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Lorsque le Jugement arrive…

Lorsque le Jugement arrive…

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« Mene, mene, teqel, upharsin »

מנא מנא תקל ופרסין

Lorsque le Jugement de Dieu arrive, il est extrêmement subit! Dans la Bible, un épisode du Livre de Daniel en donne une bonne illustration…

Le contexte: Le peuple juif est en exil à Babylone. Parmi eux, le Prophète Daniel. Le roi régnant de l’époque est Balthasar, le fils de Nabuchodonosor, celui qui a vaincu les Juifs, détruit le premier Temple, et emmené les Juifs survivants en esclavage à Babylone, mais son temps est désormais étroitement compté!:

Voici l’histoire:
« Mané, Thécel, Pharès » ou, selon la formulation complète, « mene, mene, teqel, upharsin » (en hébreu: « מנא מנא תקל ופרסין »), est une expression dont les lettres apparaissent sur un mur dans le chapitre 5 du Livre de Daniel, lors du festin de Balthazar. Cette inscription d’origine surnaturelle prédit la chute de Babylone.
Dans le Livre de Daniel, le roi Balthazar (ou Belshazzar) de Babylone durant un banquet arrosé, ordonne que l’on apporte les coupes d’or rapportées du Temple de Salomon à Jérusalem par son prédécesseur Nabuchodonosor II. Utilisant cette argenterie sacrée, le roi et sa cour se mirent à louer les dieux d’or, d’argent, de bronze, de fer, de bois et de pierre. Immédiatement, apparurent les doigts d’une main d’homme, et ils écrivirent sur les murs du palais royal les mots מנא, מנא, תקל, ופרסין » » (« Mene, Mene, Tekel u-Pharsin »). Les versions françaises les traduisent par: «Il a été compté: une mine, un sicle et deux demi-sicles» ou «Compté, compté, pesé, et divisé.». La mine et le sicle sont en araméen le nom de devises: « MENE », une mine, « TEKEL », une graphie de shekel ou sicle, « PERES », la moitié d’une mine.
Malgré de nombreuses demandes, aucun des conseillers ou magiciens du roi ne peut interpréter ce présage. Le roi envoya quérir Daniel, un juif exilé capturé par son père Nabuchodonosor et établi à l’époque comme «chef des mages, des magiciens, des astrologues et des devins». Refusant toute récompense, Daniel prévient le roi de son blasphème et déchiffre le texte…

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Je T’appartiens

Je T’appartiens

Je T’appartiens

 « L’être humain ne s’appartient jamais autant à lui-même que lorsqu’il appartient à son Dieu. »

La Prière matinale quotidienne de l’être humain
« Je T’appartiens » – ou « Je suis Tiens » ou « Je suis à Toi » -, c’est par ces simples mots que, chaque jour, devrait commencer la Prière quotidienne de chaque être humain conscient de sa juste place vis-à-vis de son Créateur, dans Sa Création.
« Je T’appartiens », c’est aussi le titre d’une célèbre chanson de Gilbert Bécaud (musique de Gilbert Bécaud et paroles de Pierre Delanoé), qui est rapidement devenu un succès mondial, repris par de très nombreux chanteurs, tant à l’étranger qu’en France.
Ce qui nous intéresse ici, c’est la possible signification spirituelle d’une telle chanson, en concentrant, bien sûr, notre attention sur les paroles.
Il s’y trouve fondamentalement la reconnaissance – cette reconnaissance qui change tout! -, pour l’être humain, de son statut de créature dépendante vis-à-vis de [bien qu’Il ne soit jamais nommé!] son Créateur.
A son Créateur l’être humain doit sa vie. Sans Lui il n’existerait tout simplement pas. Les paroles doivent, toutefois, être examinées de près, afin de voir si tout y est juste…

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Trouver le Bonheur

Trouver le Bonheur

Trouver le Bonheur

Trouver le Bonheur

Pour trouver son Bonheur il suffit de chercher …

La scène se passe dans une école. Au programme: Un exercice spirituel!

