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Le Seigneur conclut une Alliance avec Abraham

Le Seigneur conclut une Alliance avec Abraham

Le Seigneur conclut une Alliance avec Abraham

Voici un Passage du Livre de la Genèse plutôt énigmatique:

« En ces jours-là,
le Seigneur parla à Abraham dans une Vision.

Il le fit sortir et lui dit:
«Regarde le Ciel,
et compte les étoiles, si Tu le peux…»

Et Il déclara:
«Telle sera Ta descendance!».

Abram eut Foi dans le Seigneur
et le Seigneur estima qu’il était juste.

Puis Il dit:
«Je suis le Seigneur,
qui T’ai fait sortir d’Our en Chaldée
pour Te donner ce pays en héritage.»

Abram répondit:
«Seigneur mon Dieu, comment vais-je savoir
que je l’ai en héritage?»

Le Seigneur lui dit:

«Prends-moi une génisse de trois ans,
une chèvre de trois ans,
un bélier de trois ans,
une tourterelle et une jeune colombe.»

Abram prit tous ces animaux,
les partagea en deux,
et plaça chaque moitié en face de l’autre;
mais il ne partagea pas les oiseaux.

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La dernière chance

La dernière chance

La dernière chance

Souvent l’on voit des catastrophes – tempêtes, tornades, éruptions volcaniques, tremblements de terre, raz-de-marées, glissements de terrain, etc. qui s’abattent sur de pauvres gens « à l’autre bout du monde » et l’on peut se poser la question « Quel karma avaient-ils? » ou bien « Qu’ont-ils fait pour mériter cela? Étaient-ils pires que nous? ».

Un épisode de l’Évangile de Luc nous permet de répondre à cette question, c’est celui du massacre des Galiléens par Pilate et de l’effondrement de la Tour de Siloé:

« 01 À ce moment, des gens qui se trouvaient là rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
02 Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort?
03 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!
04 Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem?
05 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!».

Puis, « dans la foulée », l’Évangéliste enchaîne avec la Parabole du figuier:

« 06 Jésus dit encore cette Parabole: «Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.
07 Il dit alors à son vigneron: “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol?”.
08 Mais le vigneron lui répondit: “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.
09 Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, Tu le couperas.”». (Luc XIII, 1-9.)

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La Parabole du Bon Samaritain

La Parabole du Bon Samaritain

La Parabole du Bon Samaritain

Lorsqu’un malheur arrive à un prochain, nombreux sont ceux qui pensent que c’est à cause de son karma ou qu’il a manqué de vigilance.

Il est dit, toutefois, que nous serons jugés sur l’Amour. Or Jésus était l’Incarnation de l’Amour.

Si l’on considère la Parabole du Bon Samaritain, donnée par Jésus:

« 25 Un docteur de la loi se leva et dit à Jésus pour le mettre à l’épreuve: «Maître, que dois-je faire pour hériter de la Vie éternelle?» 26 Jésus lui dit: «Qu’est-il écrit dans la Loi? Qu’y lis-Tu?» 27. Il répondit: «Tu aimeras le Seigneur, Ton Dieu, de tout Ton cœur, de toute Ton âme, de toute Ta force et de toute Ta pensée, et Ton prochain comme Toi-même.». 28 «Tu as bien répondu», lui dit Jésus. «Fais cela et Tu vivras.». 29 Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: «Et qui est mon prochain?». 30 Jésus reprit la parole et dit: «Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba entre les mains de brigands qui le dépouillèrent, le rouèrent de coups et s’en allèrent en le laissant à moitié mort. 31 Un prêtre qui, par hasard, descendait par le même chemin vit cet homme et passa à distance. 32 De même aussi un Lévite arriva à cet endroit; il le vit et passa à distance. 33 Mais un Samaritain qui voyageait arriva près de lui et fut rempli de compassion lorsqu’il le vit. 34 Il s’approcha et banda ses plaies en y versant de l’huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. 35 Le lendemain, [à son départ,] il sortit deux pièces d’argent, les donna à l’aubergiste et dit: ‘Prends soin de lui, et ce que Tu dépenseras en plus, je Te le rendrai à mon retour.’. 36 Lequel de ces trois Te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?»] 37 «C’est celui qui a agi avec bonté envers lui», répondit le docteur de la Loi. Jésus lui dit [donc]: «Va et agis de la même manière, Toi aussi.». » (Luc X, 25 – Traduction de Louis Segond).

