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Les arbres parlent

Les arbres parlent

Les arbres parlent

1. Introduction
1.1. Préface de Tobiasz
Nous avons commencé à écrire ce livre avec Bartosz, à mon initiative. J’ai tout simplement pensé que, puisque Bartosz dialogue avec les arbres depuis des années, nous pourrions consigner ces conversations. L’idée a beaucoup plu à Bartosz, et nous avons ensuite reçu un signe que ce projet était agréable à Dieu, et que la Lumière soutiendrait sa réalisation.
Il convient de préciser que ces dialogues sont absolument authentiques. Les arbres, ou plus précisément les esprits des arbres, ont répondu à nos diverses questions. À beaucoup de ces questions, nous connaissions déjà les réponses, mais nous étions curieux de découvrir la perspective des arbres. Ce livre montre comment les esprits des arbres perçoivent l’humanité contemporaine et leur profond désir de redevenir nos frères.
Les êtres de la nature, comme les esprits des arbres, autrefois bien connus de l’humanité, incarnent l’activité de la nature et son influence. La connaissance de ces esprits est une étape essentielle dans le développement spirituel de chaque être humain. Dès leur plus jeune âge, les enfants devraient être initiés aux forces de la nature et, par leurs expériences avec elle, acquérir un socle essentiel pour l’éveil futur de leur esprit au cours de l’adolescence. Or, comme nous le savons, il manque aujourd’hui à notre humanité ce lien…
Nous avons appris beaucoup sur leur vie, sur ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas accomplir. Ce livre contient sans doute de nombreuses informations que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. Je t’invite, cher lecteur, à ce voyage, dans la forêt, et que ce livre soit comme une promenade en forêt : merveilleuse, apaisante, révélant de nouvelles vérités et offrant des aperçus profonds sur l’homme et les arbres. Cher lecteur, imprègne-toi de la bonne énergie des arbres, et que ton cœur s’ouvre à l’amour ! Bonne lecture !
1.2. Préface de Bartosz
Le livre que vous tenez entre vos mains est le fruit de l’amitié que Tobias et moi entretenons avec les arbres. Depuis des années, je dialogue avec eux, ou plutôt avec les esprits des arbres. Ce don de clairaudience, dont je suis reconnaissant envers le Créateur, m’a permis de nouer de véritables amitiés fondées sur la confiance et le soutien mutuel. Je sais pertinemment que les relations que Tobias et moi avons tissées avec nos amis arbres ont eu un impact considérable sur notre développement personnel et notre vie future. Les mots d’encouragement et les conseils que nous avons reçus de nos amis forestiers sont innombrables, et j’en suis infiniment reconnaissant.
Dans le monde moderne, l’homme a oublié le contact avec la Nature. Dans sa quête d’une vie meilleure et plus confortable, il néglige la présence d’une vie foisonnante qui l’entoure et qui se manifeste à travers les êtres de la nature. Le fait qu’il ne puisse ni les voir ni les entendre avec les sens physiques ne peut constituer une preuve incontestable de leur inexistence. Il existe des personnes capables d’entrer en contact avec ces êtres, et persister à les ignorer relève de l’entêtement et de l’étroitesse d’esprit.
Tout être humain, lorsqu’il change d’environnement — comme un nouvel emploi par exemple — doit apprendre à le connaître pour pouvoir y évoluer avec plus de liberté et d’efficacité. Pour être performant dans un nouveau travail, il doit comprendre les divers départements, savoir quelles responsabilités incombent à chacun, qui est chargé de quoi, quelles sont ses propres missions et celles des autres employés, et comment collaborer pour que ses actions contribuent au bien de l’entreprise. Il en va de même dans la Création. L’homme est censé connaître la Création, comprendre les lois qui la régissent, et partager la beauté de la vie avec les êtres qui y habitent. Ce processus graduel de connaissance apportera non seulement un accroissement de savoir, mais aussi une mobilité spirituelle accrue et plus libre, essentielle pour la maturation et l’Ascension progressive à travers les niveaux de la Création.
Je suis convaincu que ce témoignage aidera beaucoup à entrevoir une parcelle de ce qui se cache derrière le terme « êtres de la nature ». Les arbres font partie intégrante de notre quotidien. Je crois qu’après avoir lu ce livre, le lecteur ne les regardera plus de la même façon. Je crois également que cette lecture permettra non seulement de mieux comprendre les êtres évoqués, mais aussi de se rapprocher d’eux et de les aimer davantage. C’est ce que je souhaite à chacun.

