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Expérience de mort partagée

Expérience de mort partagée

Expérience de mort partagée

Outre l’Expérience de Mort Imminente (EMI) – ou Expérience Proche la Mort (EPM) -, le Dr Raymond Moody a, le premier, étudié {ce que – faute de mieux – l’on appelle maintenant} l’Expérience de Mort Partagée (EMP) (Shared Death Experience) (SDE), mais que l’on ferait mieux d’appeler « Expérience de vie partagée au-delà de la mort » ou bien « Expérience de l’Adieu ». Dans « Glimpses of Eternity » (2010) il fait part de témoignages: certaines personnes qui assistent au décès d’un parent ou autre éprouvent, au moment de la mort de ce proche, des vécus communs avec le mourant, de nature spirituelle. En particulier, par empathie, ces personnes vivantes font l’expérience d’une sortie hors du corps (out-of-body-experience), ou bien elles perçoivent un Flot de Claire Lumière, ou bien elles voient, elles aussi, se dérouler le film de vie du mourant (« mémoire panoramique »).
Le Dr Raymond Moody raconte:
«À la fin de mes études de médecine, j’ai commencé à entendre des récits de mort empathique ou partagée… On me décrivait, par exemple, des pièces qui changeaient de forme et se remplissaient d’une Lumière mystique – chose dont je n’avais jamais entendu parler au sujet des expériences de mort imminente. Mais, parmi tous les éléments récurrents de cette nouvelle forme d’expérience, celui qui me surprenait le plus était la capacité de certaines personnes à voir le film de la vie de la personne mourante… Il existe des expériences de mort partagée plus déconcertantes encore, celles où le phénomène est vécu par plusieurs personnes présentes au chevet du mourant.» – Dr Raymond Moody – (Source)
Récit type d’expérience de mort partagée
Le Dr Raymond Moody a élaboré un récit qui regroupe les principaux éléments de l’expérience de mort partagée:
«Une femme appelée Jane est assise auprès de son mari, en phase terminale d’un cancer, après trente ans de vie commune. Il a perdu conscience et, d’après le médecin qui le soigne, sa mort est imminente… Tandis qu’elle le regarde, une brume blanche s’élève et se dissipe dans l’air au-dessus de lui… Soudain, la chambre s’éclaire et s’emplit d’une Lumière blanche dans laquelle dansent des particules. Jane, qui se sent un peu étourdie, comprend tout à coup qu’elle a quitté son corps et qu’elle flotte non loin du plafond de la chambre. Elle se voit en bas, assise auprès du corps inanimé de son mari, à ce qui lui paraît, car elle sent, en même temps, sa présence non loin d’elle. Elle tourne la tête et le voit qui lui sourit… Le couple continue à planer tandis que des scènes de leur vie surgissent autour d’eux. Ils voyagent dans leur passé en voyant défiler ces fragments dont certains se présentent de façon panoramique… Parmi ces scènes, se trouvent des séquences dont Jane ne fait pas partie, des scènes de la vie de son mari… Ensemble, ils se déplacent vers un coin de la chambre qui n’est plus à angle droit. Toute la pièce a changé de forme et semble continuer à se transformer… C’est peut-être dû à cette ouverture, à ce tube qui semble se dilater près du plafond, comme une porte vers un ailleurs. Jane et son mari y pénètrent…[et] débouchent dans un paysage édénique. Autour d’eux, tout n’est que beauté… Jane et son mari marchent sur un sentier qui descend vers un cours d’eau. Comme ils s’en approchent, Jane se rend compte qu’elle ne peut pas aller plus loin… Elle est heureuse pour son mari qui ne souffre plus et n’a plus de corps mortel. Elle prend congé de lui et, en un éclair, se retrouve dans son corps de chair et d’os, assise auprès de celui, inerte, de son mari.»
Caractéristiques des expériences de mort partagées
Les travaux du Dr Moody ont permis de déterminer un certain nombre de caractéristiques de l’expérience de mort partagée. Nous allons les passer en revue ci-dessous, en y ajoutant nos commentaires..
– Les « experienceurs » (tout comme pour les NDE ou EMI, l’on appelle ainsi ceux qui vivent ce genre d’expériences) perçoivent soudain des « entités spirituelles » entrant dans la chambre. Les expérienceurs voient ces apparitions, qui semblent être les proches décédés de la personne mourante, entrer dans la chambre au moment du décès.
Commentaire: Des personnes déjà décédées (les « entités spirituelles », c’est-à-dire des esprits désincarnés), proches ou amies, venant à la rencontre du nouveau défunt avec qui elles ont toujours des liens fin-matériels, rien que de très normal.
– Les « experiencers » voient  la supposée «essence spirituelle» du mourant en train d’abandonner son corps terrestre. Les expérienceurs rapportent, dans certains cas, apercevoir une sorte de « brume » (blanchâtre ou grisâtre) qui s’échappe du corps du défunt et constitue parfois une supposée « réplique transparente » de la personne qui vient de décéder.
Commentaire: Ce qui est ici – par ignorance de la véritable Structure de la Création – est appelé «essence spirituelle» du mourant est plutôt, en fait, son corps astral (corps gros-matériel moyen) ou, peut-être, parfois, dans de plus rares cas, – éventuellement – son corps fin-matériel. L’esprit lui-même – donc l’«essence spirituelle» -, sur Terre, n’est, en fait, pratiquement jamais vu par personne.
