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Les ombres du passé
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Histoire vraie
Introduction
La réincarnation – c’est-à-dire la réalité des vies successives – est une évidence pour des centaines de millions d’êtres humains sur la Terre. Mais même l’évidence n’est évidente que pour celui qui la voit…
Comme tout ce qui dépasse le cadre intellectuel terrestre, la réincarnation ne peut pas réellement être prouvée. Mêmes les preuves, en effet, ne servent à rien, car l’on ne peut prouver qu’à l’intellect, et, comme celui-ci est congénitalement incapable de reconnaître le supra-terrestre, il cherchera toujours à s’opposer à ce qu’il ne peut pas et veut pas reconnaître.
Là encore, une telle reconnaissance vis-à-vis de telles réalités supra-terrestres ne peut provenir que de l’esprit – et ce n’est aussi qu’à lui qu’elle peut être utile, car ce que l’intellect croit savoir (seul l’esprit peut réellement savoir; l’intellect ne peut servir qu’à l’érudition) cesse d’exister à la mort terrestre, elle ne peut donc être que spirituelle.
Alors y a-t-il un moyen de déblayer à l’esprit le Chemin de la Reconnaissance? Oui, il y en a. Cela peut, par exemple, consister à donner à ceux qui n’ont pas encore reconnu la possibilité de vivre une expérience à travers l’histoire de quelqu’un d’autre…
En effet, comme le disait l’auteur latin Plaute: « Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger. ».
Alors, qui voudra se laisser toucher par l’histoire authentique de Jenny découvrant qu’elle a jadis été Mary…?
L’histoire.
Jenny Cole (nom de l’héroïne dans le film) vit avec son mari et son fils aux États-Unis. Elle est enceinte et commence à avoir des rêves très intenses sur une petite ville « Malahide », pourvue d’une grande église, dessinée par Jenny.
La présence, pendant toute la gestation, d’un deuxième esprit tout auprès d’elle peut suffire à expliquer que sa vie onirique en soit profondément modifiée et qu’elle expérimente des rêves que jusque-là, elle n’avait pas.
Elle commence à en parler à sa mère, qui lui montre alors des dessins qu’elle avait fait quand elle était petite. À sa grande surprise, ils sont identiques aux dessins vus dans les rêves que Jenny expérimente maintenant.
Jenny et sa mère (ouverte à ce que vit sa fille) font des recherches et découvrent que les rêves concernent une petite ville appelée Malahide en Irlande, dans les années 1930. La mère donne à Jenny et sa famille des billets pour se rendre en Irlande pour en comprendre davantage au sujet de ses rêves.
Jenny a-t-elle déjà vécu dans le passé en tant que Mary Sutton?
Comme le dirait Shakespeare:
« That is the question… ».
A l’époque, la question était: « To be or not to be, that is the question ». Plus précisément, la nouvelle question serait, cette fois:
« To have been or not to have been, that is the question. ».
Résumé
Les rêves obsédants d’une mère la conduisent vers un autre endroit, un autre temps et un passé mystérieux – le sien. Elle voyage en Irlande, jusqu’à la ville de Malahide, où elle revit une vie antérieure et rencontre ses (anciens) enfants, qui ont maintenant 70 ans, alors qu’elle est dans la quarantaine…
Une touchante histoire de retour sur son passé…
Titre original: « Yesterday’s Children » [« Les enfants d’hier »].
Acteurs: Jane Seymour, Clancy Brown, Kyle Howard.
Réalisateur: Marcus Cole.
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Ce film s’inspire de la véritable histoire de Jenny Cockell – incarnée dans ce film, sous le nom de Jenny Cole, par l’actrice Jane Seymour – qui découvre que, dans une vie antérieure, elle était une Irlandaise de Malahide, disparue dans les années 1930!
Elle décide donc d’enquêter sur sa vie passée! Mais si Malahide existe bel et bien, qui sont ces personnes qui l’obsèdent? Car ce ne sont pas des rêves mais bien des souvenirs qui sont dans sa mémoire…
Jenny Cockel
Jenny Cockell (née le 10 juillet 1953 à Barnet, Hertfordshire) est une podologue anglaise, qui, au milieu des années 1990, s’est fait connaître par ses écrits sur la réincarnation.
