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Parabole

Parabole

Parabole

Par Salem YAHI

« Le monde est une parabole, une énigme.
Et la multitude voit, et la foule entend; mais en vain. »
– Alexandra David-Neel –

La parabole est un élément spécifique de l’art du bien parler (la réthorique), souvent elle se présente sous la forme d’une courte histoire basée sur des situations du quotidien qui imagent un enseignement, une morale ou une doctrine. Elle s’intercale, semblable à une analogie, entre un récit imagé et un discours ordonné. La parabole porte une vertu pédagogique: celle de rendre concret une idée ou une notion, tandis que la parole use du langage dans un contexte déterminé. Le mot parole est la contraction étymologique du mot parabole, issu du latin parabola, lui-même emprunté au grec ancien parabolḗ / παραϐολή, qui signifie: rapprochement, juxtaposition, comparaison mais surtout illustration.
Le texte qui suit traite de la dimension cachée de la parabole, en fait de son sens spirituel. Ce texte va s’appuyer sur le livre de la Bible des Ancien et Nouveau Testaments d’une part, et, sur les résultats obtenus à partir de la matrice de calcul réalisée par un auteur français Lucien Siffrid date de 1930, d’autre part. Elle croise les nombres de 1 à 9 avec trois paramètres qui sont: l’Esprit, l’Humain et les Ténèbres. Les résultats obtenus ouvrent de vastes perspectives spirituelles.
Il est vain pour l’intelligence de chercher à percer le sens que renferme une parabole. Certes, elle peut saisir la substance des mots, mais elle ne peut parvenir à en recueillir l’essence. La recherche des réponses aux rébus, charades et autres devinettes fait appel aux capacités intellectuelles telles que: l’intelligence, la mémoire et la culture. Mais, lorsqu’il s’agit de saisir la profondeur des paraboles, à l’exemple de celles de la Bible, l’intellect n’y suffit vraiment pas. Une ressource bien plus élevée s’avère indispensable: l’intuition, que le philosophe français Bergson (1859-1941) avait baptisé l’“élan vital”. Assurément, c’est elle l’outil de perception du réel au-delà du réel. Dans les livres saints, la parabole se présente sous la forme d’un récit symbolique qui contient un enseignement spirituel, un récit… au-delà du réel. Au cours de son Ministère, le Christ l’utilisa souvent pour apporter une nourriture spirituelle aux esprits humains nostalgiques de leur origine mais aussi pour exercer un tri: Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a. C’est pourquoi Je leur parle en paraboles, parce qu’en voyant ils ne voient point, et qu’en entendant ils n’entendent ni ne comprennent.

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Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

Peut-on souffrir injustement?

La présence d’un esprit humain sur la Terre en notre époque, toujours plus agitée et incertaine, comporte certains risques. Mais, à chaque fois qu’une catastrophe s’abat sur un ou plusieurs êtres humains, l’on entend divers propos qui témoignent que la fatalité s’est abattue sur des victimes « innocentes ». Les maladies elles-mêmes – même les maladies génétiques – sont considérées par presque tous les media comme dues au hasard.
Dans les divers Enseignements Spirituels l’on trouve des passages qui donnent l’impression que l’injustice est impossible et d’autres qui donnent l’impression qu’elle ne l’est pas. Tous les propos des différents Enseignements se « nuancent » ainsi eux-mêmes.
Dans la Bible, par exemple sur quantité de questions, l’on peut facilement trouver des Paroles qui semblent justifier un point de vue, tandis qu’un autre trouvera d’autres Paroles semblant justifier le point de vue inverse.
Ceci nous montre que la Vérité n’est jamais incluse en une seule formulation, même dans la Bible ou d’autres Enseignements Spirituels, et que l’on peut aussi y trouver des « contradictions » apparentes qui, en fait, n’en sont pas! Ainsi, du reste, que dans les œuvres de nombreux autres auteurs secondaires.
En cette fin de cycle la destruction à attendre risque de toucher aussi au passage ceux qui ne sont pour autant pas foncièrement mauvais. Mais cela n’est pas injuste pour autant, car ceux qui sont aussi secondairement touchés ont quand même de rares genres semblables avec les êtres humains pouvant être considérés comme les auteurs de la débâcle.

