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À qui la faute?

À qui la faute?

À qui la faute?
Chaque être humain a le pouvoir de décider pour lui-même. Il doit donc aussi subir les conséquences de ses propres négligences.
Nous vivons – même si cela ne date pas d’hier -, aujourd’hui plus que jamais, dans un monde sens dessus dessous. À qui la faute?
Qui porte réellement la responsabilité pour l’état du monde?.
Voyant la situation, la réponse semble assez simple, car un nombre très restreint d’êtres humains – les mdm (maîtres du monde) en langage terrestre, les rdt (rois de la terre) en langage spirituel – dirigent, de manière complètement centralisée, l’immense majorité.
Toute la faute leur revient serait-on tenté de penser, de même que, de tout temps, l’état des nations a dépendu du vouloir de ses dirigeants.
Oui, mais, selon vous, comment une infime minorité pourrait-elle imposer sa volonté si la majorité n’était pas d’accord?
La réponse à ce problème est que chaque être humain est fautif… à divers degrés.
C’est difficile à reconnaître car nous ne sommes pas, ici, comme on voudrait encore l’espérer, dans une histoire où les gentils luttent contre les méchants. La réalité est bien plus dure, car les méchants sont… partout!
La société mise en place actuellement n’est que l’aboutissement de la volonté de l’immense majorité des êtres humains.
Les différences entre les êtres humains ne résident pas dans le genre fondamental de leur vouloir (qui, pour la quasi-totalité de l’humanité, est corrompu), mais dans sa force, ainsi que dans la possibilité terrestre de l’accomplir.

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Devenir libre!

Devenir libre!

Devenons libres!
L’on dit souvent qu’il faut se libérer de nombreuses entraves signifiant plein de choses extérieures… Il faut surtout devenir libre, ce qui est assez différent, car se libérer peut simplement signifier mettre de côté un obstacle extérieur, alors que devenir libre cela se passe fondamentalement en soi-même.
De quoi faut-il devenir libre?
Déjà de la fausse science, de la science sans conscience.
L’écrivain français François Rabelais a écrit: «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme!».
Et l’on pourrait ajouter: «Et du corps!».

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Histoire de la grenouille cuite

Histoire de la grenouille cuite

La grenouille cuite
Une expérience hautement significative
Soit, placée sur un trépied, une marmite remplie d’eau froide (entre 0° et 10° C), dans laquelle barbote tranquillement une grenouille.
Un feu doux est alors allumé sous la marmite; l’eau chauffe très progressivement. Elle est bientôt tiède (20° C à 30° C). La grenouille trouve cela franchement agréable et continue à barboter paisiblement.
Graduellement, la température continue à monter. L’eau est maintenant chaude (45°C.). C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais, saisie par une relativement agréable torpeur, elle ne s’affole pas pour autant, mais barbote juste plus lentement.
Quelques minutes plus tard, l’eau devient, cette fois, vraiment très chaude (60° C). La grenouille commence à trouver cela franchement désagréable, mais l’eau trop chaude, agissant de façon émolliente, l’a, en même temps, affaiblie et anesthésiée, alors elle supporte passivement la situation et ne fait rien pour s’en sortir.
La température de l’eau continue encore à s’élever (80° C), jusqu’au moment où, avant même que l’eau ne soit parvenue à ébullition (100° C), la grenouille va tout simplement finir par cuire et donc mourir, sans jamais avoir fait, à temps, quelque chose pour s’extraire de ce milieu pourtant, entre temps, devenu, pour elle, mortel.

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Échappe au faux!

Échappe au faux!

Échappe au faux!

L’être humain, en conséquence de la domination intellectuelle, est devenu extrêmement superficiel.
Cette superficialité, liée à la paresse d’esprit, se vengera amèrement sur lui, parce qu’elle est capable de causer sa perte.
Pour mieux discerner en quoi la superficialité peut s’avérer catastrophique, considérons l’importante différence entre véritablement «Savoir» et seulement «avoir entendu dire».
La différence entre «Savoir» et «avoir entendu parler»
Prenons le cas de personnes interrogées au sujet d’une chose quelconque dont elles ont entendu parler et qu’elles ont aussi, peut-être, pu voir pour une part. Interrogées à ce sujet, la plupart affirmeront, sans plus, qu’elles savent de quoi il retourne.
Selon l’opinion de la plupart des êtres humains actuels tellement superficiels, cette réponse serait exacte, et pourtant, tout bien considéré, elle est fausse et, par conséquent, condamnable.
« Savoir » signifie, en effet, être capable de donner des renseignements précis sur une chose considérée dans sa globalité, donc depuis le début jusqu’à la fin, sur chaque détail, sans aucune lacune, et à partir de sa propre expérience vécue. Alors seulement un être humain peut dire qu’il sait.
Il réside donc une grande responsabilité dans l’expression « Savoir » et la notion qui s’y trouve liée!
Il y a une immense différence entre le « savoir » et l' »appris ». Ce qui est appris fait seulement partie de l’érudition, et l’érudition n’est pas, et de loin, savoir véritable, lequel ne peut être que strictement personnel, tandis que l’appris demeure l’acceptation, sans vérification personnelle, de quelque chose d’extérieur à la personne.
Autrement dit, Savoir est spirituel tandis qu’apprendre est intellectuel.
Ce que l’on sait le mieux, c’est ce que l’on n’a jamais appris!

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Le ravageur endoctrinement

Le ravageur endoctrinement

Le ravageur endoctrinement

Au bout du chemin que nous suivons encore présentement, sans Intervention supérieure, c’est la culbute assurée!
Le savoir intellectuel humain a déjà amplement montré qu’il conduit à l’impasse: Du fait de l’hypertrophie de la «grande cervelle» et de la domination intellectuelle en résultant et – liée à cela – de la cupidité d’un grand nombre de Terriens, la Terre elle-même est menacée de destruction et la vie sur Terre est donc, elle aussi, tout simplement menacée de disparition.
Voilà à quoi a conduit le déséquilibre encéphalique entraînant la domination de l’intellect et tout le cortège de son inutile et donc nuisible savoir, puisque tout ce qui est inutile ne peut faire autrement que d’agir de façon nuisible: À l’impasse totale.

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Le fonctionnement de l’être humain

Le fonctionnement de l’être humain

Le fonctionnement de l’être humain

99,9 % des habitants de cette planète ont un «fonctionnement» fondamentalement intellectuel, si ce n’est même exclusivement intellectuel.
Intellectuel et/ou sentimental. Précisons-le tout de suite. Certains croient peut-être que le sentiment s’oppose à l’intellect. En fait, il n’en est rien, le mot lui-même l’indique: senti-ment = senti-mental; obéir au sentiment, c’est sentir mentalement. Le sentimental obéit à son senti-mental. Or le «mens» n’est pas l’esprit ou l’âme, comme l’on pense souvent faussement, mais bien le mental, c’est-à-dire un autre nom de l’intellect.
La vie mentale est, en effet, celle de la pensée. Or, la pensée est le produit de l’activité du cerveau antérieur, le grand cerveau.

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