« Allégations paranormales »
« Dans son livre « Yesterday’s Children » [« Les enfants d’hier »], Jenny Cockell évoque ce qu’elle décrit comme des souvenirs de sa vie passée sous le nom de Mary Sutton, dans l’Irlande du début du XXe siècle. Le livre relate les recherches de Jenny Cockell sur la vie de Mary Sutton et ses retrouvailles avec les enfants de Sutton, dont certains ont accepté que Jenny Cockell soit la réincarnation de leur mère et tous ont accepté que ses souvenirs soient ceux de leur mère.
Jenny Cockell décrit comment des journalistes de la BBC et de la Society for Psychical Research ont interrogé des témoins qui ont déclaré qu’elle avait parlé de ses vies antérieures dans l’enfance et qu’elle avait désigné Malahide comme lieu {de sa vie précéente}. Elle affirme avoir dessiné une carte de Malahide dans son enfance, devant un témoin. Jenny Cockell a commencé à parler de ses rêves et de ses souvenirs de « Mary » à l’âge de 4 ans, et, après avoir correspondu avec un homme de la région lors de ses recherches en 1989, elle a découvert que le nom de famille était Sutton. En 1988, elle a subi une séance d’hypnose [NDLR: L’hypnose s’apparentant à un véritable ligature de l’esprit – donc à un viol psychique – n’est, cependant, – quel que puisse en être le motif – jamais conseillée!] à la suite de quoi elle a affirmé avoir retrouvé quelques autres souvenirs.
En 2000, CBS a diffusé « Yesterday’s Children », une adaptation télévisée du livre de Jenny Cockell, avec Jane Seymour dans le rôle-titre. Pour le téléfilm, cependant, Jenny Cockell était appelée « Jenny Cole » et l’histoire a été quelque peu réécrite, avec, entre autres, le fait que Jenny Cole soit une citoyenne américaine plutôt que britannique. »
(Source)
Publications
- « Yesterday’s Children: The Extraordinary Search for my Past Life Family », Piatkus, 1993 UK.
- « Across Time and Death: A Mother’s Search for Her Past Life Children », Fireside 1994 USA.
- « Past Lives, Future Lives: One Woman’s Extraordinary Experiences of Other Lifetimes », Piatkus, 1996.
- « Journeys Through Time: Uncovering My Past Lives », Piatkus, 2008.
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Interview
« Les enfants retrouvés » (interview de Jenny Cockell)
L’histoire exceptionnelle de Jenny Cockell, une preuve convaincante en faveur de la réincarnation?
MdG: Il y a dix ans, vous avez écrit un livre, «Yesterday’s Children» (« Enfants d’autrefois »). Vous y racontez comment vous vous êtes mise à la recherche de ceux qui furent vos enfants dans votre vie précédente. Au début, comment sont venus vos souvenirs de cette vie antérieure?
Jenny Cockell: En réalité, ces souvenirs n’ont pas vraiment eu de début. Ils ont toujours été là, et je croyais qu’il en était ainsi pour tout le monde. Mais je sus bientôt que les autres ne parlaient pas de leurs vies passées. En grandissant, j’ai longtemps pensé que les autres ne me disaient peut-être pas la vérité, qu’ils avaient des souvenirs, mais ne voulaient pas l’admettre.
Ce fut difficile pour moi d’accepter que la plupart des gens ne pouvaient pas se souvenir de leurs vies antérieures. Quand j’en parlais, on me disait que ce n’était qu’une croyance; et je ne pouvais pas en parler à mes parents, aller en Irlande et vérifier si mes souvenirs correspondaient à la réalité.
MdG: Comment êtes-vous parvenue à découvrir où vous aviez vécu dans votre vie antérieure et comment vous êtes-vous rappelé Malahide en Irlande?
Jenny Cockell: Lorsque j’étais petite, je dessinais constamment les plans d’un village. Je n’étais pas sûre de l’endroit où se trouvait ce village, mais j’étais sûre que c’était en Irlande, et je savais aussi à peu près où il se trouvait. Entre neuf et dix ans, j’ai cherché dans un atlas scolaire. Mon attention fut attirée de façon répétée par un endroit précis sur la carte. Le nom de cet endroit était Malahide. J’ai supposé que Mary avait vu une carte d’Irlande et savait où le village se trouvait. C’est pour moi la seule chose qui explique comment je sus où chercher. Je n’avais même pas pensé à quel endroit je devais chercher !