A chaque élève de sa classe le professeur distribue un ballon vide. L’élève doit d’abord gonfler son ballon, puis, lorsque, sous la pression de l’air, la paroi est bien tendue, il ou elle doit écrire son nom sur son ballon, puis le lancer par la fenêtre sur la cour. Toute la classe se rend ensuite sur la cour et, à grands coups de coups de pieds dedans, l’instituteur veille alors à ce que tous les ballons soient bien éparpillés dans tous les sens, sur toute la cour.
Puis il donne la consigne suivante:
– Maintenant, que, sur toute la cour, chacun ou chacune cherche et retrouve son ballon (celui avec son nom écrit dessus)! Vous avez cinq minutes!
Au bout de cinq minutes, en dépit de tous les efforts, aucun élève n’a encore retrouvé son ballon. L’enseignant donne alors à ses élèves la nouvelle consigne suivante…

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Ars Moriendi

Ars Moriendi

Ars moriendi

L’Art de {bien} mourir

Les cinq tentations de l’âme

 « Memento mori. »
 « Souviens-Toi que Tu es mortel. »

L’Art de {bien} Mourir
Cultiver l’Art de bien mourir c’est tout simplement se préparer à mourir. Ce qui comprend se préparer à affronter ses démons.
Les « Ars Moriendi » au pluriel, autrement dit « Art(s) de {bien} Mourir », sont caractéristiques de l’état d’esprit régnant à la fin du Moyen Âge jusqu’à la fin de la Renaissance. Bouleversés par les douloureuses épreuves traversées par les peuples de l’Europe à cette époque (guerres, épidémies telles que la peste…), les êtres humains placent la mort au cœur de leurs préoccupations. Afin de tenter de contrer l’angoisse, se développent des genres littéraires et artistiques tels que les « danses macabres », les « vanités », et les « Ars Moriendi ».
Les « Ars Moriendi » – dont il est maintenant ici question – sont des illustrations – souvent des gravures sur bois – présentant un homme allongé sur son lit mortuaire et se tenant donc au seuil de la mort. Secourables, des Anges viennent au chevet du mourant pour l’inviter à s’élever vers le Paradis. Mais, à l’inverse, des démons s’efforcent de retenir l’agonisant en bas dans la matière grossière, en lui faisant regretter les richesses matérielles terrestres dont, du fait de sa mort, il se trouve, à regret, contraint de se séparer.
La parfaite compréhension du sens éducatif des gravures nécessite la connaissance des Lois de la Création. Il faut distinguer le monde terrestre (le mourant, son lit mortuaire, ses amis et sa famille) gros-matériellement visible et le monde immatériel, supra-terrestre, spirituel, auquel appartiennent les anges ainsi que celui de l’Au-delà encore proche de la Terre auquel appartiennent les démons. Seul le mourant a accès à cet univers de l’Autre Monde.
En effet, grâce au processus de la « semi-vision » – ou « vision de transition » – (qui – en attendant que les yeux fin-matériels s’ouvrent pleinement (*) – permet de déjà commencer à voir le plan de l’Au-delà le plus proche à l’aide des yeux gros-matériels), il est comme  à califourchon entre deux mondes. Pour lui, le voile entre le monde gros-matériel lourd et le monde gros-matériel moyen et fin a déjà commencé à se déchirer.
La famille – l’entourage – de l’agonisant est dans le monde gros-matériel, et, de ce fait, ne voit pas les démons. Par contre, les démons, eux, voient les vivants de la Terre et se divertissent à leurs dépens, sans même que ceux-ci n’en aient conscience.
Sur les illustrations les parchemins déroulés sur lesquels des mots sont inscrits correspondent aux « bulles » des bandes dessinées modernes. Cela décrit les paroles prononcées par les démons et les anges.
A noter que l’auteur de ces gravures est un certain « Meister [« Maître »] « E.S. » », ainsi appelé parce que l’on ne connaît que ses initiales, avec lesquelles il signait souvent ses œuvres.

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L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

