Ecole de l'art de vivre

Regards sur le Monde

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. Très enrichissant, je ressens une profonde gratitude. Que la lumière éclaire toute la terre. Que l'humanité ressente la grandeur du…

  2. L'amour c'est vouloir le bien supérieur de l'autre. Aider l'autre à tendre vers le haut... Aller vers Dieu... L'amour ne…

  3. Très belle Vidéo d'images accompagnant l'ouvrage" Un regard dans un autre Monde et la défaillance de l'humanité". Puissent-elles réveiller le…

  4. Merci pour l'article. Faire la différence entre les sentiments et l'amour de l'âme n'est pas chose aisée. Deux notions qui…

La Vérité sur la monogamie joyeuse

La Vérité sur la monogamie joyeuse

La Vérité sur la monogamie joyeuse

Le Mariage serait-il une institution dépassée? Toujours est-il qu' »il ne fait plus recette » et de moins en moins rêver, quoi que… Mais qu’en est-il selon la Volonté Divine? Comme le pensait Sigmund Freud – le fondateur de la psychanalyse -, l’homme serait-il naturellement polygame? Mais si, par exemple, un homme a quatre femmes, cela n’implique-t-il pas – mathématiquement – trois autres hommes en célibat forcé?

lire plus
Miang Fong, le Guérisseur

Miang Fong, le Guérisseur

Miang Fong, le Guérisseur

Miang Fong est {connu pour être} un «Préparateur de Chemin» du Tibet. Ce fut un Porteur de Vérité, un Enseignant et un Guide.
Mais il fut aussi un Guérisseur, et même un Thaumaturge.
C’est cet aspect-là que nous souhaitons ici illustrer avec le présent extrait, racontant deux Guérisons miraculeuses.
«Un soir, Miang-Fong parvint à une grande agglomération dans laquelle régnait une grande excitation. Beaucoup d’hommes s’étaient rassemblés, se parlaient violemment et désignaient l’Ouest. Miang ne comprenait pas la raison de cette excitation. Il s’arrêta en silence près d’un groupe en discussion. À ce moment-là, une femme portant un enfant dans ses bras se détacha de la foule. Gémissant à haute voix, elle allait passer à côté de Miang sans faire attention à lui.
Obéissant à une irrésistible pulsion, il posa doucement sa main droite sur son bras. Ce mouvement silencieux était tellement impératif que la femme s’arrêta involontairement et leva vers Miang ses yeux remplis de larmes.
– «Quelle est la cause de Ta douleur, ma sœur?», demanda Miang, et le calme de son regard fut comme un baume pour son âme.
Elle répondit en gémissant:
– «Ils veulent me prendre mon enfant, prétendant qu’il est impur et qu’il nous porte malheur. Mais je ne le leur donne pas, à aucun prix, qu’ils me tuent plutôt!».
– «Calme-Toi», dit Miang d’une voix sonore, «personne n’a le droit de prendre Ton enfant, dont le Plus-Haut T’a fait cadeau, afin que Tu en fasses un homme.».
A ces paroles, la femme gémit encore plus fort et l’enfant, un garçon d’environ trois ans, qui avait caché son visage contre le cou de sa mère, tourna son regard vers Miang. Miang s’effraya, car dans les yeux de l’enfant perçait le regard d’une bête sauvage. Il n’avait encore jamais rien vu de semblable.
– «Que se passe-t-il avec Ton fils?» demanda-t-il doucement, et la femme raconta:
– «Jusqu’à peu de temps, Hun-Fu était un enfant toujours aimable et sage. Il était obéissant et était ma seule source de Joie, puisque je suis veuve. Mon mari est mort dans les rochers, alors qu’il voulait sauver une bête égarée. C’est à partir de ce jour que Hun-Fu changea. Le choc l’a rendu malade après avoir vu le corps défiguré de son père, lorsqu’on le ramena à la maison. Il eut des crampes, puis il mordit et égratigna au réveil tous ceux qui voulaient s’approcher de lui. Maintenant, les gens disent qu’un mauvais esprit est entré en lui et que son âme a suivi son père dans l’Au-delà. Mais j’aime mon enfant et je ne veux pas le donner.».
Tout en parlant, elle serrait passionnément le garçon contre elle. Mais celui-ci devenait de plus en plus agité, comme s’il ne supportait pas la présence de Miang. Il s’échappa des bras de sa mère et la frappa pour qu’elle le lâche.
Miang venait de voir une chose inconnue pour lui. Il vit que l’âme de l’enfant, anxieuse et sans force, était poussée de côté par une ombre noire qui se couchait sur elle et l’empêchait de respirer.
La forme obscure frappait vers lui en criant de sauvages paroles.
– «Laisse-nous partir», demanda la mère.
Miang secoua la tête.
– «Je veux T’aider et aussi secourir Ton enfant», dit-il en regardant fermement dans les yeux de l’enfant pour obliger la forme sombre à se soumettre à sa volonté. En rassemblant toutes les forces de son âme, Miang leva les bras et supplia:
– «Plus-Haut, regarde-nous! Vois ce pauvre enfant qui est la proie du malin! Libère-le de son poids!».