Quant à la « réplique transparente », c’est, en fait, exactement l’inverse. En effet, le corps astral (la « brume transparente ») n’est pas une réplique du corps gros-matériel terrestre (le corps physique) mais bien, tout au contraire, son modèle. Autrement dit, ce n’est pas le corps astral qui est un double du corps physique, mais c’est, tout au contraire, à l’inverse, le corps terrestre gros-matériel (le corps physique) qui est fait en fonction du corps de matière grossière moyenne.
– Perception d’une « Lumière brillante et mystique ». Cette Lumière « surnaturelle », qui éclaire la chambre, est perçue par les expérienceurs comme étant une Source de Pureté, d’Amour, de Paix et de réconfort.
Commentaire: Une « Lumière mystique » cela ne veut pas dire grand chose. D’une façon générale, il n’y a pas de place à la mystique dans la Création. C’est quoi la « mystique »? En général, ceux qui emploient ce mot ne savent pas de quoi précisément ils parlent. Voici la définition de Wikipédia: « La mystique ou le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes. ». Nous pourrions surtout ajouter: Est mystique toute personne qui a du goût pour les mystères. Mais les êtres humains n’ont pas besoin de mystères, au contraire, ils ont besoin de clarté. Or les Lois, qui régissent la Création, ne sont pas mystiques mais au contraire, tout à fait claires, afin qu’il puissent se repérer et s’orienter en fonction d’elles.
Par conséquent, si une brillante Lumière se manifeste (ce qui est tout à fait possible), cette Lumière ne peut pour autant être qualifiée de « mystique » . Cela peut être un « Être de Lumière » qui est tellement radiant et lumineux que, vu de plus bas, sa forme n’est pas visible mais qu’il n’est juste perceptible qu’en tant que rayonnement.
– Les personnes présentes (appelées « experiencers ») peuvent participer à la revue de vie du défunt. Les expérienceurs peuvent voir des scènes de la vie de la personne en train de décéder. Ces scènes forment parfois un hologramme qui entoure le lit du trépassé.
Naturellement, pour ceux qui le vivent, c’est là une expérience tout à fait marquante. Cette possibilité de voir en images les grands épisodes de la vie de la personne en partance pour l’Au-delà pré-suppose, bien évidemment, une grande proximité intérieure avec le défunt.
– Impression de changement dans la structure de la chambre. Les expérienceurs rapportent parfois que, lorsque l’autre personne décède, ils semblent pénétrer dans un autre plan de réalité qui ne se conforme pas aux règles de la géométrie tridimensionnelle. Par exemple, la chambre d’hôpital cubique semble «se muer» en quelque chose d’autre, elle peut prendre l’apparence d’un entonnoir; et les expérienceurs peuvent avoir l’impression de se retrouver à l’extérieur de leur corps physique et de percevoir la chambre à partir d’un angle qu’il est impossible de décrire avec les mots du langage ordinaire.
Ce soit-disant « changement dans la structure de la chambre » – en tant que perception toute subjective – correspond en fait à l’ouverture des organes des sens fin-matériels des personnes vivant l’expérience de mort partagée. Ils se mettent à voir un autre monde complètement imperceptible aux sens gros-matériels terrestres et qui ne peut être appréhendé qu’avec les organes de matière fine correspondants.
– Découverte d’un paysage pouvant être qualifié d' »irréel » et de « paradisiaque ». L’expérienceur découvre un paysage où tout n’est que Beauté. Il peut aussi entendre une musique éthérée tellement sublime qu’il est impossible de la décrire avec des mots.
Ce « paysage {soi-disant} « irréel » » est, bien évidemment, un paysage fin-matériel, donc constitué avec des matériaux d’une autre nature, d’un autre genre et perceptible uniquement avec les organes des sens de même genre correspondants. Si le paysage – bien qu’il appartienne encore au monde de la matière (matière fine) et non au Paradis proprement dit, quant à lui de genre purement spirituel – peut être qualifié de « paradisiaque », c’est tout simplement parce que, dans les plans plus élevés de la matière fine, règne déjà la Lumière.
– Accompagnement de la personne décédée vers la Lumière. Certains expérienceurs affirment avoir eux-mêmes aussi quitté leur corps gros-matériel terrestre, au moment où l’être humain qu’ils accompagnaient est terrestrement mort (= son corps est devenu inanimé), et avoir réintégré leur «enveloppe corporelle» alors que la personne décédée entrait dans la Lumière.»
Oui, c’est tout à fait cela. Lors de l’expérience de vie partagée au moment de la transition d’une âme terrestrement incarnée vers l’Au-delà (= libération vis-à-vis du corps gros-matériel terrestre), parfois, l' »experiencer » ne reste pas lui-même dans son corps physique terrestre mais en sort dans le but évident de pouvoir pleinement vivre l’expérience sans l’entrave de la chair, donc sans l’emprise du corps terrestre. Une fois le décédé complètement parti dans l’Au-delà et donc ainsi devenu invisible, il y revient tout naturellement, et cela d’autant plus que le cordon d’argent a, sans interruption, constamment relié l’âme et le corps.