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Matière grossière et matière fine

Matière grossière et matière fine

Matière grossière et matière fine

Matière grossière et matière fine, ce sont deux expressions fondamentales pour désigner les deux genres fondamentaux de la matière ainsi que les adjectifs et adverbes corrélés «gros-matériel» et «fin-matériel», «gros-matériellement» et «fin-matériellement».

De haut en bas, la matière grossière se subdivise en trois parties matière grossière fine, moyenne et lourde et la matière fine en matière fine fine, moyenne et grossière.

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Hymne de l’enfant à son réveil

Hymne de l’enfant à son réveil

Alphonse de Lamartine

Extrait des « Harmonies poétiques et religieuses » (1830)

Ô Père qu’adore mon père!
Toi qu’on ne nomme qu’à genoux!
Toi, dont le Nom terrible et doux
Fait courber le front de ma mère!

On dit que ce brillant Soleil
N’est qu’un jouet de Ta puissance;
Que sous Tes pieds il se balance
Comme une lampe de vermeil.

On dit que c’est Toi qui fais naître
Les petits oiseaux dans les champs,
Et qui donne aux petits enfants
Une âme aussi pour te connaître!

On dit que c’est Toi qui produis
Les fleurs dont le jardin se pare,
Et que, sans Toi, toujours avare,
Le verger n’aurait point de fruits.

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Le Grand Virage

Le Grand Virage

Le Grand Virage

(…) La disparition rapide de tous sens moral, à tous les niveaux de l’échelle sociale, affecte de plus en plus profondément tous les domaines de l’existence, pendant que se profile distinctement à l’horizon le spectre de l’holocauste nucléaire final: le crime de lèse-humanité!

Les raisons de ce très inquiétant état de décadence de nos sociétés se trouvent, pour une grande part, dans les idées que les hommes se font de l’Univers, de ses Lois et du rôle que joue l’homme sur la scène du monde. Les idées que nous nous faisons sur le monde et sur la vie sont en effet d’une importance capitale. Car c’est en fonction de nos conceptions que nous décidons de nos comportements. Ce sont nos conceptions qui déterminent nos actes. Ce sont les opinions auxquelles nous adhérons qui fixent notre but dans l’existence, et ce sont ces opinions qui nous orientent vers le but que nous nous sommes fixés. Pour les collectivités, comme pour les individus, c’est leur vision du monde, leur «Weltanschauung» [1], qui détermine la voie à suivre, les devoirs à accomplir, les règles à respecter.

Croire, comme la plupart des matérialistes, que les événements mondiaux n’ont d’autres causes qu’économiques et sociales, c’est faire preuve d’une affligeante myopie, d’une irrémédiable obnubilation intellectuelle. Car, en réalité, derrière la fantastique bousculade des événements mondiaux, qui se joue sur l’avant-scène de l’actualité, se déroule un grand drame spirituel, une évolution tragique du genre humain.

Qu’on le veuille ou non, ce sont les idées qui mènent le monde; ce sont les conceptions que les hommes se font de la vie et du monde. Car les pensées, les paroles et les actes de tout être humain dépendent de ses conceptions personnelles, ou de celles qui lui ont été inculquées. Elles sont déterminées, et même conditionnées par les conceptions qu’il a faites siennes. TANT VAUT L’IDÉAL, TANT VAUT DONC L’HOMME.

Car, enfin, il faut être logique! Si la vie n’existe qu’entre le berceau et la tombe, quelles raisons aurions-nous de maîtriser nos instincts et nos appétits de jouissance? Pourquoi ne pas plutôt chercher à les satisfaire à tout prix, en veillant seulement à ne pas entrer en conflits avec les lois humaines, puisqu’il n’en existe pas d’autres? Si l’être humain ne fait qu’apparaître et disparaître en ce bas (très bas!) monde, quel intérêt a-t-il à s’y bien conduire puisque, dans la mesure où il ne se fera pas pincer par la justice des hommes, il n’aura de compte à rendre à personne, lorsqu’il aura cessé d’être? «Si Dieu n’existe pas, tout est permis!», s’écriait Dostoïevski.

Si tout finit dans le tombeau, l’homme moderne n’a aucun intérêt à chercher à dominer ses instincts. À l’exception des lois humaines, rien ne peut le retenir. Pour le myope qu’il est devenu, le bien et le mal n’existent plus, le juste et l’injuste se confondent. Ce ne sont, déclare-t-il, que des notions relatives. En une définition parfaitement limpide, le prix Nobel Alexis Carrel avait pourtant fait justement observer que: «Le Bien, c’est tout ce qui concourt à l’épanouissement de la Vie. Tandis que le Mal, c’est tout ce qui s’y oppose.».