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Lorsque le Jugement arrive…

Lorsque le Jugement arrive…

Lorsque le Jugement arrive…

« Mene, mene, teqel, upharsin »

מנא מנא תקל ופרסין

Lorsque le Jugement de Dieu arrive, il est extrêmement subit! Dans la Bible, un épisode du Livre de Daniel en donne une bonne illustration…

Le contexte: Le peuple juif est en exil à Babylone. Parmi eux, le Prophète Daniel. Le roi régnant de l’époque est Balthasar, le fils de Nabuchodonosor, celui qui a vaincu les Juifs, détruit le premier Temple, et emmené les Juifs survivants en esclavage à Babylone, mais son temps est désormais étroitement compté!:

Voici l’histoire:
« Mané, Thécel, Pharès » ou, selon la formulation complète, « mene, mene, teqel, upharsin » (en hébreu: « מנא מנא תקל ופרסין »), est une expression dont les lettres apparaissent sur un mur dans le chapitre 5 du Livre de Daniel, lors du festin de Balthazar. Cette inscription d’origine surnaturelle prédit la chute de Babylone.
Dans le Livre de Daniel, le roi Balthazar (ou Belshazzar) de Babylone durant un banquet arrosé, ordonne que l’on apporte les coupes d’or rapportées du Temple de Salomon à Jérusalem par son prédécesseur Nabuchodonosor II. Utilisant cette argenterie sacrée, le roi et sa cour se mirent à louer les dieux d’or, d’argent, de bronze, de fer, de bois et de pierre. Immédiatement, apparurent les doigts d’une main d’homme, et ils écrivirent sur les murs du palais royal les mots מנא, מנא, תקל, ופרסין » » (« Mene, Mene, Tekel u-Pharsin »). Les versions françaises les traduisent par: «Il a été compté: une mine, un sicle et deux demi-sicles» ou «Compté, compté, pesé, et divisé.». La mine et le sicle sont en araméen le nom de devises: « MENE », une mine, « TEKEL », une graphie de shekel ou sicle, « PERES », la moitié d’une mine.
Malgré de nombreuses demandes, aucun des conseillers ou magiciens du roi ne peut interpréter ce présage. Le roi envoya quérir Daniel, un juif exilé capturé par son père Nabuchodonosor et établi à l’époque comme «chef des mages, des magiciens, des astrologues et des devins». Refusant toute récompense, Daniel prévient le roi de son blasphème et déchiffre le texte…

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La Grande Pyramide révèle son Secret