lire plus
Des enfants réincarnés témoignent

Des enfants réincarnés témoignent

Des enfants réincarnés témoignent

Nous nous sommes ici déjà plusieurs fois penché  sur le cas des enfants qui se souviennent d’une vie antérieure, comme, par exemple, Shanti Devi. Voici encore d’autre témoignages également très frappants…
Toutes les explications qui pourraient être trouvées pour tenter d’expliquer cela autrement que par la réincarnation sont autrement plus « tirées par les cheveux »…!

« La Réincarnation » / Au pire, c’est un thème de film fantastique, au mieux un sujet difficile à prendre au sérieux. Et pourtant, il existe des personnes qui se souviennent d’histoires ne leur appartenant pas. Des histoires vérifiables, dont les détails sont soumis au verdict de ceux qui ont connu les personnes défuntes. Parfois, les similitudes ne s’arrêtent pas à la mémoire, mais touchent aussi le physique: les personnes se ressemblent, alors que rien ne les relient.

lire plus
Le don des larmes

Le don des larmes

Le don des larmes

« Larmes des femmes, l’arme des femmes. »

« Dieu parle, il faut qu’on Lui réponde
Le seul bien qui me reste au monde
Est d’avoir quelquefois pleuré. »
– Alfred de Musset – « Tristesse »

A l’évidence – même s’il a pu aussi exister des « pleureuses » professionnelles » versant des « larmes de crocodile », le fait de pleurer implique normalement (en cas de pleurs sincères) que le pleureur est touché intérieurement. Toutefois, de même qu’il y a deux sortes d’émotions il y a aussi deux sortes de pleurs, les pleurs suscités par les mouvements de l’âme et ceux qui ne résultent que d’épanchements exclusivement sentimentaux.
Le « don des larmes » (en latin « gratia lacrimarum » – « donum lacrimarum »), est une notion qui – selon Wikipédia – ferait référence à « l’efficacité des pleurs et des larmes spirituelles dans la prière ». Il s’agit toutefois d’une fausse notion, car, d’une part, en fonction des Lois de la Création, et en particulier de la Loi de la Pesanteur Spirituelle – les larmes, en tant que simple manifestation corporelle, ne peuvent pas être qualifiées de « spirituelles », et, d’autre part, elles ne peuvent avoir aucune « efficacité » dans la Prière (l’efficacité de la Prière dépend exclusivement de sa légèreté et donc de sa pureté) mais témoignent juste vers l’extérieur du bouleversement intérieur de celui ou celle qui pleure.

lire plus
Amour spirituel ou amour sentimental?

Amour spirituel ou amour sentimental?

Amour spirituel ou amour sentimental?

« C’est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l’âge
Mais plus fort, chaque jour, je serrerai ta main,
Car vois-tu, chaque jour, je t’aime davantage,
 Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. »

– Rosemonde Rostand – Rosemonde Gérard –

Un célèbre quatrain
Apposée sur le côté droit de la porte d’entrée principale de la Villa Arnaga de Cambo les Bains – dans le Pays Basque -, construite à l’initiative et selon les directives du poète et dramaturge Edmond Rostand – le célèbre auteur de l’immortel Cyrano de Bergerac – la plaque visible ci-dessus reproduit un quatrain de son épouse Rosemonde Rostand, plus connue sous son nom de poétesse de Rosemonde Gérard.

