Contes de Noël
La Nuit du Berger
Le Miroir de Noël
Contes de Noël
La Nuit du Berger
Le Miroir de Noël
Le Voyage vers la Joie
Josef Kovář
Tous les efforts des êtres humains, qu’ils soient philosophiques, intellectuels ou spirituels, doivent être orientés vers un seul But: Connaître les Lois qui régissent la Nature, dans lesquelles nous découvrons la Volonté et la Justice du Créateur, et, en fonction de cette Volonté, d’arranger toute notre vie pour bien aller. C’est-à-dire {aller} dans la Paix et l’Harmonie.
Cela peut et doit être réalisé par tout être humain qui voudra vivre sur cette Terre, au cours d’une Nouvelle Ère, en laquelle les Lois de la Nature, ne tolèrent pas les perturbateurs de la Paix et de la tranquillité – qu’ils soient de nuances plus fines ou plus grossières – et les exclut auto-activement pour que ceux qui désirent vivre correctement dans la Volonté de Dieu puissent enfin, librement respirer.
La Joie est une attitude de l’âme. Aucun d’entre vous n’a jamais vu le noyau, l’essence de la Joie, car il n’est pas formé de matière solide et visible. Mais chacun peut ressentir la Joie. Il sait quand il en est comblé et ce que le corps ressent dans la Joie – {comme} un visage joyeux, des yeux brillants, un pas joyeux, le {fait de} chant{er}, la volonté d’aider, de servir, de tirer {spirituellement} profit, le fait d’essuyer une larme, de choyer là où cela est nécessaire – ce ne sont {là} que des effets d’un état de Joie.
La Joie est donc d’un genre plus fin, invisible, mais personne ne peut jamais la nier.
Le Miroir de Noël
Le Cadeau pour devenir digne de pouvoir adorer l’Enfant-Dieu
Conte de Noël 2025
La venue des Rois Mages pour adorer l’Enfant-Dieu lors de la Nativité est rapportée, dans l’Évangile uniquement par Matthieu (II, 1-2, 9-11) et est commémorée lors de la Fête de l’Épiphanie.
Notre histoire de Noël se concentre sur l’expérience vécue par un jeune compagnon du roi Gaspard lors du voyage vers la Crèche…
* * *
Le Roi Gaspard – dont le royaume se trouvait dans ce que l’on appelait alors l’Asie Mineure -, dans son atelier, regardait intensément sa boule de cristal et ce qu’il y voyait était de nature à grandement le réjouir…
Son jeune assistant – Benjamin – se tenait à côté de lui, il regardait aussi la boule, mais n’y voyait rien. Il attendait patiemment ce que son maître voudrait éventuellement bien lui partager…
Rêveur, en tirant sur sa longue barbe grisonnante, au bout d’un moment, Gaspard dit enfin:
– Cela me rappelle l’époque lointaine où je servais un Prince de Lumière. De nouveau, un Envoyé de la Lumière va venir sur la Terre… C’est imminent… Une question de mois… Il est temps de partir…
– Tu vas partir, Maître?, questionna aussitôt Benjamin. Puis-je venir avec Toi? Vas-Tu m’emmener?
– Ça je ne sais pas encore, répondit Gaspard. Cela va dépendre…
– Dépendre … de quoi?
– Dépendre … de Toi!
– De moi? Pourquoi donc? Que dois-je faire?
– Tu dois Te rendre digne de Celui que je vais adorer…
– Dois-je Lui faire un Cadeau?
– Moi je dois Lui faire un Cadeau. Toi, si Tu veux venir, Tu dois non pas donner mais recevoir un Cadeau! Un Cadeau … de la Lumière!
– Moi recevoir un Cadeau de la Lumière! Et pour quelle raison aurais-je mérité un tel Cadeau?
– Tu ne l’as pas encore mérité. Tu l’auras mérité seulement lorsque Tu T’en seras montré digne.
– Comment puis-je m’en montrer digne?
– En l’utilisant pour ta Transformation intérieure.
– Et comment cela doit-il se passer?
– Très simplement. Le Cadeau T’offre la Clef de la Transformation dans la matière grossière. Pour que Tu puisses en savoir davantage, Tu dois simplement accepter le Cadeau devant Te permettre de venir avec moi adorer l’Enfant-Dieu à naître. Une Étoile d’un genre spécial doit m’y conduire…
– Je veux venir avec Toi adorer Celui Qui doit venir. Je suis prêt à recevoir le Cadeau de la Lumière…
– Alors, agenouille-Toi devant l’Autel (dans l’atelier de Gaspard il y avait – dédié au DIEU Unique – un petit Autel orienté vers l’Est) et reçois-le!