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L’incroyable histoire de Shanti Devi

L’incroyable histoire de Shanti Devi

L’incroyable histoire de Shanti Devi

– L’enfant réincarnée de Delhi –

Par Patrice Van Eersel

« Il n’est pas plus surprenant d’être né deux fois qu’une. »
– Voltaire –

Introduction de l’École de L’Art de Vivre
Rendre accessibles aux êtres humains spirituellement ouverts (pour les autres l’on ne peut, hélas, rien faire!) de grandes Vérités est l’une des principale raisons d’être de l’École de L’Art de Vivre. Indubitablement, la Réincarnation fait partie de ces grandes Vérités. Simple et naturelle évidence pour les uns, elle constitue un insondable mystère doublé d’une totale révolution conceptuelle pour le plus grand nombre… Et – comme nous allons le voir ci-dessous – même là où l’on est censé y croire, c’est loin d’être aussi évident que cela le devrait…
C’est pourquoi nous sommes particulièrement réjouis de partager ci-dessous l’histoire de Shanti Devi, car la Vérité y ressort avec tellement d’évidence qu’il est à possible de faire quoi que ce soit de plus pour ceux qui – sous l’implacable domination de leur propre intellect – voudront encore nier la simple et naturelle évidence… Eh oui, la Création tout entière est régie par des Lois qui sont juste l’Omnisage Expression de l’Omnisainte Volonté du Créateur. Celui qui les refuse se ferme à lui-même toute perspective de Salut…

