Ecole de l'art de vivre

Enseignements Spirituels

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. Très belle Vidéo d'images accompagnant l'ouvrage" Un regard dans un autre Monde et la défaillance de l'humanité". Puissent-elles réveiller le…

  2. Merci pour l'article. Faire la différence entre les sentiments et l'amour de l'âme n'est pas chose aisée. Deux notions qui…

  3. "L'ESPRIT DE FAMILLE" L'esprit de famille, dès qu'il respecte la liberté de chacun tout en s'imprégnant d'une certaine noblesse, ne…

  4. Oui, très enrichissant, et parfois vouloir aider sur la base de sentiments sans élan intuitif peut parfois déboucher sur une…

Qu’est-ce que l’esprit?

Qu’est-ce que l’esprit?

Qu’est-ce que l’esprit?

Si vous questionnez autour de vous pour tenter de savoir ce qu’est précisément l’esprit – à moins de tomber sur un Sachant (ce qui est rare!) -, vous expérimenterez, le plus souvent, un grand vague dans les réponses. En tant que mot pourtant très utilisé, l’esprit fait partie de ce dont presque tout le monde parle mais sans trop savoir ce dont il s’agit vraiment. Pour ce qui s’agit de l’Au-delà, l’âme a souvent « meilleure presse » que l’esprit, et pourtant…
Beaucoup prennent leur intellect pour leur esprit esprit et désignent l’esprit comme s’il s’agissait de l’intellect. Ceci montre seulement que ces êtres humains sont dominés par leur propre intellect. Autrement, il ne leur viendrait jamais à l’idée de croire que leur intellect serait leur esprit. Naturellement, l’esprit n’est pas l’intellect et l’intellect n’est pas l’esprit. Sinon il n’y aurait pas deux mots spécifiques, l’un pour l’esprit et l’autre pour l’intellect.
Et l’âme? Deux points de vue possibles: Celui à partir du haut ou celui à partir du bas. A partir du haut, l’âme c’est le Noyau spirituel avec ses différentes enveloppes jusqu’au corps fin-matériel, par conséquent à l’exclusion du corps astral gros-matériel moyen et du grossier corps gros-matériel terrestre. A partir du bas, l’âme c’est l’être humain désincarné, donc ce qui reste de lui, une fois qu’il a quitté son terrestre ainsi que son corps astral gros-matériel moyen, qui n’est rien d’autre que le modèle astral de son corps terrestre.
Qu’est-ce qui constitue un être humain? L’être humain serait-il composé d’un esprit, d’une âme et d’un corps? Pas exactement. Certes, l’être humain a un esprit ou – plus exactement dit – est un esprit. Certes, si l’on parle de l’âme humaine, cela donne bien à penser que l’être humain a une âme, l’on pourrait même dire aussi que l’être humain désincarné est une âme. Lorsqu’un être humain terrestre décède, c’est-à-dire abandonne son corps gros-matériel lourd (ce qui rend celui-ci inanimé = sans âme), il devient une âme.

lire plus
Qu’est-ce que l’âme?

Qu’est-ce que l’âme?

Qu’est-ce que l’âme?

Si vous questionnez autour de vous pour tenter de savoir ce qu’est précisément l’âme – à moins de tomber sur un Sachant (ce qui est rare!) -, vous expérimenterez, le plus souvent, un grand vague dans les réponses. L’âme fait partie de ce dont presque tout le monde parle mais sans vraiment trop savoir ce dont il s’agit.
Beaucoup désignent l’âme comme s’il s’agissait de l’esprit. Il est vrai que beaucoup prennent leur intellect pour leur esprit. Naturellement, l’âme n’est pas l’esprit. Sinon il n’y aurait pas deux mots spécifiques, l’un pour l’âme et l’autre pour l’esprit. L’animal – comme son nom [« anima »] l’indique -, lui aussi, a une âme, mais chez lui l’âme est son noyau animateur lui-même, ce qui chez l’être humain n’est pas le cas.  
D’autres considèrent l’âme comme une simple enveloppe de l’esprit. Plus précisément, c’est le corps fin-matériel de l’être humain qu’il considèrent comme étant l’âme. Cela non plus n’est pas exact. Le corps fin-matériel c’est l’enveloppe fin-matérielle de l’esprit, mais, à lui seul, il ne constitue pas la totalité de l’âme mais seulement son enveloppe la plus extérieure.
Qu’est-ce qui constitue un être humain? L’être humain serait-il composé d’un esprit, d’une âme et d’un corps? Pas exactement. Certes, l’être humain a un esprit ou – plus exactement dit – est un esprit. Certes, si l’on parle de l’âme humaine, cela donne bien à penser que l’être humain a une âme, l’on pourrait même dire aussi que l’être humain désincarné est une âme.