Aussitôt, sans un mot, Benjamin s’agenouilla devant l’Autel.
– Ça y est, Tu l’as reçu!, confirma Gaspard.
Après un silence au cours duquel il semblait ressentir les premiers effets du Cadeau de la Lumière, Benjamin demanda:
– Et maintenant que va-t-il se passer?
– Tu vas bientôt l’expérimenter… Regarde-Toi devant le Miroir…
Dans sa pièce de travail Gaspard avait un grand miroir vertical permettant de se voir de pied en cap. Gaspard disait que – comme la boule de Cristal – cela l’aidait aussi à percevoir l’Au-delà…
Benjamin se regarda dans le Miroir… Il y vit son apparence habituelle…
Les êtres entéalliques parlent
Partie 1
Les êtres de la terre et du feu
Bartosz Mikołaj Ryszka
Tobiasz Adam Ryszka
Nous avons déjà vu que « Les arbres parlent ». Cette fois-ci, grâce aux mêmes intermédiaires clairaudients – Tobiasz et Bartosz -, nous découvrons que les êtres de la Nature – appelés êtres entéalliques -, eux aussi, parlent et, à l’occasion, aussi aux êtres humains. Que nous disent-ils? A découvrir ci-dessous…
Table des matières
Introduction.
1.1. Préface de Tobiasz.
1.2. Préface de Bartosz.
Les Êtres de la Terre.
2.1. Premier Contact avec les Gnomes.
2.2. Deuxième Conversation.
2.3. Iljan.
2.4. Aljan.
2.5. Questions et Réflexions.
2.6. Réunions des Familles de Gnomes.
2.7. Le Gnome de la Terre.
2.8. Le Gardien Sectoriel du Gnome de la Terre.
2.9. Les Gardiens des Espèces de Gnomes.
2.10. Le Départ des Gnomes de la Matérialité Grossière et Fine.
2.11. L’Apparence des Gnomes.
2.12. Message du Gardien des Mines.
2.13. Capacités et Dons des Gnomes.
2.14. Les Lois des Gnomes.
2.15. Le Travail des Pierres et Minéraux.
2.16. La Puissance de Soutien des Cristaux et des Gnomes.
2.17. Irmin.
2.18. Autres Capacités des Gnomes.
2.19. La Loi de l’Invariabilité des Espèces.
L’hypocrisie
« L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu. »
– François de La Rochefoucauld –
Qu’est-ce que l’hypocrisie?
L’hypocrisie consiste à faire semblant. Autrement dit à essayer de faire croire à autrui l’existence de quelque chose, qui, en réalité, n’existe pas. Et, en général, il s’agit surtout de faire croire à autrui que l’on possède des vertus, des qualités, des facultés ou des capacités qu’en réalité l’on ne possède pas. De nombreux êtres humains, très souvent, vivent dans l’hypocrisie ou l’hypocrite tromperie de soi-même. De façon générale, sachant que « Le peuple est en haut, la foule est en bas » (Victor Hugo), les masses humaines sont généralement hypocrites.
Le mot « pharisiens » est devenue synonyme d’hypocrites mais aussi d’orgueil, de malice, voire de perfidie. Qu’est-ce qui pousse à se montrer hypocrite? Certes l’orgueil, la présomption consistant à croire ou à faire croire que l’on peut réaliser des tâches qu’en réalité l’on n’est pas capable d’accomplir, la prétention consistant à s’imaginer devoir recevoir des hommages ou des rétributions qui, en réalité, ne sont pas dus, mais principalement la vanité consistant à vouloir avoir l’air de plus que ce que l’on est et aimant la flatterie.
A l’inverse existent la modestie consistant à avoir une petite conception de soi-même et de ses besoins et, en conséquence, à se contenter de peu, et l’humilité consistant à reconnaître sa petitesse face au Créateur et à la Création. Seuls l’orgueilleux, le présomptueux, le prétentieux et le vaniteux peuvent se montrer hypocrites. La diplomatie elle-même n’est trop souvent qu’hypocrisie et fausseté.
En examinant avec sérieux les actes des êtres humains en relation avec leurs intentions, il est trop souvent possible de trouver, chez maint être humain, derrière un masque hypocrite, leur vrai visage qui, parfois, ne peut susciter que dégoût et tristesse, surtout pour ceux qui, de la part de leurs prochains, s’étaient imaginé tout autre chose!
Les arbres parlent
1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.
