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Maternité

Maternité

Maternité

Par Eva-Margret Stumpf

La maternité peut être développée par chaque femme,
Elle n’a pas besoin d’être mère elle-même.

Combien de nombreuses tâches il y aurait pour les femmes, une fois qu’elles se seraient libérées de l’erreur de croire que la maternité corporelle est leur unique objectif! Poussez donc {plus loin}! – Vers la Liberté et la Dignité spirituelles! Ne vous laissez pas tenir emprisonnées dans le domaine corporel! Conquérez la véritable indépendance! Vous suivez en cela des chemins complètement faux!

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Simon Belvalo – Le destin d’un paresseux

Simon Belvalo – Le destin d’un paresseux

Simon Belvalo

Le destin d’un paresseux

Conte de André Fischer

Le temps, cette année, était favorable au coton. Cependant Roger Vic, administrateur du domaine d’Aïrdé, hésitait à aller voir le propriétaire de la plantation. Il suivit l’ombre des palmiers qui contournait la cour au sable chaud et éblouissant, et s’approcha lentement du bungalow blanc aux encadrements bleu clair. Roger Vic se demandait s’il parviendrait à décider Simon Belvalo à parer au danger!
Il trouva le planteur installé comme d’habitude à la véranda. Le petit homme aux paupières lourdes et aux chairs flasques était allongé sous un ventilateur qui remuait l’air de ses pales fatiguées.
Belvalo reçut cordialement son administrateur. Cela encouragea Vic à parler franchement:
– Les noirs ne veulent plus écouter Bourkha-Barhoo!
– Et après?, demanda Simon Belvalo, surpris.
– Et après? Voilà sept semaines, ne l’oubliez pas, que nous n’avons plus de quoi les payer. Il y a longtemps qu’ils nous auraient mis en morceaux, n’était ce curieux sorcier qui les exhorte à la patience. Mais maintenant ils exigent leur dû et Bourkha-Barhoo, paraît-il, ne parvient plus à les calmer.
– Bourkha-Barhoo, le Maestro des Serpents!, scanda Belvalo avec un net accent italien. Écoute-moi bien, Vic, aucun blanc ne l’a jamais vu, cet illuminé, et il existe aussi peu que Barbe-Bleue de vos contes de France. Va, promets double paye aux noirs, et qu’ils attendent la récolte!
*
Roger Vic ne retourna pas à la plantation, mais s’enferma dans sa case et prépara son départ d’Aïrdé. Que n’aurait-on pu faire de ces terres, les seules du Haut Niger où le coton réussissait à merveille! Mais si le maître est un fainéant, de malins aventuriers ont tôt fait de vider ses poches. Et Belvalo aimait trop jouer au grand seigneur pour prendre les avertissements au sérieux. Non, Vic ne tenait pas à voir la fin de cette histoire.
*
Simon Belvalo, originaire de Sicile, avait dix ans lorsque ses parents acquirent en 1869 la plantation d’Aïrdé. Puis, jusqu’à sa quarante-deuxième année, il passa son temps entre l’Afrique et les plages mondaines d’Italie et de France. Après la mort de ses parents, en 1902, le domaine périclita rapidement.

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Dignité royale

Dignité royale

Dignité royale

A chaque être humain il est donné  de se créer un royaume dans lequel il règne. –
C’est le royaume des fines forces avec lesquelles il travaille. En font partie ses pensées les plus intimes, ses intuitions, et, avant tout, sa force de représentation, dont vous ne vous faites toujours pas une juste idée, bien que ses effets confinent au merveilleux!
Si vous pouviez seulement, {rien qu’}une fois, voir ce que des êtres humains individuels créent et mettent au monde, {ceux} qui ont appris à travailler avec elle, vous ne pourriez plus sortir de l’étonnement! Ils construisent déjà l’avenir à l’avance, formé à partir d’une matière plus fine [NDLR: la matière fine] que la matière extérieure qui vous entoure de façon tangible. Tout ce qui les touche profondément, tout ce qu’ils vivent de part en part avec force, prend forme [Form: forme] et forme [Gestalt: forme, silhouette].
Très vivant est le monde plus fin [NDLR: le Monde fin-matériel] autour de ces êtres humains, – il forme un certain entourage qui les entoure comme un royaume propre, dans lequel ils règnent. Ils admettent, ils excluent, ils forment constamment à nouveau, et tout cela en fonction de leur genre propre, tout à fait personnel. A bon droit, l’on peut le nommer leur propre royaume, dans lequel – pareils à un roi – ils règnent, conscients et sages.