La Grande Pyramide révèle son Secret

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– Extraits –

Considérations sur la Santé
«Le rythme de la vie du corps est troublé par une nourriture mal adaptée! Le sang devient impur, et circule mal dans les veines», tel était l’enseignement de Magog.
Les trois Initiés, capables de voir avec leurs yeux animiques, observaient des petits doigts qui travaillaient assidûment. Ils détachaient les fils presque invisibles dont était constitué le «ruban d’argent» reliant le corps gros-matériel au corps astral. C’étaient ces mêmes petits doigts des entéaux Manen qui avaient tissé autrefois ce lien fin-matériel.
Il y a deux sortes de Manen: Les grands et les petits. Tous portent de longues tuniques vert clair avec des capuchons blancs, serrés sous le menton par des lacets, pareils à ceux des enfants.
Les petits Manen mesurent à peine une cinquantaine de centimètres. Les autres, beaucoup plus grands, sont aussi présents lors de la mort physique d’un humain. Les petits détachent le ruban d’argent reliant le corps gros-matériel au corps astral, pendant que les grands dénouent le cordon de liaison entre le corps astral et l’âme.
Rien ne se noue ni ne se dénoue sans intermédiaire. Partout et au bon moment, des mains laborieuses s’activent pour faire le travail nécessaire.
«Tout ce qu’un être humain fait à autrui, créature humaine ou animale, que ce soit pour le Bien ou pour le mal, il ne le fait qu’à lui-même!»
«La souffrance éveille le cœur! Et les larmes du repentir lavent la faute!» – Thisbé -.
«Vis de telle sorte que nul ne souffre par Ta faute! Et vis de telle façon que nul ne pèche à cause de Toi!» – Thisbé –
«Les maladies surgissent lorsque l’esprit et le cerveau du corps physique ne collaborent plus l’un avec l’autre, mais quand ils agissent l’un contre l’autre.» (Sargon – Suprême-Grand-Prêtre de la Chaldée)
«Des maladies répugnantes, comme celles que Tu vois ici, ne peuvent se former que chez des gens négligents qui pèchent contre la Loi céleste. Le mal surgit lorsque la Foi pure se trouble.» (Sargon)
«Tout dans le monde a une odeur qui lui est propre. A plus forte raison chaque maladie, et surtout la mort. Avant que celle-ci n’ait lieu, une décomposition commence.»

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La touchante histoire d’Esther

La touchante histoire d’Esther

La touchante histoire d’Esther

L’histoire se déroule après la destruction du premier Temple de Jérusalem et l’exil à Babylone. Un demi-siècle environ après la victoire de Nabuchodonosor sur le Royaume d’Israël, son empire babylonien tombe, à son tour, aux mains de l’empereur Cyrus II de Perse. Bien que l’empereur Cyrus II ait autorisé le retour des Juifs en Judée (en l’an 538 avant J.-C.), beaucoup de Juifs ont continué à vivre en diaspora, dans l’empire perse. Le récit d’Esther se place à cette époque, à la cour du roi de Perse.

Livre d’Esther selon la traduction AELF

« 01 C’ÉTAIT AU TEMPS D’ASSUÉRUS – cet Assuérus qui régnait sur cent vingt-sept provinces, depuis l’Inde jusqu’à l’Éthiopie.
02 En ces jours-là, comme le roi Assuérus siégeait sur son trône royal, qui est à Suse-la-Citadelle,
