסין »), est une expression dont les lettres apparaissent sur un mur dans le chapitre 5 du Livre de Daniel, lors du festin de Balthazar. Cette inscription d’origine surnaturelle prédit la chute de Babylone.
Dans le Livre de Daniel, le roi Balthazar (ou Belshazzar) de Babylone durant un banquet arrosé, ordonne que l’on apporte les coupes d’or rapportées du Temple de Salomon à Jérusalem par son prédécesseur Nabuchodonosor II. Utilisant cette argenterie sacrée, le roi et sa cour se mirent à louer les dieux d’or, d’argent, de bronze, de fer, de bois et de pierre. Immédiatement, apparurent les doigts d’une main d’homme, et ils écrivirent sur les murs du palais royal les mots מנא, מנא, תקל, ופרסין » » (« Mene, Mene, Tekel u-Pharsin »). Les versions françaises les traduisent par: «Il a été compté: une mine, un sicle et deux demi-sicles» ou «Compté, compté, pesé, et divisé.». La mine et le sicle sont en araméen le nom de devises: « MENE », une mine, « TEKEL », une graphie de shekel ou sicle, « PERES », la moitié d’une mine.
Malgré de nombreuses demandes, aucun des conseillers ou magiciens du roi ne peut interpréter ce présage. Le roi envoya quérir Daniel, un juif exilé capturé par son père Nabuchodonosor et établi à l’époque comme «chef des mages, des magiciens, des astrologues et des devins». Refusant toute récompense, Daniel prévient le roi de son blasphème et déchiffre le texte…

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Le Paradis

Le Paradis

Le Paradis

Le Paradis! Le Ciel! La Patrie spirituelle! Le Pays de la Lumière! Le Royaume éternel de Dieu! Objet d’une inextinguible Nostalgie de tout esprit encore vivant!

Indescriptible Contrée où règnent Lumière, Clarté, Pureté, Légèreté, Beauté, Magnificence, Splendeur, Félicité et Sécurité, et cela pour l’Éternité! Il est à peine possible d’en dire plus.

Johann Wolfgang von Goethe a écrit:

« Le Destin de l’homme est semblable à {celui de} l’eau.
  Du Ciel il descend, au Ciel il remonte. »

Effectivement, Goethe avait bien compris que l’être humain ne pourrait pas aller au Paradis s’il n’en provenait pas. Mais alors, demanderont certains: Si l’être humain était déjà au Paradis, pourquoi n’y est-il pas resté? Oui, très bonne question! C’est tout simplement que le germe d’esprit humain – comme son nom l’indique – n’est qu’un germe – symboliquement exprimé -, une graine semée par la Main du Saint Esprit, comme indiqué dans la Parabole du Semeur.

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