Alphonse de Lamartine
Extrait des « Harmonies poétiques et religieuses » (1830)
Ô Père qu’adore mon père!
Toi qu’on ne nomme qu’à genoux!
Toi, dont le Nom terrible et doux
Fait courber le front de ma mère!
On dit que ce brillant Soleil
N’est qu’un jouet de Ta puissance;
Que sous Tes pieds il se balance
Comme une lampe de vermeil.
On dit que c’est Toi qui fais naître
Les petits oiseaux dans les champs,
Et qui donne aux petits enfants
Une âme aussi pour te connaître!
On dit que c’est Toi qui produis
Les fleurs dont le jardin se pare,
Et que, sans Toi, toujours avare,
Le verger n’aurait point de fruits.
Par la beauté de la Création, notre Dieu nous invite chaque jour à développer ce sentiment d'admiration. Comme le mentionne…
Merveilleux!
Magnifique!
La vengeance Le vengeur est toujours souffrant de la vengeance qui le ronge! Sa libération se trouve dans le pardon…
Le Sixième Sens Mais où existe-t-il un être humain qui ne soit pas débiteur envers Dieu? Le mot "miséricorde" devrait…
"Tout est Grâce" Ces quelques lignes englobent l'état d'esprit dans lequel chaque être humain devrait s'efforcer d'aspirer, s'il ne veut…
"Ce que Dieu veut femme le veut" Ainsi est rétabli le sens de la formulation énoncé par le proverbe traditionnel:…
Merci pour ce texte de Roselis von Sass, dont la teneur permet de situer complètement le vrai rôle du Karma.…
"LA DOUCEUR" A l'heure où la masculinisation de la femme se profile peu à peu... Si il est une vertu…
"LE BIEN" Parallèlement au bien qu'il peut faire, l'être humain doit cultiver la patience, en attendant les retours, qui arriveront…