Ecole de l'art de vivre

Vivre en Conscience

Abonnez-vous à notre infolettre

Fil Telegram

Réseaux Sociaux

Articles récents

  1. Dans la logique de l’article ci-dessus, sur les 24 Vertus, dans l’ordre alphabétique en français, les 12 Vertus Fondamentales sont:…

  2. Quelles sont les 12 vertus fondamentales?

  3. Par la beauté de la Création, notre Dieu nous invite chaque jour à développer ce sentiment d'admiration. Comme le mentionne…

  4. La vengeance Le vengeur est toujours souffrant de la vengeance qui le ronge! Sa libération se trouve dans le pardon…

  5. Le Sixième Sens Mais où existe-t-il un être humain qui ne soit pas débiteur envers Dieu? Le mot "miséricorde" devrait…

  6. "Tout est Grâce" Ces quelques lignes englobent l'état d'esprit dans lequel chaque être humain devrait s'efforcer d'aspirer, s'il ne veut…

Savoir et Conscience

Savoir et Conscience

Savoir et Conscience

Lucien Siffrid

Il y a deux sortes de «savoir»: Le savoir intellectuel et le Savoir spirituel. Le Savoir de l’Esprit n’a aucun rapport avec le savoir de l’intellect, pas même la moindre ressemblance. Il ne peut pas être saisi par l’intellect. Encore moins la Conscience peut-elle être comprise par l’intellect, car c’est le Savoir du «G», cela signifie: {Savoir} de l’Esprit, de la Loi, de DIEU. Ce Savoir, cette conscience qui repose en nous, n’est en rien {quelque chose d’}appris, en rien {quelque chose de} propre à nous, dans le sens terrestre. Tout aussi peu, les facultés reposant en nous ne sont pas nos {facultés}, mes facultés. Notre unique propriété est la décision {de déterminer} si nous développons ces dons ou {si nous les laissons} s’atrophier.

Un ne pas vouloir développer et utiliser ses Facultés dans le Sens des Lois de la Création est un péché contre l’Esprit. Les Facultés ont été plongées en nous par la Lumière dans le but de conduire l’humanité, la Création entière, à la Lumière. Par la Lumière elles nous ont été données, à la Lumière elles doivent servir, à la Lumière nous devons, au sujet de leur utilisation, rendre compte. Si je fais de ces Facultés seulement prêtées mes propres Facultés, l’indispensable Cycle du Donner et du Recevoir s’interrompt. Nous nous rendons coupables. Le péché contre l’Esprit, contre la Loi, contre la Force, contre la Vie, ne peut pas être pardonné: dans la Loi de l’Effet de Réciprocité, les conséquences du vouloir propre, inévitablement, retombent sur nous.

Le Savoir de l’Esprit et la Conscience se manifestent par la pure Intuition, qui nous saisit avec une extrême acuité, qui nous dit la claire Vérité, qui nous fait trembler dès que nous laissons place à une pensée impure, que nous commettons un acte égoïste, que nous nous abandonnons à un quelconque penchant. Le Savoir et la Conscience constituent la base solide, le fondement sur lequel doit être érigé le magnifique édifice de la maîtrise du destin de la vie. Ils sont la vivante conviction de la réalité, de «ce qui est», à partir de laquelle toute vie afflue vers nous. Le savoir intellectuel et l’édifice d’apparat édifié sur lui ne peuvent jamais avoir cette capacité porteuse, cette résistance. Le savoir de l’intellect – même de premier ordre – n’a pas de fondements éternels; il est empilé sur le terrain chancelant de concepts éphémères se modifiant constamment.

Savoir et Conscience, je les ai, lorsque, par exemple, à mon adversaire, à qui je dois la plus grande partie de mon évolution, j’envoie des pensées d’amour. Il est, en réalité, mon ami. Car il est celui qui m’ôte le travail le plus difficile de tous, {celui} de demeurer éveillé: je dois énergiquement me ressaisir pour ne pas lui offrir un point faible. N’est-ce pas digne d’un merci? Sans lui, serais-je parvenu à telle ou telle reconnaissance? Le fait qu’il me poursuive avec des intentions déloyales, que ses motivations ne soient pas morales, est, pour moi, pour ma propre évolution, tout à fait insignifiant, car cela n’en vient pas à l’exécution par l’action de ses motivations déloyales.