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Le Notre Père expliqué par Martin Luther

Le Notre Père expliqué par Martin Luther

Le Notre Père expliqué par Martin Luther

« Notre Père Qui est aux Cieux »

Quel est le Sens de cette Parole?

Dieu nous convie à croire qu’Il est vraiment notre Père, et que nous sommes vraiment ses enfants, afin qu’avec une confiance d’enfant nous lui adressions nos Prières comme à notre Père bien-aimé.

Commentaire: Nous sommes pleinement d’accord avec cette interprétation de la première Parole du Notre Père rappelant le Premier Commandement: « Je suis le Seigneur, Ton Dieu, Tu ne dois pas avoir d’autres dieux devant Ma Face ». En s’adressant à Dieu et en L’appelant « Notre Père » l’être humain reconnaît Dieu non seulement comme son propre Père mais aussi comme le Père de tous les autres êtres humains se reconnaissant aussi comme Ses enfants.

« Que Ton Nom soit sanctifié »

Quel est le Sens de cette Parole?

Le Nom de Dieu est Saint par Lui-même; mais nous demandons qu’Il soit aussi sanctifié parmi nous.

Que faut-il pour que le Nom de Dieu soit sanctifié parmi nous?

Il faut que la Parole de Dieu soit fidèlement enseignée, dans toute sa Pureté, et que nous vivions saintement, comme des Enfants de Dieu. Que notre Père céleste nous accorde cette Grâce!

Mais quiconque enseigne ou vit autrement, déshonore parmi nous le Nom de Dieu. Que notre Père céleste nous en préserve!

Commentaire: C’est effectivement à l’être humain de sanctifier le Nom de Dieu par son comportement et en particulier par son langage: Cette deuxième Parole du Notre Père rappelle, en effet, le Deuxième Commandement: « Tu ne dois pas prononcer le Nom de Dieu en vain. ». Il ne s’agit donc pas seulement de demander à Dieu que Son Nom Sacré soit aussi sanctifié par nous mais bien de Le sanctifier nous-mêmes!

« Que Ton Règne vienne »
Quel est le Sens de cette Parole?

Le Règne de Dieu s’établit de lui-même dans le Monde, et sans le secours de nos Prières; mais nous demandons qu’il s’établisse aussi en nous.

Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous?

Il faut que le Père céleste nous donne Son Saint Esprit, pour croire, par Sa Grâce, à Sa Parole, et pour vivre saintement dans le temps et dans l’éternité.

Commentaire: Le Règne de Dieu peut-il s’établir « tout seul » sans la participation des êtres humains? Déjà cela pose question: Jésus aurait-Il, dans la Prière du Notre Père donnée par Lui aux êtres humains, incité les êtres humains à prier pour la Venue du Règne de Dieu sur la Terre ainsi qu’il existe déjà dans le Ciel si l’instauration de celui-ci avait été automatique?

A la question « Que faut-il pour que le Règne de Dieu s’établisse en nous? » Martin Luther répond: « Il faut que le Père Céleste nous donne Son Saint Esprit ». Nous considérons, pour notre part, que nous n’avons pas à dire au Père Céleste ce qu’Il doit faire. Dans Son Omnisagesse Il le sait infiniment lieux que nous! Pour ce qui est de « vivre saintement » nous avons déjà vu, par le passé, que la sainteté n’est pas un mérite pouvant s’acquérir, de sorte que le « culte des saints » n’est pas justifié et que Dieu Seul est Saint.

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La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise, aussi appelée « Prière pour la Paix », est communément attribuée à François d’Assise, mais ce serait – comme l’a montré l’historien Christian Renoux dans son livre consacré au sujet –  de façon erronée.
Quel qu’en soit l’auteur – cela pourrait, en particulier, être l’Abbé Esther Bouquerel (855-1923) l’ayant appelée « Belle Prière à faire pendant la Messe » -, c’est, assurément, en effet, une très belle Prière.
La première version connue de cette célèbre prière est publiée dans le numéro de décembre 1912 de la revue « La Clochette » (Bulletin de la Ligue de la Sainte Messe) par le prêtre normand Esther Bouquerel.
Une bonne raison de penser que cela pourrait être lui l’auteur, c’est le fait que sa revue eucharistique contenait essentiellement des textes issus de sa plume.
Mais l’habitude étant prise de l’appeler « prière de Saint François d’Assise, il est peu probable qu’elle s’appelle prochainement « Prière de l’abbé Esther Bouquerel »…
Quoi qu’il en soit, la voici…

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On ne badine pas avec l’amour!