lire plus
La Gratitude

La Gratitude

La Gratitude

La Gratitude est-elle un trait de caractère ou une Vertu? Ni l’un ni l’autre. En réalité la Gratitude est juste une Valeur de Compensation pour ce qui a été reçu. Qui, en effet, peut estimer comme normal de recevoir sans rien offrir en contre-partie? La Loi de la Création du Donner et du Recevoir exige la Compensation.
Qu’as-Tu que Tu n’aies reçu?
Or l’être humain ne possède rien qu’il n’ait reçu, à commencer par sa propre vie. En effet, l’être humain est-il l’auteur de sa propre vie? Poser la question c’est déjà y répondre. L’être humain est déjà redevable de sa vie. Et, tout bien considéré, aussi de tout le reste. Et à Qui est-il redevable? La réponse se trouve déjà dans la parole de ce cantique: « Tout vient de Toi ô Père Très Bon »…
Notre Père
Tout vient de Notre Père Qui est aux Cieux, par l’intermédiaire de Sa Création et de Ses Lois. C’est pourquoi il est infiniment juste de commencer sa journée par la reconnaissance de cette évidence fondamentale « Ma vie envers Toi ne doit être que Gratitude ». Il ne doit pas seulement s’agir d’une formule, mais la Gratitude doit être vivante, elle doit être ressentie en Intuition.
Le Bonheur
Le Bonheur est aussi là pour l’être humain: Que sa vie ne soit que Gratitude envers son Père éternel. La dimension collective de ce Bonheur est donnée par le « Notre » de « Notre Père ». En effet Jésus n’a pas dit « Lorsque vous priez dîtes « Mon Père Qui est aux Cieux » mais bien « Notre Père Qui est aux Cieux » », nous invitant ainsi à nous reconnaître collectivement comme les Enfants d’un même Père.
La Filiation Divine
La Filiation Divine n’est toutefois pas acquise d’avance. Elle doit se gagner, donc se mériter. C’est seulement lorsque, en accomplissement de la parole de ce même « Notre Père » « Que Ta Volonté soit faite », la Volonté de Dieu s’exprimant dans Ses Lois est accomplie que l’être humain peut s’affirmer comme étant un Enfant de Dieu. Quel que soit son âge, fondamentalement, par nature, l’être humain est déjà un Enfant de la Création et le restera toujours…

lire plus
La conception l’incarnation et la naissance

La conception l’incarnation et la naissance

La conception, l’incarnation et la naissance

Les trois étapes de la Venue au monde de l’être humain
Bien que la plupart des êtres humains ne connaissent que la conception (procréation ou fécondation de l’ovule par le spermatozoïde) et la naissance – toutes bonnes choses allant par trois -, la venue au monde d’un être humain s’effectue, en fait, en trois temps, et le plus important est probablement aussi le plus discret.
Beaucoup d’être humains croient que la vie humaine commencent à la naissance, les plus audacieux pensant qu’elle commence à la procréation, lors de l’union corporelle d’un homme et d’une femme. Il n’en est rien, car non seulement la vie humaine ne commence pas à la naissance terrestre mais elle ne commence pas non plus à la conception.
La venue au monde d’un être humain n’est pas le commencement de sa vie mais juste le commencement de l’une de ses nombreuses séquences de vie. Car de même que l’âme survit à la mort du corps terrestre, elle pré-existe aussi à celui-ci. Comme toujours, le point de vue le plus juste n’est pas le point de vue terrestre, mais bien le point de vue spirituel.
L’esprit humain
Un être humain ce n’est, en effet, pas un corps mais, avant tout, un esprit. En temps terrestre, cet esprit – équipé de ses enveloppes entéalliques et son corps fin-matériel – existe, en fait, depuis des millions d’années. De nombreuses fois déjà, même si elle ne s’en souvient pas, cette âme (l’esprit avec ses fines enveloppes) est déjà née sur la Terre.
Si l’on ne considère qu’une seule vie terrestre, elle commence non à la naissance mais à la conception. Cette conception est particulièrement importante, parce que c’est au seul moment de la conception que le couple procréateur a, de façon décisive, la possibilité d’influer sur la qualité des âmes en instance d’incarnation.
La période qui suit immédiatement la conception – plus précisément les quatre mois et demi qui suivent – est particulièrement importante, parce que, même si une âme a commencé à tisser des liens avec le petit corps en cours de formation (l’embryon), elle peut encore être supplantée par une autre, aussi longtemps que l’incarnation ne s’est pas encore produite.