La « Médaille d’Amour »
A partir de deux derniers vers de ce célèbre quatrain a été réalisée la célèbre « Médaille d’Amour ».
Sur le site officiel de la Maison Augis, nous découvrons l’histoire de la « Médaille d’Amour » comme suit: 
« Découvrez la Médaille d’Amour, ode à l’amour et bijou iconique de la Maison Augis.
«Car vois-tu chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain.».
Les vers sont transcrits sous la forme du rébus «+ qu’hier – que demain». 
La Médaille d’Amour en or est portée par tous les amoureux ravis d’afficher leur grand Amour autour du cou.
La Médaille d’Amour naît en 1907, dans les ateliers lyonnais de la Maison A. Augis.
Son créateur Alphonse Augis, fils du fondateur de la Maison, a alors l’idée de transcrire les vers d’un célèbre poème de Mme Rosemonde Gérard intitulé «Les Vieux» datant de 1889, véritable déclaration d’amour à son mari Edmond Rostand.
Afin de témoigner sa reconnaissance à Mme Rostand (Mme Gérard de son nom de jeune fille), Alphonse Augis a fait réaliser dans ses ateliers, deux exemplaires uniques sertis de diamants et recouverts d’émail bleu.
Hautement symbolique, la médaille est entourée d’une couronne de lierre, lierre dont la devise célèbre est «je meurs ou je m’attache», est retenue dans les serres d’unaiglon, rappelant le grand succès d’Edmond Rostand.
Le deuxième exemplaire de cette magnifique médaille, a quant à lui, été offert par Alphonse Augis à son épouse Antoinette Augis. Une magnifique preuve d’amour de la part de son créateur!
La Médaille d’Amour l’Essentielle reprend exactement le dessin réalisé par Alphonse Augis pour adapter les vers de Madame Rosemonde Gérard Rostand, épouse de l’écrivain Edmond Rostand. »
« C’est en 1907 que naît la Médaille d’Amour dans les ateliers lyonnais de la Maison Augis.
Médaille ronde estampée sur de l’or 18 carats, sa finition est réalisée à la main. Le diamant du signe + et le rubis synthétique sont caractéristiques de ce modèle historique.
Elle est gravée et striée pour faire ressortir l’iconique phrase « + qu’hier – que demain », illustrant les deux vers de Rosemonde Gérard Rostand:
« Car, vois-tu, chaque jour, je t’aime davantage. Aujourd’hui plus qu’hier, et bien moins que demain. ». »
La phrase du célèbre poème « Lorsque nous serons vieux » de Rosemonde Gérard-Rostand est présentée comme « iconique ». Comme tout cela est romantique! Et bon pour les affaires!
Certes pour le sentiment, c’est une jolie phrase, appréciée par la foule sentimentale! Mais qu’en est-il sur le plan spirituel?

lire plus
A Moi la Vengeance, à Moi la Rétribution!

A Moi la Vengeance, à Moi la Rétribution!

A Moi la Vengeance, à Moi la Rétribution!

Lorsque l’être humain s’érige en Juge au point de vouloir prendre la place de … Dieu!

“Que nul d’entre vous ne médite en son cœur de mal contre son prochain…
 Car ce sont là des choses que J’exècre, dit l’ÉTERNEL.”
– Zacharie VIII, 17 –