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Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ

Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas du tout le cas.
La première, c’était la Parole prononcée par Jésus, le soir du Jeudi-Saint, lors de Sa première agonie au Jardin des Oliviers à Gethsémani, lorsqu’Il a dit à Son Père: « Père, s’il est possible, que ce calice s’éloigne de moi » (Matthieu XXVI, 39). Il parlait, bien sûr, du calice de douleurs qui L’attendait, s’Il Se laissait arrêter (jusque-là, malgré diverses tentatives antérieures, personne n’avait jamais pu y parvenir!) le soir même, peu après par les sbires de Caïphe et les soldats envoyés pour cela.
Aurait-Il prononcé cette Parole si la crucifixion avait automatiquement fait partie de Sa Mission de Rédemption? Autrement dit, s’Il était venu sur Terre pour S’y faire crucifier? Bien évidemment, absolument pas! Cela montre bien, par conséquent, que s’Il avait pu l’éviter et quand même pleinement remplir Sa Mission, Il aurait grandement préféré éviter de devoir vivre l’épouvantablement – à tous points de vue – douloureuse passion.
La deuxième (dans l’ordre chronologique) Parole prononcée par Jésus qui nous permet d’être sûrs que la passion et la crucifixion n’étaient pas voulues ni de Dieu ni de Jésus c’est la Parole prononcée par Jésus sur la croix, lorsque, en parlant des êtres humains en général et de Ses bourreaux en particulier, Il dit: « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font! » (Luc XXIII, 34).
Cette Prière d’Intercession de Jésus à Son Père aurait-elle donc été sensée – ou même nécessaire – si la mort sur la croix avait été un sacrifice indispensable à la Réconciliation? Lorsque Jésus affirme « Ils ne savent pas ce qu’ils font! », cela indique clairement que « ce qu’ils font »  est non seulement un complet non-sens mais aussi un crime qualifié, un meurtre, un assassinat.
C’est bien la plus grande Accusation qui puisse se concevoir. L’incontestable Indication que « ce qu’ils font » est faux. Que cet acte n’était voulu ni de Dieu ni du Christ, ni de la Lumière, de façon générale. Par conséquent, un vulgaire crime envers le Plus-Saint qui, à cette époque, ait jamais foulé la Terre. Confronté à la haine des êtres humains dominés par les ténèbres, Jésus avait Lui-même pressenti et annoncé cette catastrophe spirituelle avec Sa Parabole des vignerons homicides.