Introduction de Patrice van Eersel
Pour six cent millions d’hindous, la réincarnation est une évidence. Elle constitue l’un de leurs plus anciens principes religieux. Quelles qu’aient pu être leurs influences, les conquérants musulmans, puis chrétiens, eurent peu d’impact sur la croyance des Indiens dans les Lois régissant le retour des âmes dans la matière. Régulièrement, il faut le dire, des phénomènes frappants de «souvenirs de vie antérieure» viennent dynamiser la croyance ancestrale. L’histoire (…) {ci-dessous} est de celles qui alimentent les plus grandes interrogations.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas parce que la culture indienne admet depuis fort longtemps l’idée de réincarnation que celle-ci est plus facile à intégrer en Inde qu’ailleurs. L’extraordinaire et très émouvante histoire de Shanti Devi nous montre à quel point, même là-bas, l’hypothèse d’un «retour d’incarnation» – que le dogme et les croyances en vigueur disent pourtant plausible et même normal – peut s’avérer épineux dans la vie quotidienne, prenant les habitudes humaines trop abruptement à rebrousse-poil.
Commentaire de l’EDLADV: Qu’il s’agisse de vie après la mort ou de réincarnation, si la foi était vivante en eux, tout cela paraîtrait à tous parfaitement naturel. Le fait que ce ne soit pas le cas, montre à quel point leur soi-disant « foi », en réalité, est superficielle.
Mais le cas de Shanti Devi était trop beau, trop fort, trop éclatant, pour que les Indiens ne finissent par s’incliner et n’en fassent une figure d’école. Que le Mahatma Gandhi lui-même s’y soit intéressé – —cela se passe dans les années trente -, qu’il ait rencontré la fillette, qu’une commission d’enquête au-dessus de tout soupçon ait été nommée, que cette dernière ait rendu un rapport catégorique… tout cela rend l’exemple de Shanti Devi tout à fait remarquable et, sans doute, unique en son genre. Trente et quarante ans plus tard, quand ils entreprendront chacun une grande enquête sur les cas de réincarnation en Inde, le chercheur suédois Sture Lônnerstrand et le chercheur américain Ian Stevenson vont tout naturellement mettre le cas Shanti Devi en avant.

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Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Des enfants se souviennent de leur vie précédente

Introduction
Nous avons déjà eu l’occasion de rapporter des histoires de réincarnations, comme « La réincarnation de l’adolescente décédée » ou « Un enfant se souvient de sa vie antérieure ».
Justement!, sans être extrêmement nombreux, il y a suffisamment de cas connus d’enfants à se souvenir de leur vie immédiatement antérieure – donc leur vie terrestre précédente – pour – en recoupant les cas – pouvoir déjà en tirer quelques premières conclusions.
Outre l’Enseignement dispensé sur les Bases des Lois de la Création, les autres informations ci-dessous, en particulier, proviennent de divers ouvrages sur la réincarnation, ainsi que des « études sur la réincarnation », mentionnés en bibliographie, au bas de la présente page..
Les recherches et travaux de Ian Stevenson
Le célèbre psychiatre américain Ian Stevenson a passé la plus grande partie de sa vie à étudier des cas de souvenirs de réincarnation chez les enfants. Les très jeunes enfants concernés (de 2 à 6 ans en moyenne) sont suffisamment jeunes pour ne pas pouvoir être soupçonnés de fraude; à 2 ans l’on n’est pas capable d’inventer de toutes pièces, encore bien moins d’élaborer de tels mensonges aussi sophistiqués, surtout lorsque la plus grande partie des affirmations, parfois très circonstanciées, sont – pour la plupart – très facilement vérifiables.
Ian Stevenson (1918-2007) était donc un psychiatre américain, professeur respecté à l’université de Virginie. Il fut le pionnier et le spécialiste mondial de l’étude des cas de réincarnation chez les enfants. Il a notamment publié « Les enfants qui se souviennent de leur vie antérieure » (Sand, 1993); « 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation » (« J’ai Lu », 2007).
Interviewé par le journal « Psychologies », le Pr Stevenson raconte comment l’idée lui est venue d’enquêter sur les réincarnations chez les enfants:
« Au début des années 1960, alors que j’étais professeur de psychiatrie à l’université de Virginie, je devenais de plus en plus perplexe devant les théories classiques, freudiennes notamment, sur la formation de la psyché humaine. Ces théories n’expliquaient pas tout. Loin de là. Parmi les très nombreuses questions que je me posais, je me demandais pourquoi certains bébés ont des phobies ou des aversions très prononcées, comme la peur irraisonnée du noir, de l’eau, de certains animaux… En lisant des ouvrages sur la réincarnation, j’ai découvert des histoires étonnantes : au Sri Lanka, un bébé avait une peur épouvantable de l’eau et criait férocement chaque fois qu’on voulait le baigner. Les parents n’y comprenaient rien. Cela a duré un certain temps, et rien ne pouvait expliquer son comportement. Mais dès qu’il a été en âge de parler, cet enfant s’est mis à raconter la vie d’une fillette de 9 ans qui, en traversant un chemin à travers des champs de riz inondés, a été renversée par un bus et s’est noyée. Comme cette histoire était bien documentée, j’étais stupéfié. Je me suis donc mis à réfléchir à cette question : pourquoi notre psyché ne se construirait-elle pas aussi à partir d’événements d’une vie passée ? Pour moi, il n’y avait rien de plus logique. Restait à le démontrer d’une manière scientifique…. ».
En moins de cinquante ans le Pr Ian Stevenson a  recensé pas moins de 14000 cas de souvenirs de réincarnation sur toute la Terre. Cela nous donne déjà une idée de l’importance du phénomène. Sans être fréquent, il n’est pas pour autant rarissime. Il y a suffisamment de cas pour – pour autant que l’on soit honnête et sincère dans la recherche de la Vérité – ne pas pouvoir les balayer du revers de la main,et aussi pour qu’il soit possible de mieux comprendre le phénomène et d’établir un certain nombre de constats…
Différence entre « souvenirs » et « cas »
Remarquons aussi, déjà, que des « souvenirs de réincarnations » ne sont pas exactement la même chose que des « cas de réincarnation ». Lorsqu’un petit enfant affirme avoir déjà vécu ailleurs sur la Terre, dans une autre famille, et qu’il est capable de fournir de nombreux détails sur sa supposée ancienne vie, et que – après vérification – tous ces détails s’avèrent être vrais, c’est-à-dire conformes à la réalité objectivement observable (voir, par exemple, le célèbre cas de Shanti Devi, déjà examiné sur le site de l’École de L’Art de Vivre), si, pour certains chercheurs (comme le comité scientifique mis en place par Gandhi lui-même, dans le cas de Shanti Devi) cela suffit amplement pour établir le fait indéniable et indubitable de la réincarnation, pour d’autres, dominés par leur propre intellect, il n’y aura jamais assez de « preuves » et même s’ils ne peuvent nier les faits objectifs ni leur donner aucune autre explication valable, ils continueront toujours à affirmer que cela ne suffit pas pour pouvoir affirmer qu’il s’agit d’une réincarnation. Alors quoi d’autre?