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What is Love?

What is Love?

What is Love?

Qu’est-ce que l’Amour?

Qu’est-ce que l’Amour? Réponse de Hagit Rabbi (en anglais, possiblement sous-titré), interviewée par Tal Badt.

SPIRIT TIME: Podcast With Hagit Rabbi – #2 What is Love?
In this episode, Tal Badt and Hagit Rabbi explore our current time as a gateway to a new era. This period calls for our evolution into new human beings, or more precisely, into the beings we were always meant to be according to the Plan of Creation: individuals guided not by intellect or emotions, but by the spirit within.

TEMPS DE L’ESPRIT: Podcast avec Hagit Rabbi – #2 Qu’est-ce que l’Amour?
Dans cet épisode, Tal Badt et Hagit Rabbi explorent notre époque actuelle comme une porte d’entrée vers une Nouvelle Ère. Cette période appelle pour notre évolution en tant que nouveaux êtres humains, ou, plus précisément, en tant que les êtres que nous avons toujours été censés être selon le Plan de la Création: des individus guidés non par l’intellect ou les émotions, mais par l’esprit qui est en eux.

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Pas de publicité mais du Rayonnement!

Pas de publicité mais du Rayonnement!

Pas de publicité mais du Rayonnement!

La publicité ou la propagande, c’est: «Nous voudrions que les autres soient ce que nous devrions être!»

Le Rayonnement, c’est: «Nous devons être ainsi que nous voudrions voir les autres!».

Car la question est toujours uniquement:

« Qu’ai-je fait, au cours de toutes ces années, avec l’immense Force qui me fut accordée par LUI? » « Et seul ce que j’ai fait est déterminant, c’est ce qui m’élève ou bien ce qui m’enfonce! ».

C’est le grand danger dans lequel le meilleur vouloir peut nous précipiter. Et précisément ce meilleur vouloir qui, dans le vouloir-faire-encore-mieux, dans le mouvement de vouloir conduire à la Vérité tous ses bien-aimés, les amis et les connaissances, de vouloir faire accéder le plus grand nombre de personnalités possibles à la Parole, ce bon vouloir assuré est un vouloir entravé. La ligature réside dans le fait que l’esprit humain concerné fait dès l’abord de la publicité et doute ainsi de la Justice dans la répercussion des Lois incorruptibles.

Sa volonté, celle qui est ligotée, veut que ses candidats trouvent la Lumière. Mais où réside, maintenant, la libre volonté de l’esprit humain – que nous devons considérer avant tout -, s’il accepte la Vérité, parce que nous l’avons voulu ainsi? Si le candidat est un véritable chercheur, il trouve assurément la Parole, peut-être même sans nous. Et c’est en cela que réside la Justice. Elle réside, en effet, uniquement dans le Rayonnement. Et le Rayonnement est tout. Notre unique devoir consiste seulement à concentrer toute notre force à la libération de notre volonté entravée.

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Le Jugement Dernier serait-il vraiment proche?

Le Jugement Dernier serait-il vraiment proche?

Le Jugement Dernier serait-il vraiment proche?

Roselis von Sass

L’Horloge de l’Univers fait maintenant signe à l’humanité. Et ce signal signifie que le temps de développement destiné à l’espèce humaine a expiré. Bien long fut le temps accordé à chacun. Plusieurs centaines de millénaires furent accordées à chacun… L’humanité entière devrait avoir acquis un degré déterminé d’évolution spirituelle. Dans l’En-Deçà ainsi que dans l’Au-delà!
Or, cela n’a pas eu lieu. La plupart ont suivi la mauvaise direction et se sont adaptés à un faux rythme de vie! Et ainsi se trouvent-ils maintenant, face à leur Créateur, médiocres, immatures et pauvres d’Amour. Ils sont telle l’ivraie qui, puisque inutile, doit être emportée par le vent.
Tout cela paraît bien méchant et semble ne point s’accorder avec l’idée fantaisiste que se firent les êtres humains de l’Amour de Dieu…
L’Horloge de l’Univers, néanmoins, ne se soucie guère des valeurs ou des dépréciations humaines. Lorsque expira le Délai pour le développement, elle le signala, et par ce Signal commença le Jugement Dernier.
Lorsque cela eut lieu, nous comptions sur la Terre l’année de “1929”. Quatre décennies se sont écoulées [NDLR: « O Livro do Juizo Final » – « Das Buch des Gerichtes » – « Le Livre du Jugement Dernier » a été publié en 1969] depuis que le retentissant et brûlant signal de l’Horloge de l’Univers a vibré à travers toutes les couches de matière grossière fine autour de la Terre, en faisant tressaillir tous les êtres de la Nature…
Quatre décennies! Guerres, révolutions et maladies atteignirent l’humanité. Et des fleuves de sang et de larmes ont coulé. Néanmoins, les événements survenus jusqu’ici représentent d’insignifiants préludes face à ce qui se déroulera encore.
Nous sommes [NDLR: en 1969] à la moitié du Jugement Dernier. La seconde phase prend maintenant son début… (…) Que c’est long! Oui, c’est bien long pour les êtres humains qui se croient eux-mêmes {être} le centre de l’Univers.
Pour l’horaire de l’Univers, cependant, un millénaire terrestre n’est qu’une brève pulsation de temps.