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Le dolorisme

Le dolorisme

Le dolorisme

C’est quoi, le dolorisme?
Le dolorisme est une possible appellation pour exprimer la doctrine de la souffrance.
Plus précisément le dolorisme une doctrine de portée principalement spirituelle ou religieuse exaltant la douleur physique, comme si elle était porteuse d’une valeur intrinsèque, en lui attribuant même une valeur spirituelle ou morale. Il s’agit, en fait, d’un véritable culte de la douleur pour elle-même. Un adepte d’un tel culte de la douleur, d’un point de vue philosophique, peut donc être appelé doloriste.
D’un point de vue plus courant, un doloriste peut tout simplement être appelé un martyr volontaire ou un fanatique religieux. Quant à eux, Les mots «dolorisme» et «doloriste» sont, tout simplement, des mots savants façonnés au début du XXème siècle à partir du nom latin «dŏlŏr», génitif «dolōris», signifiant «douleur physique, souffrance».
Cela se réfère, en particulier, déjà, à l’exaltation de la souffrance de Jésus sur la croix. Souvent l’accompagne la fausse imagination que les bons Chrétiens pourraient devenir «co-rédempteurs», c’est-à-dire participer à la Rédemption effectuée par Jésus (quelle présomption!) en « offrant » leurs souffrances à Dieu, comme s’il était possible de les monnayer et comme si Dieu pouvait en faire quelque chose!
C’est ainsi que le jeune Guy de Fongalland – reconnu par l’église comme « Serviteur de Dieu » – « offrait, chaque jour, de petits sacrifices à Jésus, pour Lui faire plaisir ». Parmi ce genre de « sacrifices » l’on raconte, par exemple, qu’il mettait volontairement des cailloux dans ses chaussures, même si ses pieds devaient en saigner, afin de « souffrir pour Jésus » et ainsi – croyait-il – – en vertu de la «communion des saints» – participer à «racheter les péchés des âmes du purgatoire»…
Le faux sens donné aux souffrances infligées au Christ
Il est clair que Jésus a pleinement accepté de souffrir sur la croix comme une condition inévitable de l’accomplissement de Sa Mission, mais cela voulait-il dire pour autant qu’Il voulait être crucifié? Absolument pas! Deux Paroles prononcées par Lui et rapportées par les Évangiles nous permet d’être convaincus que ce n’était pas le cas.
Afin de ne pas trop rallonger le présent article, ce chapitre du faux sens généralement attribué aux souffrances délibérément infligées à Jésus lors de la passion, est développé sur cette page.
Dieu aimerait-Il voir Ses créatures souffrir?
L’idée sous-jacente c’est que Dieu apprécierait – voire Se réjouirait de – la douleur de Ses créatures. Pourtant, c’est une idée insensée! Dieu ne veut pas de souffrance pour Son Peuple! Sinon, Il ne serait pas Dieu! C’est-à-dire Pureté, Amour et Justice! Quel « Dieu » serait-ce là? Au contraire, Dieu veut que l’être humain soit heureux dans le sens le plus vrai. Le Secret pour une juste appréciation de la Perfection Divine?: Accorder à Dieu l’Honneur de la Perfection!
Dolorisme et Rédemption
Alors, comment une idée aussi fausse que la supposée réjouissance de Dieu au vu de la souffrance humaine a-t-elle pu naître et se développer? Il semble que cette conception doloriste en vogue (de moins en moins quand même, en notre époque particulièrement hédoniste!) chez les croyants les plus dogmatiques soit intimement liée à la fausse conception au sujet de la Mission de Rédemption du Fils de Dieu Jésus.
En effet, pour tous ceux qui croient – et ils sont nombreux! – que la Mission de Rédemption de Jésus résidait dans Sa mort martyrisante sur la croix plutôt que dans Son Enseignement montrant aux êtres humains égarés le Chemin de la Lumière, il y a une certaine logique à penser que la souffrance pourrait avoir une valeur devant Dieu.
Le sophisme (faux raisonnement) pour parvenir à une telle conception est le suivant: Les êtres humains ont péché et Dieu exige une expiation. Mais, comme Son Amour est infini, Il décide de ne pas exiger une expiation de la part des pécheurs. Il préfère que, à la place des coupables, elle soit subie par le plus Innocent qui soit: Son propre Fils, Incarnation de l’Amour! Et ainsi – croit-on – Sa Justice sera satisfaite!
Ceux qui, pour leurs vaines tentatives d’auto-disculpation, pensent cela oublient juste de considérer que s’il est parfaitement exact de dire que Dieu est l’Amour, il ne doit pas être oublié qu’il est tout autant la Justice et aussi la Pureté. Et que la Base de l’Amour c’est la Justice, de même que la Base de la Justice c’est l’Amour! Les deux et même les trois sont tout à fait inséparables!
La théorie de la Rédemption-expiation et les Évangiles
Il est, toutefois, à noter que cette fausse théorie de la Rédemption basée sur le sacrifice de la croix s’appuie sur certains passages des Évangiles, par exemple: «Car le Fils de l’Homme est venu (…) pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de plusieurs.»  (Marc X, 45). Il s’agit, bien sûr, d’une Parole de Jésus, rapportée par Marc. Mais l’on trouve à peu près la même chose dans Matthieu:
« C’est ainsi que le Fils de l’Homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner Sa Vie comme la rançon de beaucoup. » (Matthieu XX, 28).
Alors, questions: Jésus a-t-Il vraiment dit exactement cela? Comment comprendre cette Parole? Cela a-t-il le sens que veulent lui donner les partisans du rachat des péchés des êtres humains effectué, à leur place, par Jésus sur la croix? Ou bien cela peut-il être compris autrement?