03 la troisième année de son règne, il donna en sa présence un banquet pour tous ses princes et ses serviteurs, les chefs de l’armée de Perse et de Médie, les nobles et les gouverneurs des provinces.
04 Il voulait leur montrer la richesse de sa gloire royale et la splendeur de sa grande magnificence, pendant de longs jours – cent quatre-vingts jours durant.
05 Après cette période, pour toute la population de Suse-la-Citadelle, pour les gens importants comme pour les humbles, le roi donna un banquet de sept jours dans la cour du jardin du palais royal.
06 Des tentures blanches et violettes étaient attachées par des cordelières de lin et de pourpre à des anneaux d’argent et à des colonnes de marbre blanc. Pour le banquet, des lits d’or et d’argent étaient posés sur un pavement de porphyre, de marbre blanc, de nacre et de marbre noir.
07 On servait à boire dans des vases d’or de différentes formes, et le vin du roi était versé avec une libéralité royale.
08 La règle était de boire sans contrainte, car le roi avait ordonné à tous les maîtres d’hôtel de servir selon le bon plaisir de chacun.
09 La reine Vasti avait également organisé un banquet pour les femmes dans le palais du roi Assuérus.
10 Le septième jour, alors que le roi avait le cœur joyeux sous l’effet du vin, il donna l’ordre à Mehoumane, à Bizzeta, à Harbona, à Bigta, à Abagta, à Zétar, à Karkas – les sept eunuques qui étaient au service du roi Assuérus –
11 de faire venir devant le roi la reine Vasti, portant sa couronne royale, pour montrer sa beauté aux peuples et aux princes, car elle était agréable à voir.
12 Mais la reine Vasti refusa de venir selon l’ordre du roi transmis par les eunuques. Le roi en fut très irrité et sa colère s’enflamma.
13 Le roi s’adressa alors aux sages qui avaient la connaissance des temps, – car toute affaire royale devait aller devant les spécialistes de la loi et du droit.
14 Les plus proches étaient Karshena, Shétar, Admata, Tarshish, Mérès, Marsena, Memoukane, les sept chefs de Perse et de Médie qui voyaient la face du roi et siégeaient au premier rang du royaume. Il leur dit:
15 «Que faire, conformément à la loi, pour punir la reine Vasti de n’avoir pas obéi à l’ordre d’Assuérus transmis par les eunuques?»
16 Memoukane prit la parole en présence du roi et de ses princes: «Ce n’est pas seulement contre le roi que la reine Vasti a mal agi, mais contre tous les princes et contre tous les peuples dans toutes les provinces du roi Assuérus.
17 Car son attitude sera connue de toutes les femmes et leur fera mépriser leurs maris, quand on leur dira: “Le roi Assuérus avait ordonné de faire venir la reine Vasti en sa présence, et elle n’est pas venue!”.
18 Et dès aujourd’hui, les princesses de Perse et de Médie qui auront entendu parler de l’attitude de la reine vont se mettre à répliquer à tous les princes du roi. Ce ne seront que mépris et colère!
19 Si le roi le trouve bon, qu’il publie une ordonnance royale qui sera inscrite dans les lois de Perse et de Médie, et sera irrévocable: selon cette ordonnance, Vasti ne paraîtra plus en présence du roi Assuérus, qui donnera son titre de reine à une autre, meilleure qu’elle.