Vengeance ou Pardon?
Plus que par les histoires de Pardon, les êtres humains sont souvent fascinés par les histoires de vengeance, laquelle serait « un plat qui se mange … froid! ». La littérature et le cinéma sont remplies de telles histoires de vengeance. Il s’agit, bien sûr, ici de vengeance humaine, car avec la supposée « Vengeance » Divine il s’agit naturellement de tout autre chose, il s’agit, en réalité, en ce cas, de la Justice!
Le comte de Monte-Cristo
Notre but n’est assurément pas ici de faire une anthologie – et encore moins une apologie – de la vengeance. Afin de reconnaître ce qui est spirituellement juste, nous allons juste évoquer l’une des plus célèbres histoires de vengeance, portée plusieurs fois à l’écran: « Le comte de Monte-Cristo » d’Alexandre Dumas.
La plus récente adaptation du célèbre roman d’Alexandre Dumas père, également intitulée « Le Comte de Monte-Cristo », qui met en scène l’acteur Pierre Niney dans le rôle du comte de Monte-Cristo, est probablement l’une des plus réussies.
Il est une maxime qui dit justement: « L’on ne peut pas être juge et partie. ». C’est pourtant ce que veut faire Edmond Dantès lorsque – grâce à la coopération de l’abbé Faria injustement incarcéré comme lui au Château d’If, au large de Marseille – il parvient à s’évader et, grâce au trésor à lui légué par l’abbé Faria sur l’île de Monte-Cristo, devient immensément riche.
A partir de ce moment-là, la vengeance d’Edmond Dantès se déroule d’une manière implacable. Tous ceux qui l’ont trahi, tombent les uns après les autres, et le lecteur – ou le spectateur – est invité à admirer le machiavélisme du plan qui lui permet de triompher de ses ennemis, de les condamner à la ruine, et/ou de les pousser dans la tombe.

lire plus
L’esprit de famille

L’esprit de famille

L’esprit de famille

Les Buddenbroocks

Sur le présent site de l’École de L’Art de Vivre le sujet de la famille – y compris du bon et mauvais côté de l’esprit de famille – a déjà été abordé. Ce que nous désirons, cette fois, c’est donner un exemple particulièrement signifiant du mauvais côté de l’esprit de famille, en attirant l’attention sur une saga romanesque – adaptée au cinéma – de l’auteur allemand Thomas Mann, une œuvre de jeunesse pour laquelle il reçut le prix Nobel de littérature en 1929:

Les Buddenbrocks

Il ne s’agit donc pas d’un bon exemple, mais, tout au contraire, du « parfait » exemple de ce qu’il ne faut pas faire. Nous n’allons pas ici raconter toute l’histoire de cette famille installée dans la ville hanséatique de Lübeck, y compris celle de son déclin, car notre objectif ici est nettement plus circonscrit.

Il s’agit plutôt d’attirer l’attention sur l’attitude du père de famille de la deuxième génération Johann (Jean vis-à-vis de sa fille Antonie (« Tonie »), à qui il dit, en substance: « Nous ne sommes pas nés pour satisfaire notre bonheur personnel. Nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes mais sommes juste les maillons d’une chaîne qui nous rattache à nos ancêtres. Toi-même tu ne saurais t’imaginer sans la lignée de ceux qui nous ont précédés. ».

lire plus
Affichez vos couleurs!

Affichez vos couleurs!

Affichez vos couleurs!

« Fais de Toi lentement et patiemment le plus irremplaçable des êtres. »
– André Gide –

« Que personne ne considère son semblable en le trouvant plus beau que lui-même, afin de l’imiter,
car nul être humain n’a été créé sans porter en lui une certaine {forme de} Beauté. »
– Source –

« Le Petit Prince, qui assistait à l’installation d’un bouton énorme, sentait bien qu’il en sortirait une apparition miraculeuse,
 mais la fleur n’en finissait pas de se préparer à être belle, à l’abri de sa chambre verte.
  Elle choisissait avec soin ses couleurs. »
– Antoine de Saint-Exupéry – « Le Petit Prince » – Chapitre VIII. –

Regardez le monde et les êtres humains autour de vous! Trop souvent, le noir, le gris, le sombre dominent… Généralement, les couleurs sombres servent soit à exprimer le deuil soit à se protéger. Trop souvent, le noir, le gris, le sombre dominent… Généralement, les couleurs sombres servent soit à exprimer le deuil soit à se protéger. Mais ce qu’elles expriment surtout – le plus souvent – c’est le désir d’anonymat ou celui de se fondre dans la masse de la foule moutonnière et sans âme.
Un tel comportement va clairement à rebours de l’Évolution. L’être humain a le devoir de développer sa propre personnalité consciente, laquelle se constitue par le développement de ses facultés personnelles (voir la Parabole des Talents ou des Mines). Soyons des êtres vivants, dans la merveilleuse Création de notre Dieu!
Si un être humain devient la copie de son prochain, alors il perd sa raison d’être. Si deux êtres sont absolument identiques, alors, sur les deux, il y en a un de trop! C’est le fait d’être « unique au monde » qui confère à chaque être humain le droit d’exister!

lire plus