Ecole de l'art de vivre

Histoire de la grenouille cuite

par | 16 Nov 2023 | Devenir Libre, Se Détacher du faux | 1 commentaire

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La grenouille cuite

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Une expérience hautement significative

Soit, placée sur un trépied, une marmite remplie d’eau froide (entre 0° et 10° C), dans laquelle barbote tranquillement une grenouille.

Un feu doux est alors allumé sous la marmite; l’eau chauffe très progressivement. Elle est bientôt tiède (20° C à 30° C). La grenouille trouve cela franchement agréable et continue à barboter paisiblement.

Graduellement, la température continue à monter. L’eau est maintenant chaude (45°C.). C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais, saisie par une relativement agréable torpeur, elle ne s’affole pas pour autant, mais barbote juste plus lentement.

Quelques minutes plus tard, l’eau devient, cette fois, vraiment très chaude (60° C). La grenouille commence à trouver cela franchement désagréable, mais l’eau trop chaude, agissant de façon émolliente, l’a, en même temps, affaiblie et anesthésiée, alors elle supporte passivement la situation et ne fait rien pour s’en sortir.

La température de l’eau continue encore à s’élever (80° C), jusqu’au moment où, avant même que l’eau ne soit parvenue à ébullition (100° C), la grenouille va tout simplement finir par cuire et donc mourir, sans jamais avoir fait, à temps, quelque chose pour s’extraire de ce milieu pourtant, entre temps, devenu, pour elle, mortel. (D’après Olivier Clerc.)

Une salutaire Réflexion

Maintenant, réfléchissons: Si cette même grenouille avait directement été plongée dans de l’eau à 50° ou 60° C, elle aurait immédiatement donné le coup de pattes arrières salvateur, qui l’aurait aussitôt éjectée hors de la marmite, la préservant d’une horrible mort et sauvant ainsi sa vie…

Cette expérience montre, à l’évidence, que:

Lorsqu’un changement négatif s’effectue
d’une manière suffisamment lente,

il échappe largement à la conscience
et ne suscite alors, la plupart du temps,
aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.

Ce n’est même plus une lutte contre le milieu hostile, mais uniquement un sinistre, lent et mortel enlisement

Si nous observons ce qui se passe, depuis quelques décennies, dans notre monde, avec sa «civilisation» de plus en plus cosmopolite et mondialiste, nous pouvons constater que nous subissons une lente dérive, à laquelle, sans plus aucun sursaut de la conscience, nous nous habituons fort bien…

De nombreux événements et comportements qui, il y a encore 20, 30, 40 ou 50 ans, nous auraient tout simplement soulevés d’horreur et de dégoût, ont été, peu à peu, banalisés, édulcorés, et même légalisés, et ne nous dérangent plus que fort mollement à ce jour, ou même laissent carrément indifférents la plupart de nos concitoyens…

La cuisson est en cours

Au nom du fallacieux «progrès» et de la «science» sans conscience, les plus grandes atteintes à la Liberté personnelle, à la Dignité du Vivant, à l’intégrité de la Nature, à la Grâce de pouvoir exister et à la Beauté de la Vie, s’effectuent lentement mais inexorablement, avec la constante et quasi-totale complicité des victimes, ignorantes, amorphes ou impuissantes.

Les noirs tableaux annoncés, pour l’avenir, par de modernes Cassandre, au lieu de susciter, par un sain instinct de survie, de vigoureuses réactions assorties d’adéquates mesures de prévention, ne font que psychologiquement préparer les peuples à accepter, toujours plus passivement, des conditions de vie décadentes et même carrément suicidaires

Le gavage permanent des cerveaux, sursaturés, par la publicité, la presse à la solde des pouvoirs en place, la télévision et les pseudo «grands débats de société», de choses inutiles et donc nuisibles, est tel que les individus ainsi abrutis n’arrivent plus à clairement discerner entre le réel et le virtuel, entre la réalité et la fiction.

Conséquences gros-matérielles de la terrible et funeste hyper-domination du seul intellect, les lobbys de l’énergie nucléaire, des engrais chimiques, du clonage, du « génie génétique », de la médecine de masse, des OGM et du reste ont déjà progressivement grignoté ce qui restait de notre libre vouloir, au point qu’il devient même illégal de vouloir manger sain, répréhensible de vouloir se soigner selon sa conscience et condamnable de vouloir échapper aux vaccinations de masse démocratiquement obligatoires pour tous…

(Avec nos remerciements à l’auteur inconnu…)

La cuisson finale…

Mais le pire reste, sans doute, encore à venir, car voici qu’arrivent déjà, par exemple, les micro-puces électroniques sous-cutanées «Verichip», microprocesseurs, de la taille d’un grain de riz, mises au point, en Floride, par la société Applied Digital Solutions. Ces puces, apocalyptiquement annoncées [1], et implantées sous la peau, émettent un signal lisible par un décodeur spécial identifiant tous les paramètres sociaux, médicaux et autres de l’individu… Les malades, en attendant les enfants vulnérables et les vieillards séniles, en sont, aux états-Unis et ailleurs, les premiers chanceux « bénéficiaires ».

L’implantation coûte là-bas 200 $ (pour l’instant il faut encore payer, mais nul doute que, lorsque, comme l’école de Jules Ferry, ce sera devenu obligatoire, ce sera aussi devenu gratuit!), plus, bien sûr, 19 $ d’abonnement mensuel pour l’entretien des bases de données. Vos enfants seront la prochaine cible et peut-être vous, si Heilzheimer vous rend visite… Pratique, non?

Et puis, encore un peu plus tard, ceux qui refuseront la dite micro-puce sous-cutanée perdront, progressivement, l’accès aux établissements publics, aux autoroutes, et surtout aux banques; sur les routes, la police, veillant à la «sécurité» de tous les citoyens, au lieu de vous faire «souffler dans le ballon», vérifiera, bien sûr, si vous avez bien votre puce et si elle est à jour.

Alors, si vous n’êtes pas, comme la grenouille de l’expérience (expérience en passe de devenir une fable), déjà à moitié cuits, alors, avant qu’il ne soit trop tard, donnez donc, pour sortir de l’infernale marmite, le salutaire coup de pattes!

 

OU BIEN ÊTES-VOUS DÉJÀ TROP «CUITS»?

 

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Note 1:

[1] Voir, à ce sujet, le texte: «Sors de Babylone, Mon Peuple!», Et aussi le texte: «Au sujet de la marque de la Bête».

 

1 Commentaire

  1. Deh Assy

    « La grenouille cuite »

    Seul l’esprit en nous a à se décider pour être ou pour ne plus être.

    Complétement plongé dans ce sommeil léthargique, seule une thérapie de choc brutale peut lui offrir une dernière planche de Salut, dans la douleur.

    Et c’est tout ce qu’Il y a à espérer pour tous les esprits dormeurs de notre monde engourdi à cause des stratagèmes insufflés par les ténèbres appelés progrès.

    Réponse

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