On ne badine pas avec l’amour!

On ne badine pas avec l’amour!

« On ne badine pas avec l’amour! », tel est le titre d’une pièce de théâtre de l’écrivain romantique Alfred de Musset, publiée en 1834.

Dans Wikipédia nous apprenons que:

« En mars 1834, Musset quitte Venise seul après le drame de la rupture avec George Sand quand elle l’abandonne et part avec le médecin Pagello. Commence alors une correspondance amicale «plus ardente que l’amour» entre les deux amants séparés, où Musset informe qu’il projette d’écrire leur histoire, «de bâtir un autel, fût-ce avec ses os» à George, qui sera le futur roman La Confession d’un enfant du siècle. Mais François Buloz, le directeur de la Revue des deux Mondes, lui fait une commande d’une comédie dans la continuité d’Un spectacle dans un fauteuil, laissant le poète désabusé, ne sachant même pas «comment lui faire une malheureuse comédie». C’est donc sans enthousiasme qu’il commence l’écriture d’On ne badine pas avec l’amour, finissant deux mois plus tard, pour enfin se tourner vers le projet de son roman.

La liaison passionnée qu’il a entretenue avec George Sand a nourri en grande partie la pièce, ainsi la scène 5 de l’acte II reprend des passages des lettres écrites par George Sand lors du conflit amoureux («Tous les hommes sont menteurs, inconstants…») ». (Source)

C’est – plus précisément – en Juillet 1834 que Musset publie « On ne badine pas avec l’amour ». Dans cette pièce la réplique de Perdican, sur la sainteté de l’amour (acte II, scène 5) est inspirée de sa correspondance avec George Sand: «J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.».

En lisant la pièce…

Quelques répliques d’anthologie…

Sur la vanité de la science:

Perdican: «Les sciences sont une belle chose, mes enfants; ces arbres et ces prairies enseignent à haute voix la plus belle de toutes, l’oubli de ce qu’on sait.».

Sur les souvenirs d’enfance (Qui n’a pas éprouvé cela?):

« Comme ce lavoir est petit! Autrefois il me paraissait immense; j’avais emporté dans ma tête un océan et des forêts; et je retrouve une goutte d’eau et des brins d’herbe. ».

Sur l’amour et le mariage:

« Pourquoi nous marier? Voilà ta main et voilà la mienne, et, pour qu’elles restent unies ainsi jusqu’au dernier soupir, crois-tu qu’il nous faille un prêtre? Nous n’avons besoin que de Dieu. ».

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Trépassé

Trépassé

Trépassé

Une âme est ici, seule, et qui ne comprend pas,
Parce qu’elle croyait que tout cesse au trépas.
L’homme qui gît ici, allongé sur sa couche,
S’opposa à la mort, en un duel très farouche.

Mais, comme Tu le sais, la mort survient toujours,
Chacun est convaincu qu’elle viendra un jour.
Cela n’est pas parce que l’on en chasse l’idée
Que l’échéance ultime en sera retardée.

Donc, surpris, il regarde autour de lui et voit…
Sa dépouille mortelle; il crie à pleine voix
A ceux qui le veillent qu’il est encore en vie,
Mais il n’en est aucun qui sente sa survie.

Oppressé, il hurle, personne n’y prend garde,
C’est le corps inerte que tous, bornés, regardent,
Ce corps qui fut le sien, mais lui est étranger,
Ce corps qui, désormais, ne peut plus l’héberger.

Sa femme, agenouillée, près de son lit, sanglote,
Il prononce son nom, tandis que l’on chuchote,
Aucune parole, ni aucun geste, rien,
Rien ne transparaît plus de leurs antiques liens.

Il la secoue, crie, mais… ce qu’il déplace ainsi,
C’est son corps le plus fin, qui aussi est assis,
Et non son corps grossier; mais, pas davantage, elle
N’a jamais supposé plus loin que sa cervelle.

Comment pourrait-elle ressentir ce contact,
Puisqu’elle ne sait pas que tout ça c’est exact?
Une indicible angoisse accroît sa déchéance,
Tremblant, il s’affaisse, puis il perd connaissance…

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