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La réincarnation de l’adolescente décédée

La réincarnation de l’adolescente décédée

La réincarnation de l’adolescente décédée

C’était bien elle, assise sur le rebord de la fontaine de pierre se détachant sur un fond de ciel lumineux. L’eau jaillissante de la source dessinait une succession de cercles qui s’estompaient à la périphérie de l’étendue d’eau pour réapparaître au centre en un rythme harmonieux. Je contemplais cette paisible animation et je ressentis en un éclair la plénitude du mouvement parfait des cycles éternels.
Ma jeune belle-sœur rayonnait. Joyeuse, elle me souriait. Depuis sa mort survenue dix années auparavant nous ne nous étions encore jamais rencontrées en rêve. J’avais souvent pensé à elle avec le regret de n’avoir pas eu le temps de lui apporter toute l’aide voulue dans sa quête naissante de la vérité. Je m’assis à sa gauche, heureuse de la retrouver. Elle posa gentiment sa joue contre la mienne. Toute à ce nouveau bonheur, je lui dis.: «Je vais pouvoir t’apporter ce que je n’ai pas eu le temps de te donner auparavant.»
Je me levai et lui saisis les mains pour la regarder bien en face, car, depuis le début de notre rencontre, je ne parvenais pas à distinguer la partie droite de son visage. J’en compris immédiatement la raison, car cette partie était sans traits, semblable à une tâche d’ombre. Au même instant, je sus intuitivement ce que cela signifiait: ma belle-sœur allait prendre une fois encore un nouveau corps charnel. Elle allait se réincarner sur Terre. Cette impression fut si forte que je m’éveillai aussitôt.
Cette expérience m’avait tant bouleversée qu’au matin je n’en parlai pas à mon mari. J’avais depuis longtemps déjà la conviction de l’existence des vies successives sur Terre. Je préférai cependant conserver le silence, car il m’était difficile d’annoncer un événement si extraordinaire sans “preuves”. Mais… il était prévu que les choses se passent autrement. Dès la nuit suivante, ce fut au tour de mon mari de rêver…

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L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’après-midi était bien avancée et la conversation très animée. Je me trouvais en compagnie de quatre amis. Motivés par le plaisir de se rencontrer, ils avaient répondu à mon invitation. Depuis le début du repas, nous avions évoqué plusieurs sujets professionnels, politiques et culturels. L’un de mes amis évoqua le devenir des personnes célèbres (artistes, sportifs, hommes politiques). Il expliquait l’étonnement qu’il éprouvait chaque fois qu’une “vedette” voyait son existence bouleversée par un événement inattendu. Tel numéro un du tennis avait perdu toute sa fortune, tel boxeur mondialement connu avait tué sa femme, tel pilote de formule 1 avait été brûlé sur tout le corps, tel chanteur disparaissait à la fleur de l’âge. Les exemples ne manquaient pas.
La discussion s’orienta vers la destinée qui hisse certaines personnes vers les sommets du vedettariat ou de la célébrité. Monter si haut dans l’échelle sociale et se retrouver, un jour, confronté à la réalité de Monsieur ou Madame “tout le monde”! Pris dans le feu de la conversation et ne voulant pas être en reste de propos, je rappelai, à mon tour, le cas de ce boxeur noir, âgé de 19 ans, qui, au début des années 60, remporta le titre de champion du monde de la catégorie poids lourd.
Je le revoyais crier sa joie à la face du public, tout gonflé du sentiment de sa puissance, qu’il pensait inaltérable. Je demandai à mes amis s’ils se remémoraient ce que ce boxeur – aujourd’hui atteint d’une maladie inguérissable – avait hurlé à la foule. Aucun ne s’en souvenait.
Je mimai alors le comportement du boxeur en me redressant et en levant les bras au ciel comme lors d’une invocation et me mis à crier: «Je suis le dieu de la boxe!». Chose étrange, en formulant cette phrase, je me sentis gagné par le plaisir de paraître, et cela uniquement parce que mes amis ignoraient cette information.
Cette impression orgueilleuse qui m’avait échauffé le cerveau l’espace de quelques instants disparut, bien vite remplacée par un frisson glacé qui me parcourut toute la moelle épinière. Simultanément, je fus envahi par une puissante intuition: je sus que je venais de commettre un sacrilège en abusant du Saint Nom.