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Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

Le Renouvellement de la Force

La Pentecôte
Toute la Création dépend de la Force! Ce n’est rien de le dire, mais si, une seule fois, Dieu – ainsi qu’Il le fait, chaque année – ne renouvelait pas la Force, alors ce serait le commencement de la fin… Tout commencerait lentement à se flétrir, à dépérir et à décrépir, parce qu’il n’existe aucune créature qui ne dépende de la Force. Et avoir la Force ou pas, tout est là! Sans la Force impossible de vivre!
Même dans la Sphère Divine existent des êtres nés de l’Irradiation Divine et qui, eux aussi – bien que n’étant pas des créatures -, depuis toujours et pour toujours, dépendent de Sa Force. C’est, par exemple, le cas des Archanges, des Anges et des Plus-Anciens mentionnés dans l’Apocalypse de Jean. Sur la Terre tout être humain peut observer que, de l’humain au végétal, en passant par l’animal, jusqu’à chaque brin d’herbe s’efforce de s’élever vers la Lumière.

Pentecôte
Entropie et néguentropie
L’entropie est un concept scientifique permettant de comprendre que sans la Force tout est voué à disparition. En fait, l’entropie c’est juste la mort!

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Le culte des « saints »

Le culte des « saints »

Le culte des « saints »

Déjà, nous nous sommes intéressés au culte de Marie de Nazareth – la « Vierge Marie » -, la mère terrestre du Sauveur, pour essayer de savoir si, en fonction des Paroles de Jésus et des Lois de Dieu, ce culte, essentiellement pratiqué dans l’église catholique, était spirituellement justifié. Nous avons vu que la réponse est clairement non. Un tel culte n’est pas conforme à la Volonté Divine.
Alors, qu’en est-il du « culte des saints », de façon générale? Bien évidemment, toujours en fonction des Lois Divines et des Paroles de Jésus, un tel culte n’est pas davantage justifié, et, en fait, même encore moins.
Les théologiens de l’église catholique ont, à ce sujet, inventé des gradations:
« Le culte de dulie est, pour l’Église catholique, le culte réservé aux saints et bienheureux, par opposition au culte de latrie, réservé à Dieu et à chaque personne de la Trinité.
Il existe également le culte d’hyperdulie, réservé à la Vierge Marie et, moins fréquemment, celui de protodulie, réservé à Joseph.
C’est le concile de Trente qui a déterminé la distinction entre culte de latrie et culte de dulie, face à la réaction protestante contre ce qu’elle considérait [NDLR: avec raison!] {être} de l’idolâtrie. » (Source)
Ces distinctions savantes sont restées l’apanage des théologiens et ne sont donc pas passées dans le langage courant, de sorte que très peu de Chrétiens connaissent ces mots savants.
La création ou l’utilisation de tels mots savants peut certes servir à établir des distinctions intellectuellement clarifiantes, mais qui, du point de vue de l’Intuition, apporte, en fait, davantage de confusion que de clarté.
Chaque être humain, encore digne de cette appellation, possède, dans son for intérieur, un Autel dédié à l’Adoration de son Dieu. Cet Autel c’est sa faculté d’Intuition personnelle. Et l’Intuition de chaque être humain sait parfaitement vers Qui doit exclusivement se tourner son besoin d’Adoration, en fonction du Premier Commandement.

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L’Ascension

L’Ascension

L’Ascension

Chaque année, le Jeudi de l’Ascension, nous commémorons et fêtons … l’Ascension de Jésus.