MdG: Et arrivée à l’âge adulte, vous avez voulu faire le voyage en Irlande…
Jenny Cockell: Oui, j’ai voulu tenter de retrouver la famille dont je me souvenais. Je savais que je devais chercher à Malahide, mais je n’étais pas sûre de pouvoir me souvenir de suffisamment de détails. Je ne pouvais me rappeler aucun nom de famille. Je me souvenais de quelques-uns des prénoms des enfants et je savais aussi où se trouvait la maison de bois de la famille.
Mais je n’avais trouvé aucun plan détaillé des rues et ne possédais que les cartes que j’avais dessinées étant enfant. J’eus alors recours à l’hypnose pour vérifier si je pouvais me souvenir de plus de choses. Mais en réalité, cela ne m’a pas apporté que des avantages. Le nom dont je me suis souvenue sous hypnose n’était pas le bon, mais une ou deux choses revinrent, qui étaient incroyablement exactes. Il faut faire très attention à l’hypnose!
MdG: Quand êtes-vous allée pour la première fois à Malahide?
Jenny Cockell: C’était le 5 juin 1989. Avant d’aller en Irlande, j’ai réussi à commander dans une librairie un plan des rues de Malahide. Lorsque la carte est arrivée, j’ai apporté les petites cartes que j’avais dessinées, je les ai mises à côté de l’autre et c’était évident: c’était le bon endroit!
J’avais bien situé les rues, même leur direction était correcte. La gare était au bon endroit. Ainsi je sus que cela valait la peine d’y aller.
Donc, le 5 juin 1989, je me promenais dans Malahide. Et l’impression était très curieuse, comme lorsqu’on est parti de sa ville natale et qu’on y retourne longtemps après. D’abord, on remarque les changements. Ainsi en est-il allé pour moi, j’ai remarqué les choses qui étaient différentes. Au bout d’une rue, je m’attendais à trouver un chantier de construction, et à la place il y avait des magasins. L’embarcadère n’était plus en bois, mais en béton. Et comme je descendais la rue pour trouver la maison en bois, je fus encore déconcertée parce qu’on avait asséché le marécage et construit des maisons dessus.
Dans mon souvenir, la maison était exactement comme autrefois. Mais bien sûr, le temps avait passé. Elle était maintenant en ruine, complètement envahie par les ronces et il ne restait qu’une petite partie du mur à mi-hauteur d’homme environ. Lorsque j’entrai et me plaçai au milieu du bâtiment, je le vis pendant un instant comme il était autrefois, puis de nouveau à l’état de ruine. Le mur qui courait près de la maison me fit une impression singulière. Il avait toujours été trop haut pour qu’on puisse s’y accouder, et je pensai qu’il avait dû rapetisser.
Mais tout à coup je compris que ce n’était pas le mur qui avait rapetissé, c’est moi qui suis maintenant plus grande d’un pied.
MdG: Avez-vous aussi eu des souvenirs désagréables de cette ancienne vie?
Jenny Cockell: Oui, les souvenirs correspondent à la vie et ne sont pas toujours agréables. La plupart étaient très durs. Nous vivions dans le dénuement et il était difficile de subvenir aux besoins des enfants. J’avais réprimé certains souvenirs qui sont revenus à la faveur des conversations avec Sonny – par exemple, le souvenir du père quand il buvait et qu’il battait mère et enfants. On ne se souvient pas volontiers de cela.
J’avais tendance à concentrer ma mémoire plutôt sur les enfants, sur le temps que nous avions passé ensemble, et sur ce que nous faisions lorsque le père n’était pas là. J’essayais de le faire disparaître de ma conscience, Bien que je me souvienne du temps où il était plus jeune. A cette époque, il était différent. Je ne sais pas ce qui lui est arrivé – mais ça s’est probablement passé lors de la première guerre mondiale. C’est après qu’il a commencé à boire.