Le Testament de Heiligenstadt

Lorsqu’un être humain vit sa vie, il est souvent confronté … à son … destin! Autrement dit, à son … karma! Et celui-ci lui paraît, parfois, bien amer. Comme le dit une sentence semi-humoristique: « La vie est dure, lorsqu’on la boit … sans sucre! ». Alors, la question qui lui vient alors souvent à la bouche … c’est …: Pourquoi? Qu’ai-je fait pour mériter cela?
Oui, qu’a-t-il fait pour mériter cela? C’est, en effet, la bonne question, la seule qui puisse lui permettre de remonter la chaîne des causes pour parvenir jusqu’à la racine du problème: le faux vouloir qui a donné naissance à la chaîne de toutes les préjudiciables conséquences. L’être humain est obligé de se remettre en cause, car les circonstances lui donnent tort. Reconnaître et se changer: Il n’y a pas d’autre chemin!
C’est ainsi que le très justement célèbre compositeur allemand, Ludwig van Beethoven, auteur de l’immortel Hymne à la Joie (d’après Friedrich von Schiller) a dû se poser la question: « Pourquoi, moi, musicien et compositeur, suis-je devenu sourd? » C’est ce qu’il fait à merveille, de très touchante manière, dans le document appelé le « Testament de Heiligenstadt ».
Ce document est, en fait, une lettre écrite à ses deux frères, alors qu’il séjournait – pour y reposer ses oreilles – dans une ville appelée Heiligenstadt, dans la région de Vienne. Apparemment, cette lettre n’a jamais été postée, de sorte qu’elle a été retrouvée, après sa mort, dans un tiroir de son bureau. La lettre « Testament de Heiligenstadt » est reproduite, ci-dessous, en traduction française…

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Oui, mais…

Oui, mais…

Oui, mais…

En deçà de l’approche proprement spirituelle – à laquelle « tout le monde » n’est pas immédiatement prêt – il y a l’approche … psychologique. En fait, en langage spirituel, « psychologique » signifie couramment « psychique » ou « animique ». L’on rentre dans le monde de l’émotion, en gardant présent à l’esprit qu’il y a deux sortes d’émotions bien distinctes, les « émotions » purement sentimentales et les émotions animiques.
Dans ce domaine de la psychologie une bonne entrée en matière peut être offerte avec le film « Oui, mais » dans lequel l’acteur français Gérard Jugnot joue de rôle du psychiatre. Il s’agit de faire ressortir les jeux de pouvoir inconscients de la vie quotidienne, auxquels se livrent, tous les jours, la plupart des êtres humains…
Cela peut être une aide à la prise de conscience pour qui – désirant sortir du monde de l’apparence et de la superficialité – veut vraiment devenir conscient du fond des choses et surtout devenir entièrement vrai dans ses relations quotidiennes avec autrui…

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Sachez ce qu’est l’Amour!

Sachez ce qu’est l’Amour!

Sachez ce qu’est l’Amour!

Appel pour la Vie

Aimer, c’est aller vers un autre pour l’aider, vers un être humain, un animal, une plante, une matière, une œuvre!
Mais cette offrande vers un autre est une extension, un élargissement de soi-même allant à la rencontre d’un tiers, qui provoque une décrispation interne, une accélération de la vibration intérieure et par là une élévation de la chaleur interne. Vous ressentez cette accélération dans l’émotion qui vous gagne dans un acte d’amour et vous ressentez le réchauffement dans le Bonheur qui vous envahit.
Dans cette vibration accrue, dans ce dégagement libérateur d’un esprit humain, une Force nouvelle et haute, la Force de la Lumière, peut pénétrer en lui, car ce n’est que dans le Don en Amour que s’éveille la faculté de recevoir et de progresser!
Et quel sera l’effet de la nouvelle Force reçue? Elle soutient l’élargissement de l’esprit provoqué par l’amour et elle consolide le nouvel espace intérieur ainsi gagné.
C’est ainsi que grandit le germe spirituel de l’être humain pour s’épanouir en une forme plus haute, en une noble forme humaine, en une mûrissante personnalité spirituelle.
Tel est le développement que l’être humain doit viser, durant sa pérégrination cosmique, et réaliser dans la pression croissante de la Force acquise. Voilà qui lui permettra, lors de son retour dans sa Patrie spirituelle, de résister à la toute-puissante Pression de la Force du Créateur dans le Paradis et de subsister éternellement comme esprit conscient de lui-même.

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Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

La femme entretient la vie!
Donne à une femme…
 Et Tu récolteras au milluple!

La femme authentique est magique.
Elle embellit, magnifie et fait fructifier tout ce qu’elle touche!