La Fête de l’Ascension – qui est une Fête mobile, « tombe » toujours un Jeudi, parce que l’Ascension a toujours lieu exactement 40 jours après Pâques – qui est aussi une Fête mobile (fixée en fonction du calendrier lunaire) – et qui, bien sûr, a tours lieu un Dimanche … le Dimanche de la Résurrection!

Les Rogations
En fait, la Célébration de la Fête de l’Ascension commence trois jours plus tôt, avec les Rogations (37ème, 38ème et 39ème jours après Pâques). Le mot « Rogations » vient du verbe latin « rogare » qui signifie  «demander». Demander quoi? Eh bien, c’est une époque de l’année appropriée pour demander la protection des cultures et de bonnes récoltes, car l’Évangile du Dimanche précédent comprend la Parole: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.» (Jean XV, 7).
Quoi que les Rogations – notamment à cette époque de l’année – ne soient, pour les catholiques, plus systématiques depuis le Concile Vatican II, il est à remarquer que, trop souvent, l’attention des êtres humains s’est portée sur la deuxième partie de la Phrase, sans trop prêter attention à la première partie, qui est pourtant la condition de la deuxième. Pourtant, tous devraient savoir que « Tout ce qui est unilatéral est malsain. »!
A quel moment l’Ascension a-t-elle eu lieu?
Après Pâques, certes, mais pourquoi exactement 40 jours plus tard? Après Sa Résurrection, le Matin de Pâques, Jésus devait attendre que la Porte du Ciel soit ouverte – ce qui n’a lieu qu’une fois par an – pour pouvoir ré-intégrer Sa Place, à la Droite de Dieu.
L’Ascension est donc célébrée au quarantième jour à partir de Pâques, il s’agit d’une Fête mobile, dont la date est fonction du calcul de la date de Pâques et elle est donc, de façon générale, différente entre le calendrier liturgique catholique et le calendrier liturgique orthodoxe.
Cette Fête de l’Ascension est aussi la dernière des cinq Fêtes cardinales de l’année liturgique catholique. Et, bien sûr, elle tombe toujours un Jeudi (ce qui, en fait, ipso facto le 40ème jour à partir du Dimanche de Pâques), soit entre le 30 avril et le 3 juin inclus pour les Églises occidentales et entre le 13 mai et le 16 juin pour les Églises orthodoxes.

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Le culte de Marie

Le culte de Marie

Le culte de Marie

Beaucoup de Chrétiens papistes vouent un culte à Marie de Nazareth, la mère terrestre de Jésus. Vis à vis des Lois et de la Volonté Divine (exprimée par ces Lois) ce culte est-il spirituellement justifié?
Pour ce qui est de la définition, dans Wikipédia il est possible de lire:
« Le culte de Marie ou culte marial ou la dévotion mariale est la vénération que les catholiques et les orthodoxes portent à Marie, mère de Jésus. Dans les traditions catholique et orthodoxe, ce culte est appelé «hyperdulie» selon la définition qu’en a donnée le concile de Trente au XVIe siècle. Le protestantisme, pour sa part, respecte Marie pour son exemplarité, mais ne lui voue pas de culte particulier. » (Source)
« Il semble que Marie n’a fait l’objet d’aucune dévotion particulière dans les débuts du christianisme. Le culte marial se développe à partir des IIIe siècle en Orient et Ve siècle en Occident, particulièrement chez les ecclésiastiques, sans encore toucher le peuple préférant vénérer les reliques de saints locaux. » (…) (Source)
« Les Églises issues de la Réforme protestante ont, quant à elles abandonné le culte marial dès le XVIe siècle, en même temps que le culte des saints. » (Source)
Il est clair que ni dans les Évangiles ni dans Le Livre de Jésus l’on ne trouve de Paroles de Jésus incitant au – ou même seulement justifiant – le culte de Marie de Nazareth, Sa mère terrestre. Si Jésus avait voulu qu’un tel culte soit rendu à Sa mère terrestre, Il n’aurait pas manqué de le faire savoir.

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