Matière grossière et matière fine
Matière grossière et matière fine, ce sont deux expressions fondamentales pour désigner les deux genres fondamentaux de la matière ainsi que les adjectifs et adverbes corrélés «gros-matériel» et «fin-matériel», «gros-matériellement» et «fin-matériellement».
De haut en bas, la matière grossière se subdivise en trois parties matière grossière fine, moyenne et lourde et la matière fine en matière fine fine, moyenne et grossière.
Alphonse de Lamartine
Extrait des « Harmonies poétiques et religieuses » (1830)
Ô Père qu’adore mon père!
Toi qu’on ne nomme qu’à genoux!
Toi, dont le Nom terrible et doux
Fait courber le front de ma mère!
On dit que ce brillant Soleil
N’est qu’un jouet de Ta puissance;
Que sous Tes pieds il se balance
Comme une lampe de vermeil.
On dit que c’est Toi qui fais naître
Les petits oiseaux dans les champs,
Et qui donne aux petits enfants
Une âme aussi pour te connaître!
On dit que c’est Toi qui produis
Les fleurs dont le jardin se pare,
Et que, sans Toi, toujours avare,
Le verger n’aurait point de fruits.
Le Grand Virage
(…) La disparition rapide de tous sens moral, à tous les niveaux de l’échelle sociale, affecte de plus en plus profondément tous les domaines de l’existence, pendant que se profile distinctement à l’horizon le spectre de l’holocauste nucléaire final: le crime de lèse-humanité!
Les raisons de ce très inquiétant état de décadence de nos sociétés se trouvent, pour une grande part, dans les idées que les hommes se font de l’Univers, de ses Lois et du rôle que joue l’homme sur la scène du monde. Les idées que nous nous faisons sur le monde et sur la vie sont en effet d’une importance capitale. Car c’est en fonction de nos conceptions que nous décidons de nos comportements. Ce sont nos conceptions qui déterminent nos actes. Ce sont les opinions auxquelles nous adhérons qui fixent notre but dans l’existence, et ce sont ces opinions qui nous orientent vers le but que nous nous sommes fixés. Pour les collectivités, comme pour les individus, c’est leur vision du monde, leur «Weltanschauung» [1], qui détermine la voie à suivre, les devoirs à accomplir, les règles à respecter.
Croire, comme la plupart des matérialistes, que les événements mondiaux n’ont d’autres causes qu’économiques et sociales, c’est faire preuve d’une affligeante myopie, d’une irrémédiable obnubilation intellectuelle. Car, en réalité, derrière la fantastique bousculade des événements mondiaux, qui se joue sur l’avant-scène de l’actualité, se déroule un grand drame spirituel, une évolution tragique du genre humain.
Qu’on le veuille ou non, ce sont les idées qui mènent le monde; ce sont les conceptions que les hommes se font de la vie et du monde. Car les pensées, les paroles et les actes de tout être humain dépendent de ses conceptions personnelles, ou de celles qui lui ont été inculquées. Elles sont déterminées, et même conditionnées par les conceptions qu’il a faites siennes. TANT VAUT L’IDÉAL, TANT VAUT DONC L’HOMME.
Car, enfin, il faut être logique! Si la vie n’existe qu’entre le berceau et la tombe, quelles raisons aurions-nous de maîtriser nos instincts et nos appétits de jouissance? Pourquoi ne pas plutôt chercher à les satisfaire à tout prix, en veillant seulement à ne pas entrer en conflits avec les lois humaines, puisqu’il n’en existe pas d’autres? Si l’être humain ne fait qu’apparaître et disparaître en ce bas (très bas!) monde, quel intérêt a-t-il à s’y bien conduire puisque, dans la mesure où il ne se fera pas pincer par la justice des hommes, il n’aura de compte à rendre à personne, lorsqu’il aura cessé d’être? «Si Dieu n’existe pas, tout est permis!», s’écriait Dostoïevski.
Si tout finit dans le tombeau, l’homme moderne n’a aucun intérêt à chercher à dominer ses instincts. À l’exception des lois humaines, rien ne peut le retenir. Pour le myope qu’il est devenu, le bien et le mal n’existent plus, le juste et l’injuste se confondent. Ce ne sont, déclare-t-il, que des notions relatives. En une définition parfaitement limpide, le prix Nobel Alexis Carrel avait pourtant fait justement observer que: «Le Bien, c’est tout ce qui concourt à l’épanouissement de la Vie. Tandis que le Mal, c’est tout ce qui s’y oppose.».