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Foi et martyre

Foi et martyre

Foi et martyre

Nous parlons ici, bien sûr, non des martyrs volontaires et autres fanatiques religieux mais du martyre involontaire, conséquence de persécutions religieuses. Il y en a eu beaucoup dans le passé, lointain ou proche, et il y en a encore de nos jours, dans certains pays.

Il n’est pas question de faire ici l’historique du long et douloureux martyrologe de l’humanité, ni même du seul martyrologe romain, cela prendrait des pages et des pages, et l’on n’en verrait point le bout pour autant…

Nous voulons simplement ici nous concentrer sur ce qui – au cours de l’histoire et encore aujourd’hui – a poussé et pousse encore des croyants à résister aux persécutions, endurant, de ce fait, de lourdes souffrances, parfois jusqu’à la mort.

Souvent les persécuteurs veulent obtenir des croyants qu’ils abjurent leur foi. A l’époque des persécutions romaines contre les Chrétiens, les Chrétiens étaient sommés de s’adonner à des actes en contradiction directe avec leur Foi chrétienne, comme, par exemple, adorer l’empereur ou sa statue comme un soi-disant « dieu », ce qui – bien évidemment – serait une transgression absolue du Premier Commandement (« Je suis l’Éternel Ton Dieu, Tu ne dois pas avoir d’autres dieux à côté de Moi »), le plus important de tous, selon l’Enseignement de Jésus.