lire plus
L’orgueil

L’orgueil

L’orgueil

Introduction
L’orgueil, c’est bien connu, est l’un des sept péchés capitaux. Afin de mieux le démasquer et ainsi de le faire disparaître, nous voulons ici – en toutes sortes de situations de la vie – examiner de plus près comment il se manifeste.
Au sujet du pharisaïsme ou du pharisianisme
L’orgueil des pharisiens, déjà dénoncé en Son Temps par Jésus, est un grand classique de l’orgueil. Naturellement, il convient d’être conscient que l’époque de Jésus n’a nullement le monopole des pharisiens. Tout au contraire, il en est encore plein de nos jours, et même avec des genres nouveaux… Le pharisaïsme est un mélange d’orgueil, d’hypocrisie, de malice, et même, à l’occasion, de perfidie.
Se marier par orgueil
Par exemple, imaginons le cas d’une jeune fille qui – rien que pour contrarier ou défier son père ou sa mère ou les deux – veut épouser quelqu’un qui n’est pas fait pour elle. Naturellement, il peut aussi s’agir d’un jeune homme. Dans un tel cas le conjoint ou la conjointe est utilisé en tant qu’instrument pour l’assouvissement de l’orgueil.
L’orgueil et la présomption des occultistes
Ceux, par exemple, qui pratiquent l’occultisme et – même si, en l’occurrence, il ne peut s’agir que des bas-fonds – ont ainsi un certain accès à l’Au-delà peuvent se croire « supérieurs » et éprouver de l’orgueil par rapport au petit peuple dont les champs d’expériences ne dépassent pas la matière grossière la plus lourde. C’est la même chose dans de nombreux cercles spirites ou médiaux.
L’orgueil de nombreux croyants adhérents des églises
C’est la même chose pour de nombreux croyants conventionnels des églises qui – par leurs pratiques religieuses – croient déjà être « arrivés ». Leur humilité apparente cache, en réalité, un orgueil prononcé. Il est, par exemple, possible que nombre de vitraux de nos églises avec, au bas, les noms de leurs généreux donateurs, soient des cadeaux émanant de tels croyants.
Ceux-là ne mettent pas en application la Parole: « Mais quand Tu fais l’aumône, que Ta main gauche ne sache pas ce que fait Ta main droite,afin que Ton aumône se fasse en secret; et Ton Père, qui voit dans le secret, Te le rendra. » (Matthieu VI 3-4).

lire plus
Le Deuxième Commandement

Le Deuxième Commandement

«TU NE DOIS PAS, DU NOM DU SEIGNEUR, TON DIEU, MÉSUSER!»

Mésuser du Nom du Seigneur, que cela signifie-t-il? C’est la même chose que de le prononcer en vain, c’est-à-dire avec superficialité, sans raison {valable}.
C’est que, si Dieu est Saint, Son Nom, indissociable de Lui-même et qui sert à Le désigner, est donc, lui aussi, Saint, Sacré!
C’est naturel que le Nom de Dieu soit, pour chaque être humain, Sacré, car le Nom de Dieu est destiné, comme tout nom, à, avec clarté et force, faire surgir, dans l’esprit humain, la Notion correspondante, et, dans ce cas, il s’agit de la Notion du Plus Haut qui soit, le Plus-Haut-de-tous!
Par conséquent, si quelqu’un prononce le Nom du Plus-Sublime avec légèreté, indifférence ou – pire! – avec irrespect, il offense Dieu Lui-même!
Les transgressions de ce genre sont, hélas!, devenues très nombreuses dans le monde «moderne». Le Nom du Créateur est prononcé en vain, à tout propos. C’est horrifiant d’entendre cela, lorsque l’on est conscient des offenses ainsi commises envers le Créateur, du mauvais exemple donné aux jeunes générations, et des inéluctables répercussions karmiques à venir.
Le Deuxième Commandement est, en effet, indissociable du Premier [NDLR: Article privé – Nécessite d’être enregistré et connecté]. L’accomplissement du Premier Commandement suppose aussi la rigoureuse observance du Deuxième. L’être humain qui ne respecte pas le Deuxième Commandement est totalement dénué d’Intuition. Sinon il ne pourrait prononcer le Saint Nom de l’Éternel qu’avec le plus profond respect, la plus grande vénération. C’est pourquoi, dans la religion juive, l’on n’ose même pas prononcer le Nom complet du Hautement-Sublime, et l’on se limite à écrire les consonnes sans mentionner les voyelles.
Cette transgression fait partie des péchés des pères qui se vengent jusqu’à la troisième ou quatrième génération, si, entre temps, il ne s’en éveille pas un pour mettre un terme à une aussi abominable pratique.
Même ceux qui ne transgressent pas eux-mêmes le Deuxième Commandement ont le Devoir de ne pas s’arrêter là. Ils doivent, par conséquent, s’efforcer de combattre cette préjudiciable habitude dans les cercles qui les entourent.

lire plus
La libre volonté existe-t-elle?