L’accomplissement de la Parole du Christ: «Aime Ton prochain comme Toi-même!» réside dans le fait que j’ai pu reconnaître dans l’adversaire, qui est mon prochain, qu’il m’aide sans le savoir. Il agit à partir du degré auquel il s’est lui-même «placé». Il s’agit donc de sa «loi». à cette répercussion de la Loi, qui place chaque être humain dans la réalité tissée par lui, donc dans sa réalité, s’applique l’amour de celui qui a reconnu.

lire plus
Un Enfant

Un Enfant

Un Enfant

Un Enfant! Ah! ce nom chante dans les étoiles!
Un être qui, tout en tissant sa propre toile,
Vient habiter chez nous, vivre notre destin,
Et partager un peu de ce qui nous atteint!

Un Enfant! Mot par qui l’Univers entier tremble!
Un être qui, à nous, assurément, ressemble,
Qui a Ton sourire, mais aussi mon regard,
Qui a Tes blonds cheveux, mais aussi mes égards.

Pourquoi est-il « à nous », tout en étant lui-même?
Pourquoi nous aime-t-il? Dis, Toi, pourquoi Tu l’aimes,
Pourquoi ce petit être est assez grand pour moi,
Puisqu’il est la cause de mes plus doux émois?

Plus longtemps, mon Aimée, je ne puis pas le taire,
C’est grâce à notre Amour qu’il est venu sur Terre!
C’est ainsi que le veut notre grand Créateur,
Il veut que l’Amour Seul apporte ce Bonheur!

lire plus
La Guide du juste Cadeau

La Guide du juste Cadeau

Le Guide du juste Cadeau

Un cadeau doit être utile

Noël est traditionnellement l’époque où les êtres humains s’échangent des cadeaux. Le mot «Noël» signifie «Naissance» ou «Nativité». Il s’agit, dans l’Occident chrétien, de célébrer la Naissance de Jésus-Christ, reconnu en tant que Fils de Dieu Sauveur.

Au départ, la coutume de se faire mutuellement des cadeaux trouve son origine dans le fait que Noël est une Fête de l’Amour, puisque, selon la croyance chrétienne, c’est par Amour que Dieu le Père a envoyé Son Fils Jésus (Nom signifiant «Dieu Sauve») à l’humanité pécheresse et égarée, que c’est aussi par Amour que le Christ est venu S’incarner dans l’humanité, et aussi parce qu’Il est Lui-même l’Incarnation, la Personnification de l’Amour de Dieu.

Même s’il n’a pas ou plus, pour eux, de signification spirituelle ou religieuse, de nombreux non-Chrétiens, qu’ils appartiennent à d’autres confessions religieuses ou qu’il soient agnostiques, célèbrent également Noël, en lequel certains d’entre eux, malgré leur indifférence religieuse, reconnaissent quand même en Noël une Fête de l’Amour et donc une occasion de réjouissance, de sorte que, comme les Chrétiens, ils se font aussi mutuellement des cadeaux.

Or, si l’on offre des cadeaux à ses proches et à ses amis, c’est justement, en principe, parce qu’on les aime. Mais est-ce aimer un alcoolique que de lui offrir une bouteille d’alcool? Est-ce aimer un fumeur que de lui offrir une pipe ou une boîte de cigares? Est-ce aimer un drogué que de lui offrir le kit du «parfait» héroïnomane? Est-ce aimer un bagarreur que de lui offrir un couteau à cran d’arrêt? Est-ce aimer un goinfre que de lui offrir un énorme gâteau à la crème et de grosses boîtes de chocolats? Est-ce aimer un fou du volant que de lui offrir un cabriolet de sport montant à 240 kms/heure? Est-ce aimer un petit enfant que de lui offrir, parce qu’il apprécie le spectacle du feu ou parce qu’il aime jouer au cow-boy, un briquet ou une véritable arme à feu? Etc., etc.