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Le voyage dans le temps

Le voyage dans le temps

Le voyage dans le temps

Est-il possible de voyager dans le temps? Quel que puisse être son intérêt, ce n’est pas la question principale à examiner ici. Nous nous pré-occupons ici plutôt de savoir à quoi pourrait spirituellement nous servir la connaissance de l’avenir, si, d’une manière ou d’une autre, sur la base d’une ligne temporelle donnée, il pouvait parfois nous être révélé.
Prenons le cas d’un homme animé d’un projet voulant être bon mais qui, en réalité – sans qu’il en ait conscience -, est détourné de la Lumière.
Nous avons, par exemple, une histoire comme celle-là avec le célèbre scientifique Albert Einstein qui, prenant conscience du fait que la réalisation de la première bombe atomique (ayant débouché sur les horribles massacres d’Hiroshima et de Nagasaki) était une mise en application concrète de ses travaux sur la matière et l’énergie (« E = MC2 »), aurait ensuite déclaré: « Si j’avais su, je me serais fait plombier! ».
Il en va exactement de même dans le domaine purement spirituel. Par exemple, un théologien qui – dans le but d’adapter un Message spirituel à l » »air du temps » et de le rendre ainsi « plus accessible » aux êtres humains de la Terre tels qu’ils sont – en retire une part importante, voire fondamentale, peut, dans la durée, générer une catastrophe spirituelle. Assurément, il est bien intentionné, mais avec l’une de ces « bonnes intentions » (sic!) dont l’enfer est pavé!
Lorsqu’un être humain ne prend pas comme base de son action uniquement la Volonté Divine mais y substitue ou y mêle la sienne propre (c’est-à-dire une volonté humaine, entravée par son intellect et ses sentiments), il peut générer des résultats à long terme très éloignés de ceux qu’il avait de prime abord imaginés!
Sous l’effet de son ressenti de culpabilité et de la honte et du remords associé, il voudrait ensuite n’avoir jamais eu de si « brillantes idées »!

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Peut-on mentir pour survivre?

Peut-on mentir pour survivre?

Peut-on mentir pour survivre?

Leçons persanes

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Introduction

Dans les célèbres « Lettres persanes » de Montesquieu (Lettre 30) est posée l’existentielle question « Comment peut-on être persan? ». Le film « Leçons persanes » – d’après une histoire vraie – apporte une singulière réponse à cette question. C’est une question de survie.

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Leçons persanes

Voici le sujet du film « Les Leçons persanes »: En 1942, durant la Seconde Guerre mondiale, en pleine persécution anti-Juifs en France occupée par les Allemands nazis, Gilles, le fils d’un rabbin d’Anvers, qui essaye de fuir en Suisse, est arrêté avec d’autres Juifs par des soldats nazis, qui les entraînent dans une forêt, à l’évidence pour les tuer. Lors de la fusillade à laquelle, avec tous ses compagnons d’infortune, il est soumis, pour tenter d’échapper à la mort, il se laisse tomber au sol, avant même d’avoir reçu les balles meurtrières.

Les soldats allemands s’aperçoivent alors de sa tentative d’échapper aux balles en faisant, par sa chute sur le sol, croire qu’il est déjà mort, s’apprêtent à l’exécuter spécifiquement, c’est alors que Gilles, serrant contre sa poitrine un livre en persan (farsi) puis – comme pièce à conviction – le brandissant devant lui, s’empresse d’affirmer aux soldats qu’il n’est pas juif mais persan.

Bien évidemment incrédules, les soldats s’apprêtent à passer outre cette assertion, lorsque l’un d’entre eux se souvient subitement que l’officier Klaus Koch – qui organise les repas des soldats allemands et des prisonniers dans un camp de concentration – recherche quelqu’un pour lui apprendre le persan (farsi), dans le but de partir en Iran ouvrir un restaurant à Téhéran (où se trouve déjà son frère), une fois la guerre terminée.

Espérant ainsi se faire bien voir de leur supérieur hiérarchique et obtenir de lui quelques faveurs (des boîtes de conserves de viandes pouvant améliorer l’ordinaire plutôt frugal), les soldats décident de faire semblant de croire que Gilles est réellement persan, de sorte qu’ils renoncent à le fusiller et se décident à l’emmener avec eux au camp où est établie leur garnison, et que ce mensonge sauve la vie de Gilles.