La libre volonté existe-t-elle?

La libre volonté existe-t-elle?

Par Jean Choisel

Qu’invoquent comme raisons ceux qui affirment l’existence de la libre volonté?
« Subissant ainsi tant d’influences de toutes sortes qui façonnent ses états d’âme sans qu’il le sache, conditionnent son être petit à petit, lui imposant une direction, l’y poussant et finalement le déterminant à son insu, les savants demandent non sans raison où pourrait donc encore résider la libre volonté [NDLR: généralement appelé « libre arbitre » par les philosophes] dans l’être humain? Comme, jusqu’à ces derniers temps, la science n’avait pas encore pu apporter de réponse satisfaisante à cette question, la plupart des savants et des philosophes matérialistes refusent encore de croire à l’existence de la libre volonté.
Par contre, les philosophes idéalistes, les moralistes, les hommes de loi, les théologiens et les poètes affirment eux – souvent d’ailleurs non quelque embarras! – que, «quelque part» au fond de lui-même, l’homme doit nécessairement être libre. Cette prise de position – plus morale que scientifique, disent les savants – se comprend aisément. En effet, pour que l’être humain soit responsable de ses actes, il faut de toute nécessité qu’il puisse se décider librement. Car si les décisions que prend un homme ne sont pas entièrement libres, on ne peut évidemment pas lui imputer la responsabilité de ses actes.
Or, la vie au sein des sociétés humaines exige absolument que les hommes soient considérés comme responsables de leurs actes. Faute de quoi la vie en société deviendrait rapidement impossible; elle ne serait bientôt plus régie que par la loi de la jungle, c’est-à-dire par la raison du plus fort. Même les malfaiteurs les plus endurcis reconnaissent à l’évidence la responsabilité de l’individu en général.
De plus, les châtiments que la société inflige à ceux qui ont enfreint ses lois ne seraient que monstrueuses injustices si les délinquants n’étaient pas libres mais obligés, c’est-à-dire déterminés d’agir d’une façon plutôt que d’une autre. Car – répétons-le – pour que l’homme soit responsable, il faut de toute nécessité, et il suffit, qu’il soit libre et non pas déterminé.
C’est pourquoi nos moralistes, législateurs, philosophes, etc., défendant les fondements même de toute vie en société, éprouvent non sans raison que, au fond, l’homme doit nécessairement être doté d’une libre volonté. Quoi qu’il en soit, savants et philosophes – négateurs et partisans de la libre volonté – demeurent le plus souvent perplexes et songeurs sur la nature même de cette insaisissable libre volonté.