Poser toutes ces questions, c’est déjà y répondre.

lire plus
Éveil à la Féminité Consciente

Éveil à la Féminité Consciente

Éveil à la Féminité Consciente

Dans l’esprit et dans le cadre de l’École de L’Art de L’Art de Vivre, particulièrement soucieuse de réveiller la Nostalgie de la Lumière chez les femmes en qui elle n’est pas encore complètement éteinte – animé par une femme porteuse de cette aspiration – un groupe Facebook privé dédié et réservé aux femmes désirant être, devenir ou redevenir de vraies femmes selon les Lois de la Création et les Commandements Divins vient d’être créé (le 05/01/2025).

En tant que réponse au présent Appel à la Féminité il est possible à toutes les femmes répondant à la description ci-dessus de rejoindre ce groupe privé en cliquant sur le lien ci-dessous:

Éveil à la Féminité Consciente

lire plus
Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Noël, neuf mois plus tôt

Au centre du village, la jeune fille était à la fontaine et puisait de l’eau. Son sac sur le dos, le randonneur était arrivé sur la place et, assoiffé, regardait la fontaine. Il attendait que la place soit libre pour étancher sa soif…
En attendant, il regardait la jeune fille. Elle était très belle. Brune, élancée, avec une naturelle distinction. Elle portait aussi un voile sur la tête, couvrant en partie sa longue chevelure d’un noir de jais.
Lorsqu’elle eut rempli sa cruche, elle regarda autour d’elle – avait-elle aperçu le jeune randonneur ? – puis prit un chemin se dirigeant vers l’extérieur du village. Sylvain – c’était le nom du jeune randonneur – se dirigea rapidement vers la fontaine, but encore plus rapidement une gorgée d’eau fraîche, puis, à distance respectueuse, emboîta le pas à la jeune fille…
Marie – c’était le nom de la jeune fille – arriva à un embranchement : à gauche cela conduisait chez elle où habitaient aussi ses parents ; à droite cela menait vers un bois au pied d’une petite montagne. Elle bifurqua à droite.
Sylvain, lui aussi, obliqua vers la droite… En fait, en tant que randonneur, il n’avait pas d’objectif précis ; il allait, tout simplement, vers ce qui l’attirait… Et, pour l’heure, ce qui l’attirait, plutôt que le paysage, c’était un être humain, une merveilleuse jeune fille…
La jeune fille continuait son chemin, sa cruche d’eau pleine contre sa poitrine. En fait, il n’était pas très logique d’emmener sa cruche d’eau avec elle pour aller dans les bois – l’eau c’était plutôt pour la maison –, mais, partir vers le bois, au départ, ce n’est pas ce qu’elle avait prévu.
Le chemin décrivait une large courbe allant vers la droite, avant de progressivement s’enfoncer dans le bois… Marie marchait d’un pas vif mais sans hâte, elle était en promenade et regardait autour d’elle, accueillant les bruits et les impressions de la Nature, ramassant un champignon, ici ou là.
Marchant doucement, adaptant ou adoptant son pas, Sylvain la suivait à quelques centaines de mètres. À aucun moment Sylvain ne la vit tourner la tête pour regarder derrière elle, mais il aurait juré qu’elle savait qu’il se trouvait derrière elle.
Marie passa la lisière du bois et commença à pénétrer sous la chênaie. De nombreux oiseaux chantaient dans les ramures, dont des rouge-gorge.
Lorsque Sylvain eut, à son tour, pénétré dans le bois, tout d’abord il ne la vit pas. S’était-elle cachée ?
Soudain, il la vit. Son vêtement brun se confondait avec l’environnement ; c’est pour cela qu’il ne l’avait pas, tout d’abord, vue. Elle était assise sur une pierre et lui tournait le dos aux trois quarts.
Il s’approcha, à pas mesurés. Son cœur battait plus fort…
C’est seulement lorsqu’il fut à à peine une dizaine de mètres d’elle qu’elle se tourna vers lui en levant les yeux. Était-elle surprise ? Rien, dans son regard ou son attitude ne permettait de l’affirmer.
Sylvain, qui, déjà, marchait lentement, ralentit son pas encore davantage, jusqu’à finir par s’arrêter complètement, à quelques mètres d’elle …
Leurs regards se croisèrent et se pénétrèrent. Longuement. Le silence dura plusieurs minutes. Juste un regard mutuel.
L’initiative venant manifestement de Sylvain, c’était à Marie d’exprimer ou non son accord. Elle demeura silencieuse encore un bon moment, sans bouger. Sylvain aussi restait immobile, le regard fixé sur elle, son sac toujours sur le dos.
Alors, elle fit un geste et tendit sa gracieuse main à elle dans sa direction à lui. C’était clairement une acceptation. Sylvain posa son sac dans la mousse à ses pieds. Puis il s’approcha, avec une respectueuse timidité, encore plus lentement qu’il ne l’avait fait jusqu’ici.
Toujours assise, elle resta la main tendue jusqu’à ce qu’il se tint, debout, tout proche d’elle. Alors, il s’accroupit et même s’agenouilla, se tenant ainsi à la même hauteur de visage qu’elle… C’est alors qu’il lui prit la main…