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La vengeance

La vengeance

La vengeance

Avec cette citation de la Bible « A moi la Vengeance, à moi la Rétribution! » tout est dit ou à peu près. La Vengeance – donc la Rétribution appartient à DIEU Seul et pas aux êtres humains!

Celui qui veut se venger lui-même ne cause, en réalité, de tort qu’à lui-même. En effet, la parole du Notre Père « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » est également parfaitement claire: Le Pardon Divin ne peut nous être assuré que si nous pardonnons d’abord à nos offenseurs. L’un est la condition et la conséquence de l’autre.

Quel que soit le tort commis, tout doit être pardonné sans réserve. Celui qui ne pardonne pas éprouve du ressentiment et le ressentiment lie celui qui l’éprouve non seulement à ses offenseurs mais aussi à la matière, à ce qui est bas.

« Les Meules de Dieu tournent lentement mais sûrement » dit le proverbe. La Justice Divine est parfaite et inexorable. C’est l’Omnisagesse Divine uniquement qui décide quand, où, et comment la Rétribution doit atteindre les coupables. Vouloir en décider soi-même c’est se vouloir mettre à la place de Dieu, et c’est donc un sacrilège.

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Crime, châtiment et repentance

Crime, châtiment et repentance

Crime, châtiment et repentance

Version Biblique

David, le roi qui céda à la convoitise et commit un meurtre pour obtenir la femme de sa vie
Assurément, en tant que premier vrai Roi d’Israël (avant lui, rapidement désavoué par Dieu, Saül ne le fut que partiellement et pendant un temps relativement court), le Roi David est un personnage-clef de l’Ancien Israël et de l’Ancien Testament.
Mais, selon le récit biblique, transgressant le Sixième Commandement tout autant que le Neuvième, le Roi David céda à la convoitise et commit l’adultère:
« Un soir, David se leva de sa couche; et, comme il se promenait sur le toit de la maison royale, il aperçut de là une femme qui se baignait, et qui était très belle de figure. »
« David fit demander qui était cette femme, et on lui dit: N’est-ce pas Bath-Schéba, fille d’Éliam, femme d’Urie le Héthien?
Et David envoya des gens pour la chercher. Elle vint vers lui, et il coucha avec elle. Après s’être purifiée de sa souillure, elle retourna dans sa maison.
Cette femme devint enceinte, et elle fit dire à David: « Je suis enceinte. ».
Alors David expédia cet ordre à Joab: Envoie-moi Urie, le Héthien. Et Joab envoya Urie à David.
Urie se rendit auprès de David, qui l’interrogea sur l’état de Joab, sur l’état du peuple, et sur l’état de la guerre. »
Manifestement, cet interrogatoire était un prétexte pour – vis-à-vis de l’armée, de la cour et du peuple – justifier le retour de Urie et faire passer la suite du plan inaperçue…
« Puis David dit à Urie: Descends dans ta maison, et lave tes pieds. Urie sortit de la maison royale, et il fut suivi d’un présent du roi. »
A l’évidence, l’intention de David était de faire croire que l’enfant dont Bethsabée se déclarait enceinte était bien celui de son mari, Urie le Hittite. Pour cela il fallait absolument que Urie rentre chez lui et ait un rapport avec sa femme Bethsabée… Sinon, alors que son soldat de mari était sur le front, comment expliquer que Bethsabée tombât subitement enceinte?
Mais, malgré sa ruse, le plan de David ne fonctionna pas et même échoua lamentablement…

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La Conception de Jésus

La Conception de Jésus

La Conception de Jésus

Un Amour sans mariage vaut mieux qu’un mariage sans Amour!
Pour l’église catholique, le mariage doit précéder l’union corporelle gros-matérielle entre un homme et une femme, sinon la Pureté n’est pas là et une faute serait commise par les deux. Mais, en réalité, la nécessaire Pureté comme condition de l’Amour véritable entre un homme et une femme est-elle liée au Mariage? Aucun des Commandements de Dieu ne dit cela. Il semble donc bien que la réponse à cette question soit non.
L’Amour vrai est indissociable de la Pureté. Sans Pureté il n’y a pas d’Amour, dans le mariage ou en dehors du mariage. Une sexualité sans Amour est une sexualité coupable. Sans Amour la sexualité n’a pas de raison d’être. Elle ne peut être qu’impure, immorale et dégradante. Avec l’Amour elle est possible entre homme et femme, dans le mariage ou même en dehors, à condition, toutefois, de ne jamais convoiter la femme du prochain!
L’important ce n’est pas le mariage, l’important … c’est l’Amour!
Un cas particulier: La Conception de Jésus. – Que disent les Évangiles?
Dans le cas de Marie, selon l’Évangile de Luc, lorsque l’Ange Gabriel lui apparaît pour lui annoncer qu’elle va devenir la mère du Sauveur, Marie lui répond: « Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d’homme? » (Luc, I, 34.) Et, à son tour, l’Ange lui répond: « L’Esprit Saint viendra sur vous, et la Vertu du Plus-Haut vous couvrira de Son Ombre. C’est pourquoi l’Être Saint Qui naîtra (de vous) sera appelé Fils de Dieu. » (Luc, I, 35.)
L' »Ombre de l’Esprit Saint » pourrait-elle, en ce cas, remplacer l’œuvre d’un homme terrestre? C’est ce que n’a pas craint de conclure la théologie catholique, même si c’est en contradiction flagrante avec les Lois de Dieu dans la Création qui prévoient qu’un enfant ne peut naître que suite à une procréation gros-matérielle terrestre, requérant un père autant qu’une mère.
Car si, pour une Incarnation Divine, la Loi Divine de la Procréation préalable – donc l’intervention d’un père – n’avait, à l’inverse de toutes les autres, pas besoin d’être respectée, pourquoi celle de la maternité aurait-elle dû l’être? Car s’il était, pour un Fils de Dieu, « très fort » de pouvoir naître « sans père » (sic!), ne serait-ce pas « encore plus fort » de pouvoir naître également « sans mère », autrement dit, de pouvoir apparaître tout constitué sur Terre, sans même besoin de gestation?

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