lire plus
La Correction Fraternelle

La Correction Fraternelle

La Correction Fraternelle

 «Un frère aidé par son frère est une place forte.»
 – Proverbes, XVIII, 19 –

Qu’est-ce que la Correction Fraternelle?
Dans l’Enseignement chrétien, la Correction Fraternelle est une démarche de rappel à l’ordre d’un Chrétien vis-à-vis de son frère – Chrétien ou non -, dans le cas où celui-ci vient à commettre un péché, notamment – mais pas nécessairement –  si le péché est dirigé contre lui.
Dans la Correction Fraternelle, il s’agit effectivement de corriger d’une part, et de le faire fraternellement d’autre part.
Jésus Lui-même a-t-Il enseigné la Correction Fraternelle?
A cette question, selon la Bible, la réponse est oui.
Dans l’Évangile de Matthieu, en effet, il est écrit:
«Si Ton frère vient à pécher {contre Toi}, va le trouver et reprends le, seul à seul. S’il T’écoute, Tu auras gagné Ton frère. S’il n’écoute pas, prends encore avec Toi un ou deux autres, pour que toute affaire soit décidée sur la parole de deux ou trois témoins. Que s’il refuse de les écouter, dis-le à la communauté. Et s’il refuse d’écouter même la communauté, qu’il soit pour Toi comme le païen et le publicain. En vérité Je vous le dis: Tout ce que vous lierez sur la Terre sera tenu au Ciel pour lié, et tout ce que vous délierez sur la Terre sera tenu au Ciel pour délié.» (Matthieu XVIII, 15-18).
A remarquer que le « contre Toi » est volontairement placé entre accolades, parce que cela dépend des traductions. Dans la plupart des traductions (voir, par exemple, ici ou ici, la différence entre la Traduction de Louis Segond et la Bible du Semeur et d’autres encore…) il n’y a pas de « contre Toi »; il est donc à supposer que cela a été ajouté par l’un ou l’autre des traducteurs. Il semble bien que le péché soit ou non contre soi il convient d’aller pareillement trouver le pécheur et de le reprendre.
Mais combien de fois un pécheur doit-il être pardonné, notamment s’il s’agit de la même faute? A cette question aussi Jésus répond:
«Prenez garde à vous-mêmes! Si Ton frère a commis un péché, fais-lui de vifs reproches, et, s’il se repent, pardonne-lui. Même si sept fois par jour il commet un péché contre Toi, et que sept fois de suite il revienne à Toi en disant: “Je me repens”, Tu lui pardonneras.» (Luc XVII, 3-4).
Le pardon doit donc être donné non seulement sept fois de suite mais même – en cas de besoin – soixante-dix-sept-fois sept fois. Encore faut-il, toutefois, bien sûr, que la demande de pardon soit sincère. Une demande de pardon dépourvue de sincérité, du fait de son état intérieur hypocrite, ne permet naturellement pas au demandeur d’en recevoir tout le réel bénéfice.
En lisant les Évangiles il est possible de voir que Jésus Lui-même corrige Ses Apôtres à différentes reprises: Par exemple, Il les réprimande lorsqu’ils font preuve de jalousie en voyant quelqu’un chasser les démons au Nom de Jésus (Marc IX, 38-40). De même Il blâme sévèrement l’Apôtre Pierre en lui disant que sa façon de penser n’est pas celle de Dieu mais celle des êtres humains (Matthieu XVI, 23). Pareillement, il stoppe net l’ambition de la mère de Jacques et de Jean – fils de Zébédée – accompagnant leur mère, corrigeant avec Amour leur incroyable présomption. Le même épisode est aussi rapporté – avec, en plus, la référence au Baptême – dans l’Évangile de Marc (Marc X, 35-40).

lire plus
Annonce en provenance des Hauteurs de Lumière

Annonce en provenance des Hauteurs de Lumière

Annonce en provenance des Hauteurs de Lumière dans la Tribu du Faucon en Calédonie

Il s’agit d’une Annonce effectué dans le récit « Seabhac – La Tribu du Faucon en Calédonie », reçu par la voyante Charlotte von Trœltsch en 1936. « Seabhac » signifie « faucon ».
Contexte: L’épouse de Seabhac – le Faucon, Prince de la Tribu du Faucon -, Meinin, a eu une Vision et a reçu du Père de l’Univers l’Ordre de la partager au Peuple.
Au Peuple Nuado aux Mains d’Argent [NDLR: Semble-t-il, un grand Guide entéallique] annonce la chose en ces termes:
– « Écoutez, le Père de l’Univers, a honoré Meinin d’une grande Grâce. Elle peut voir la Grandeur des Sages Décisions que le Père de l’Univers prend. Elle vous donnera de grandes Révélations lors de la Cérémonie. N’en parlez à personne, tant qu’elle ne vous l’annoncera pas elle-même. ».
Peu après, Seabhac, son époux, dit à Meinin:
– « Qu’en est-il, Meinin? Il paraît que ma femme veut nous annoncer de grandes Choses à la Fête de demain? ».
A cette question de son époux Seabhac Meinin répond:
– « J’ai pu, ces derniers jours, faire l’expérience de Choses inouïes. Elles sont tellement sacrées que des lèvres humaines peuvent à peine les exprimer. Brigit [NDLR: la fille de Seabhac et de Meinin] m’a dit, il y a de cela quelques heures, que le Père de l’Univers me commande de témoigner de tout cela demain. Veux-Tu prier pour moi, afin que je puisse réussir? ».
A cette question de son épouse Meinin Seabhac répond:
– « Les serviteurs lumineux du Père de l’Univers T’aideront et mes prières T’entoureront. ».
Puis arrive le grand Jour. Donald, le Grand-Prêtre de la Tribu, tout d’abord, fait une annonce préalable:
« Donald marcha vers la Pierre et dit:
« Le Père de l’Univers a accordé une immense Grâce à notre Tribu. Depuis longtemps Il a ouvert à notre Princesse les yeux de l’esprit, si bien qu’elle voit ce que les êtres humains ne voient pas. De merveilleux Événements sont devenus évidents pour elle. La Bonté du Père de l’Univers veut que Meinin nous en informe. Écoutons avec respect et gratitude. ».
Enfin, pour Meinin, arrive le moment de parler:
« Claire et nette, sans hésitation, sa voix retentit…

lire plus