MdG: Le moment de votre mort a-t-il aussi été pour vous très traumatisant?
Jenny Cockell: Oui, c’était un souvenir qui revenait toujours, que je le veuille ou non. Je me souviens que je me trouvais dans une pièce très éclairée. A cette époque, il y avait peu de bâtiments électrifiés en Irlande, mais cette pièce avait l’électricité; il y avait une fenêtre à deux battants et, par la porte, je pouvais voir un couloir. J’étais dans un hôpital et j’avais de fortes douleurs. Je savais que je devrais abandonner mes enfants, qu’il n’y avait rien que je puisse faire, et j’étais submergée par la culpabilité. Ensuite, je me souviens de mon corps gisant tout en bas sur le lit, car je voyais la scène de beaucoup plus haut que le plafond de la pièce. Le toit aurait dû gêner la vue, mais ce n’était pas le cas, puis je fus tirée vers l’arrière.
Auparavant, je me souviens que quelqu’un est entré et s’est agenouillé près du lit, c’était vraisemblablement un prêtre. Il y a quelques années, j’ai visité cet hôpital et j’ai dessiné une vue en plan de la pièce dans laquelle je suis morte. L’infirmière-chef l’a identifiée comme étant la salle d’isolement de l’ancienne aile du bâtiment. Je n’avais pas vraiment envie de retourner dans cette pièce, mais lorsque j’y suis allée, j’ai remarqué que mon sentiment de culpabilité à l’idée de devoir abandonner mes enfants avait beaucoup diminué.
Jusqu’alors, je n’avais pas accepté ma situation – la gangrène, l’empoisonnement du sang, la pneumonie, et il n’y avait pas d’antibiotiques! J’avais simplement pensé que je ne devais pas mourir et abandonner mes enfants.
MdG: Après avoir trouvé le village de Malahide et la maison, comment êtes-vous arrivée à découvrir les enfants?
Jenny Cockell: J’ai écrit au propriétaire de la maison, et il s’avéra qu’il se souvenait de la famille. Il se souvenait des enfants, avec lesquels il était allé à l’école, et put me donner leur nom de famille, ce qui m’aida à poursuivre ma recherche. J’ai alors fait passer une annonce dans un journal afin de trouver les membres de la famille et quelqu’un m’a envoyé une enveloppe contenant le nom et l’adresse d’un des fils.
C’est à ce moment-là que j’ai eu des difficultés, car je me demandais si c’était bien de faire ce que j’avais en tête: arriver et leur dire que j’étais cette mère qui avait laissé ses enfants en bas âge. Je ne savais pas non plus ce que je devrais dire exactement.
Finalement, je me suis décidée à écrire à l’un des fils, et je reçus un appel téléphonique qui se passa d’une façon curieuse. Il était un peu dur d’oreille et sa fille prenait sans cesse le récepteur pour tenter de comprendre de quoi je parlais. Je leur ai expliqué que dans mes rêves j’avais eu connaissance de la famille ; je n’ai pas dit vraiment de quoi il s’agissait.
Ça ne s’est pas passé spécialement bien. Celui qui était mon deuxième fils ne comprit absolument rien. Mais ensuite je suis arrivée à retrouver le fils aîné, grâce à quelques données qu’il m’avait fait parvenir.
A ce point de l’histoire, je me sentis un peu prise de panique, et pour cette raison, je me mis en rapport avec une chercheuse intéressée par mon cas, afin de rendre la démarche un peu plus officielle, et pour diminuer l’inquiétude de la famille.
Cette personne reconstitua l’histoire, s’entretint avec moi, puis avec le fils aîné et recueillit nos témoignages. De son travail, et avant notre rencontre, naquirent neuf pages de déclarations qui concordaient jusque dans les moindres détails. Ainsi, j’avais de quoi m’entretenir avec Sonny.
Sonny était le fils aîné, né en 1919. Je me souviens de lui vers l’âge de 13 ans. Nous avions la possibilité de revoir ensemble les notes de la chercheuse et d’échanger à leur propos. Sonny devait raconter quelque chose et je devais terminer l’histoire. Puis c’était à moi de commencer, et à lui de continuer.