Le Notre Père expliqué par Martin Luther
« Notre Père Qui est aux Cieux »
Quel est le Sens de cette Parole?
Dieu nous convie à croire qu’Il est vraiment notre Père, et que nous sommes vraiment ses enfants, afin qu’avec une confiance d’enfant nous lui adressions nos Prières comme à notre Père bien-aimé.
Commentaire: Nous sommes pleinement d’accord avec cette interprétation de la première Parole du Notre Père rappelant le Premier Commandement: « Je suis le Seigneur, Ton Dieu, Tu ne dois pas avoir d’autres dieux devant Ma Face ». En s’adressant à Dieu et en L’appelant « Notre Père » l’être humain reconnaît Dieu non seulement comme son propre Père mais aussi comme le Père de tous les autres êtres humains se reconnaissant aussi comme Ses enfants.
« Que Ton Nom soit sanctifié »
Quel est le Sens de cette Parole?
Le Nom de Dieu est Saint par Lui-même; mais nous demandons qu’Il soit aussi sanctifié parmi nous.
Que faut-il pour que le Nom de Dieu soit sanctifié parmi nous?
Il faut que la Parole de Dieu soit fidèlement enseignée, dans toute sa Pureté, et que nous vivions saintement, comme des Enfants de Dieu. Que notre Père céleste nous accorde cette Grâce!
Mais quiconque enseigne ou vit autrement, déshonore parmi nous le Nom de Dieu. Que notre Père céleste nous en préserve!
Commentaire: C’est effectivement à l’être humain de sanctifier le Nom de Dieu par son comportement et en particulier par son langage: Cette deuxième Parole du Notre Père rappelle, en effet, le Deuxième Commandement: « Tu ne dois pas prononcer le Nom de Dieu en vain. ». Il ne s’agit donc pas seulement de demander à Dieu que Son Nom Sacré soit aussi sanctifié par nous mais bien de Le sanctifier nous-mêmes!
« Que Ton Règne vienne »
Quel est le Sens de cette Parole?
Le Règne de Dieu s’établit de lui-même dans le Monde, et sans le secours de nos Prières; mais nous demandons qu’il s’établisse aussi en nous.
Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous?
Il faut que le Père céleste nous donne Son Saint Esprit, pour croire, par Sa Grâce, à Sa Parole, et pour vivre saintement dans le temps et dans l’éternité.
Commentaire: Le Règne de Dieu peut-il s’établir « tout seul » sans la participation des êtres humains? Déjà cela pose question: Jésus aurait-Il, dans la Prière du Notre Père donnée par Lui aux êtres humains, incité les êtres humains à prier pour la Venue du Règne de Dieu sur la Terre ainsi qu’il existe déjà dans le Ciel si l’instauration de celui-ci avait été automatique?
A la question « Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous? » Martin Luther répond: « Il faut que le Père Céleste nous donne Son Saint Esprit ». Nous considérons, pour notre part, que nous n’avons pas à dire au Père Céleste ce qu’Il doit faire. Dans Son Omnisagesse Il le sait infiniment lieux que nous! Pour ce qui est de « vivre saintement » nous avons déjà vu, par le passé, que la sainteté n’est pas un mérite pouvant s’acquérir, de sorte que le « culte des saints » n’est pas justifié et que Dieu Seul est Saint.
"L'être humain face à son destin" Testament de Heiligenstadt Pour tous ceux qui souffrent, pour tous ceux qui luttent, pour…
La Maison de l'esprit ceux qui y habitent Comme le décrit si merveilleusement ce texte, que de grâces, que de…
Le Chemin propre De nombreuses leçons très bénéfiques à tirer de cet article inspirant!
La Maison de l’Esprit – Ceux qui y habitent Grand merci à l'auteur de cet article ayant une bonne résonance…
C'est la mendiante qui a le plus d'autorité spirituelle, car c'est par son intermédiaire que le Roi peut recevoir sa…
"L'Idéal" De même que nous entendons l'expression "chacun sa vérité", de même nous entendons l'expression "chacun son idéal". Par l'énoncé…
"La Guidance" L'être humain qui souhaite réellement se départir de ses défauts doit faire preuve d'un fort désir d'être aidé…
Voir aussi: https://ecoledelartdevivre.net/pourquoi-le-tombeau-de-jesus-etait-il-vide/
"Vivre libre sans démons ni fantômes" Puisse le Pardon imprégner peu à peu notre conscience spirituelle, afin qu'il devienne pour…
"L'Essence de la chevalerie" Si L'Essence de la chevalerie d'une certaine époque pouvait habiter un tant soi peu le bon…