Une fois arrivé au camp, Gilles est présenté à l’Obersturmführer [« chef d’escadron »] Klaus Koch (nom qui veut dire « cuisinier »!), responsable des cuisines du camp, comme pouvant être son professeur de persan. Bien que celui-ci le considère tout d’abord avec scepticisme, il décide quand même de mettre Gilles à l’épreuve, de sorte que celui-ci est amené à inventer de supposés mots persans – en réalité inexistants – pour les apprendre à son nouveau maître.

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La prière d’un pasteur

La prière d’un pasteur

La prière d’un pasteur

« Peut-être aimerez-vous lire cette Prière faite au Kansas à l’ouverture de la session à la Kansas House of Representatives. Il semble que la prière dérange encore certaines personnes…?

Quand le pasteur Joe Wright a été demandé pour dire la prière d’ouverture de la session au Sénat du Kansas, tout le monde s’attendait à une prière ordinaire; mais voici ce qu’ils ont entendu:

« Seigneur, nous venons vers Toi, aujourd’hui, pour Te demander pardon et pour Te demander de nous guider.
Nous savons que Ta Parole nous dit: «Malheur à ceux qui appellent bien ce qui est mal» et c’est exactement ce que nous avons fait.
Nous avons perdu notre équilibre spirituel et nous avons renversé nos Valeurs.
Nous avons exploité le pauvre et nous appelons cela: «la loterie».
Nous avons récompensé laparesseet nous avons appelé cela: «l’aide sociale».
Nous avons tué nos enfants pas encore nés et nous avons appelé ça «le libre choix». (…)
Nous avons négligé de discipliner nos enfants et nous avons appelé ça « développer leur estime de soi ».
Nous avons abusé du pouvoir et nous avons appelé ça «la politique».
Nous avons convoité les biens de nos voisins et nous avons appelé ça « avoir de l’ambition ».
Nous avons pollué les ondes radio et télé avec la grossièreté et la pornographie et nous avons appelé ça «liberté d’expression».
Nous avons ridiculisé les Valeurs établies depuis longtemps de nos ancêtres et avons appelé ça «les lumières».

« Ô » Dieu, sonde notre cœur; purifie-nous et libère-nous de nos péchés ………….. Amen.

La réaction fût immédiate. Un parlementaire a quitté la salle durant la prière.
Trois autres ont critiqué la prière du pasteur et un autre a qualifié cette prière de «message d’intolérance». Dans les 6 semaines qui suivirent, l’Église Central Christian Church, où le pasteur Wright travaille, a reçu plus de 5,000 appels téléphoniques dont seulement 47 étaient défavorables aux propos du pasteur.
Cette église reçoit maintenant des demandes du monde entier, Inde, Afrique, Asie pour avoir la prière du pasteur Wright.
Le commentateur Paul Harvey a diffusé cette prière dans son émission de radio « The Rest of the Story » (La suite de l’histoire) et a reçu un accueil plus favorable pour cette émission que pour aucune autre.

Avec l’Aide de Dieu, puisse cette prière se répandre sur notre nation et que naisse dans notre cœur le désir que nous redevenions « un peuple sous le Regard de Dieu ».

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La Tunique de Jésus

La Tunique de Jésus

La Tunique de Jésus

La Tunique portée par Jésus lors de la passion

En France, dans l’église d’Argenteuil, dans le Val d’Oise, près de Paris, se trouverait – présentée comme « sainte » – la véritable Tunique portée par Jésus lors de la passion. Il existerait certaines preuves de son authenticité. Elle n’est montrée aux fidèles et au public que rarement. C’est le cas, en cette année 2025, du 18 Avril au 11 Mai 2025. L’on appelle cela « l’ostension ».

Le culte des reliques

C’est l’occasion de nous interroger au sujet du « culte des reliques ». D’un point de vue spirituel, selon les Lois et les Commandements de Dieu, d’une façon générale, le culte des reliques c’est juste de l’idolâtrie. Certes – si elle est authentique -, tout comme la Coupe utilisée par Jésus lors de la Cène et ayant ensuite servi à recueillir Son Sang au pied de la croix, la Tunique de Jésus est un souvenir sacré de l’Œuvre de Rédemption du Fils de Dieu et mérite d’être considérée avec respect. Mais, en aucun cas, elle ne doit être vénérée ni – encore moins – adorée. L’Adoration, en effet, doit toujours être réservée à Dieu Seul.

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