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La mer des tentations

La mer des tentations

La mer des tentations

Une mer de tentations submerge le monde, et l’humanité nage à l’envi dans les eaux saumâtres et pestilentielles des plaisirs à saisir dans un engouement qui frise la folie. Chacun s’y ébat avec délectation, avec jalousie à l’égard de ceux qui jouissent beaucoup plus des objets multiformes du plaisir: argent, sexe, dominations, pouvoirs, luxe et luxure.
La tentation par le biais de la publicité, son âme damnée, avec sa flèche ténébreuse qui incite-excite sans cesse le réseau social de la consommation. La tentation électrise tout, galvanise tout. Dans les entreprises, elle se diffuse comme un poison dans l’eau, son nom: la croissance, avec ses objectifs pour une quête matérialiste constante du “toujours plus”, avec ses outils combatifs: objectifs commerciaux, manipulations, promesses, mensonges, séductions, images télévisuelles numérisées.
Dans le quotidien des gens, elle crée une tension constante pour le désirable que possède l’autre, ajuste les comportements des uns pour ressembler aux images colportées par d’autres. Elle est abrutissement, car la tentation est la reine du nivellement par le bas.
Asseyons-nous, un instant, à la terrasse d’un café pour y voir défiler la foule. Elle se déplace comme un seul homme, conditionnée par son téléphone et son style vestimentaire américanisé, ghettoïsé. La tentation est au centre des échanges et des discussions, il y a toujours quelqu’un à jalouser ou à déblatérer, quelque chose de quelconque à désirer ou à moquer.
La tentation enlise les âmes humaines dans le mouroir des illusions matérielles où se construit désormais la grande motivation existentielle. Elle domine aussi l’éducation, en servant à nourrir le corps enseignant: «Étudiez, il n’y a que de cette façon que vous réussirez dans la vie!».

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Foi et Miracle

Foi et Miracle

Foi et Miracle

Par August Manz

– Extraits –

Dans presque toutes les religions, le Miracle joue un rôle important et significatif. Il est même souvent capital pour dans la persuasion des adhérents de l’exactitude de leur enseignement. L’on entend ainsi, par miracle, un évènement dont la raison naturelle est au premier abord inexplicable. Qui semble, oui, directement contredire les Lois de la Nature! Un évènement que les hommes attribuent, de ce fait, à des forces surnaturelles, et, pour ceux qui croient en Dieu, à l’Action directe même de la Force Divine. Les êtres humains considèrent le miracle comme quelque chose qui se produit en dehors des Lois naturelles, qui s’oppose même à toutes les Lois naturelles.
Même dans les religions chrétiennes, l’on s’accroche à cette croyance aux prodiges. Les Miracles de Jésus y sont enseignés comme étant des évènements surnaturels, en dehors des Lois de la Nature. Ainsi l’église catholique se cramponne fermement à l’idée que des miracles se produisent encore aujourd’hui: par l’action des saints, dans les lieux de pèlerinage, dans l’Eucharistie de la messe.
Dans cette confusion des concepts, les Révélations (…), illuminant les ténèbres inextricables, tel un éclair, ont apporté la simple et claire Explication: Il n’existe pas de miracles qui s’opposent aux Lois de la Nature, ils ne peuvent absolument pas exister. Pour les êtres humains, un miracle est une chose qui n’est possible qu’à leur Dieu. Il manifeste ainsi Sa Grâce particulière et utilise Sa Toute-Puissance.
Ces pauvres êtres humains s’imaginent, à tort, la Toute-Puissance Divine comme étant la possibilité d’accomplir des actes arbitraires, et ils considèrent les miracles comme précisément des actes arbitraires. Ils ne réfléchissent pas, combien – ce faisant – ils rapetissent ainsi {la Notion de} Dieu, car, en réalité, s’ils pouvaient exister, ce genre de miracles seraient tout sauf divins. Dans les Œuvres Divines reposent avant tout la Perfection absolue, sans erreur et sans lacune. La Perfection exige une stricte Logique, une rigoureuse suite de conséquences logique à tous égards.

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