Je racontai qu’un jour de novembre, quelqu’un au bout de la rue avait enseigné aux enfants comment on construit un piège pour attraper du gibier. Tôt le matin, les jeunes entrèrent en coup de vent – je me souviens avoir dû m’essuyer les mains – et nous courûmes dehors pour voir le lapin qu’ils avaient attrapé.
Je me souviens aussi d’avoir regardé l’animal étendu, les têtes des enfants me le cachant presque. Mais je ne me souvenais pas de ce qui s’est passé ensuite. Sonny, lui, le savait: ce n’était pas un lapin, mais un lièvre, plus difficile à apprêter, et on l’a libéré. Il put compléter cette histoire.
Ensuite il raconta que le pain qu’il aimait le plus était celui que sa mère préparait dans le four. Et j’ai poursuivi en disant: «Ah, veux-tu dire celui qui débordait du moule et qui devenait de plus en plus gros?».
Quelquefois il s’arrêtait et m’observait… mais nous n’avons parlé de réincarnation que beaucoup plus tard. Je voulais lui donner la possibilité de découvrir lui-même si ce qu’il était en train de vivre était significatif pour lui, et les conclusions qu’il en tirait. Il semblait pouvoir très bien assimiler tout cela.
Je l’ai rencontré de nombreuses fois et après un certain temps, il ne disait plus: «Je me souviens que ma mère…» faisait telle chose, mais plutôt: «Te souviens-tu, lorsque tu as fait cela?».
C’était une façon merveilleuse d’accepter la réincarnation, mais il n’en était pas pleinement conscient. » (Source).
Voir aussi: « A la recherche de Bridey Murphy »…
Une autre histoire vraie de régression dans une incarnation antérieure en tant qu’une autre femme irlandaise… (Film en anglais, avec possibilités de sous-titres):
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La réincarnation a aussi souvent inspiré les romanciers. C’est le cas, par exemple, avec le célèbre roman « L’appel du passé » d’Elisabeth Goudge.
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Conclusion
En ce qui concerne les cas réels, ce ne sont là que quelques exemples. Des histoires comme celles-là – sans être extrêmement répandues -, il en existe des centaines…
Dans le fond, rien que de très naturel. La question que beaucoup se poseront, c’est: Pourquoi certains arrivent à connaître une ou plusieurs de leurs vies antérieures, alors que moi je n’en connais aucune?
Les raisons peuvent être très variées. Ce qu’il est important de prendre en considération, c’est que toute tentative artificielle comme les régressions sous hypnose est largement préjudiciable à l’esprit.
Si à quelqu’un d’incarné sur Terre il est spirituellement utile (la curiosité intellectuelle – même sous couvert de ‘science » – n’est pas une bonne raison!) de reconnaître tout ou partie d’une vie antérieure, cela lui sera donné de façon tout à fait naturelle, sans aucun forcing.
S’il n’en sait rien, c’est qu’il vaut beaucoup mieux pour lui ou pour elle de n’en rien savoir. Le danger est grand, en effet, d’être tenté de vouloir revivre le passé, alors que seul le présent peut être spirituellement promoteur – et c’est bien la seule chose qui compte! – pour un être humain.
Un autre grand danger c’est d’être écrasé(e) par le poids des fautes passées si nous en avions conscience dans notre conscience diurne. Il y a, dans une seule vie, déjà bien suffisamment d’occasions d’avoir honte de notre comportement dans la vie présente sans devoir supporter, encore en plus, la honte des fautes commises au cours des vies passées.
Les fils du destin encore actifs nous relient toujours aux fautes non encore expiées et rachetées. Lorsqu’une faute a été rachetée, le fil de liaison par lequel, sous formes d’effets rétro-actifs, reflue le karma se dessèche et tombe. Celui qui a expiée sa faute et a été pardonné, en fonction des Lois Divines, est comme celui qui n’a jamais péché!.
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Les ombres du passé
Aujourd’hui plus que jamais, les preuves en faveur de la réincarnation sont nombreuses.
Mais faire l’autruche ne fera que préparer à ceux qui ne veulent ni voir ni rien entendre au sujet de la réincarnation des chemins tortueux et très difficiles pour la suite de leur existence, qui, pourtant, ne prendra pas fin après leur mort terrestre.