Donne-lui des Fleurs, et elle Te donnera … un sourire!
Donne-lui des graines, et elle Te fera … un jardin!
Donne-lui des légumes, et elle Te fera … un repas!
Donne-lui des poules, et elle Te donnera … une ferme!
Donne-lui Ton chien, et elle lui donnera … son affection!
Donne-lui Ton respect, et elle Te donnera … son Amour!
Donne-lui un sourire, et elle Te donnera … son cœur!
(…)

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Un Exemple d’Humilité

Un Exemple d’Humilité

Élisabeth de Thuringe

Avec Lucien Siffrid nous avons déjà appris à mieux connaître la Vertu de l’Humilité. Nous voudrions maintenant nous intéresser à un cas concret en donnant un exemple célèbre.
Une Princesses hongroise devenue Reine de Thuringe
Il s’agit ci d’Élisabeth de Thuringe  – initialement appelée, en tant que princesse hongroise, Élisabeth de Hongrie, née à  Presbourg, le 7 juillet 1207 –  décédée à Marbourg (où son enveloppe terrestre a sa châsse), le 17 novembre 1231.
Fiancée à quatre ans et mariée à quatorze ans au Landgrave Louis IV de Thuringe, Élisabeth de Hongrie a vécu de 1211 à 1228 au Château de la Wartburg auprès de son époux, de ses quatre enfants (le dernier n’était pas encore né au décès de son mari – survenu peu après son départ pour la croisade -, lorsqu’elle doit quitter le château, parce qu’elle ne voulait pas se re-marier) et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière.
Étant donné que Élisabeth n’avait pas le profil habituel des femmes de la cour, l’entourage du roi Louis 4 fut d’abord hostile à sa présence au château de la Wartburg en tant qu’épouse du roi et reine de la Thuringe. Alors le roi Louis IV de Thuringe leur répondit:
– « Voyez-vous, leur dit-il, cette grande montagne en face de nous? Eh bien, quand même vous me donneriez une quantité d’or plus considérable que cette masse gigantesque, je ne renverrais pas Elisabeth. ».
Le roi était conscient du Trésor qu’en la personne d’Élisabeth il avait dans son royaume, son château et son foyer.
Élisabeth disait:
– « Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-Il pas me voir joyeuse? Puisque je L’aime et qu’Il m’aime? ».
Un évocateur et admirable personnage féminin – une sorte de Mère Thérésa du Moyen Âge – suscitant, encore aujourd’hui, l’admiration des habitants non seulement de sa Hongrie natale mais aussi de ceux de sa Thuringe d’adoption, sans parler des innombrables étrangers, Chrétiens ou non…

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La Grande Pyramide révèle son Secret

La Grande Pyramide révèle son Secret

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– Extraits –

Considérations sur la Santé
«Le rythme de la vie du corps est troublé par une nourriture mal adaptée! Le sang devient impur, et circule mal dans les veines», tel était l’enseignement de Magog.
Les trois Initiés, capables de voir avec leurs yeux animiques, observaient des petits doigts qui travaillaient assidûment. Ils détachaient les fils presque invisibles dont était constitué le «ruban d’argent» reliant le corps gros-matériel au corps astral. C’étaient ces mêmes petits doigts des entéaux Manen qui avaient tissé autrefois ce lien fin-matériel.
Il y a deux sortes de Manen: Les grands et les petits. Tous portent de longues tuniques vert clair avec des capuchons blancs, serrés sous le menton par des lacets, pareils à ceux des enfants.
Les petits Manen mesurent à peine une cinquantaine de centimètres. Les autres, beaucoup plus grands, sont aussi présents lors de la mort physique d’un humain. Les petits détachent le ruban d’argent reliant le corps gros-matériel au corps astral, pendant que les grands dénouent le cordon de liaison entre le corps astral et l’âme.
Rien ne se noue ni ne se dénoue sans intermédiaire. Partout et au bon moment, des mains laborieuses s’activent pour faire le travail nécessaire.
«Tout ce qu’un être humain fait à autrui, créature humaine ou animale, que ce soit pour le Bien ou pour le mal, il ne le fait qu’à lui-même!»
«La souffrance éveille le cœur! Et les larmes du repentir lavent la faute!» – Thisbé -.
«Vis de telle sorte que nul ne souffre par Ta faute! Et vis de telle façon que nul ne pèche à cause de Toi!» – Thisbé –
«Les maladies surgissent lorsque l’esprit et le cerveau du corps physique ne collaborent plus l’un avec l’autre, mais quand ils agissent l’un contre l’autre.» (Sargon – Suprême-Grand-Prêtre de la Chaldée)
«Des maladies répugnantes, comme celles que Tu vois ici, ne peuvent se former que chez des gens négligents qui pèchent contre la Loi céleste. Le mal surgit lorsque la Foi pure se trouble.» (Sargon)
«Tout dans le monde a une odeur qui lui est propre. A plus forte raison chaque maladie, et surtout la mort. Avant que celle-ci n’ait lieu, une décomposition commence.»

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