lire plus
Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme en robe!

Une femme féminine c’est une femme … en robe!

Il y a des évidences tellement simples que plus personne n’en parle! En un tel domaine il n’y a strictement rien à prouver: Où un être humain – en particulier ici une femme -, non avec son intellect mais avec son intuition, est capable de percevoir ou de ressentir immédiatement la vérité d’une telle sentence ou bien il ou elle ne l’est pas!

S’il ou elle ne l’est pas, c’est possiblement – voire probablement – que des idéologies matérialistes mortifères – comme, par exemple, le wokisme – sont passées par là. La destruction des Vraies Valeurs de la Vie comme le rôle spécifique de la femme (dont – en dépit de son caractère sacré – la maternité n’est pas le plus important!), le foyer, la famille, etc., fait, à l’évidence, partie du nouvel ordre des barbares [page privée et protégée par un mot de passe à demander à la rédaction du site].

Certes – tout comme l’habit ne fait pas le moine – porter une robe (ou une jupe) ne suffit pas à faire une femme, mais une femme toujours en pantalon (on ne parle pas ici de circonstances exceptionnelles pouvant justifier le port occasionnel d’un pantalon) et jamais en robe montre, à l’évidence, qu’elle n’aspire pas à la féminité.

lire plus
Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

Esprit et Intuition – Cerveaux et Intellect

“La seule chose qui vaille, c’est l’intuition.”
– Albert Einstein –

Mais de quoi parle-t-on, enfin?
Infiniment nombreuses sont les personnes qui considèrent les actions de la vie quotidienne comme le fruit unique du cerveau qui produit l’intellect, d’où découlent les pensées, les sentiments et l’imagination. Avec son concours, nous agissons et combinons habilement techniques et outils pour élaborer, construire et bâtir les divers domaines de la science. Journellement, nous transformons nos “œuvres“ mentales en réalisations pratiques privées ou professionnelles. Le cerveau est donc grandement appréciable et sa valeur est jugée indiscutable. Il aura fallu tout le vingtième siècle et des recherches considérables entrecoupées de tâtonnements incertains et de nombreuses contradictions pour apprendre à mieux connaître cet instrument remarquable. Au vingt et unième siècle, les hommes voient en lui le sommet, l’achèvement de ce qu’est l’homme. Ils en sont désormais convaincus, leur cerveau est l’esprit, et ils font tout ce qu’il est scientifiquement possible pour s’en persuader. Ainsi, un formidable engouement fébrile pour les neurosciences et les biotechnologies s’est emparé de milliers de chercheurs qui espèrent voir, en ce domaine, l’aboutissement et la consécration de leurs travaux. Sous l’emprise des découvertes technologiques, de la curiosité et du sensationnel médiatiques, de la mise en avant des personnes et l’appât démesuré du gain, des entreprises investissent à fond dans le créneau des sciences du cerveau, dans l’espoir, à terme, d’une fusion cyborgienne, apothéose de toutes leurs ambitions.
Ce cerveau est une masse organique. Il est composé de cent milliards de neurones interconnectés entre eux par des synapses. Il occupe environ un volume de 1200 cm3 et son poids avoisine 2,2% du poids total du corps, c’est-à-dire en moyenne 1400 grammes pour un cerveau masculin et 1280 grammes pour un cerveau féminin. Il atteint 90% de son poids définitif entre 4 et 6 ans. C’est un gros consommateur d’oxygène absorbant plus de 18% de la consommation totale du corps et il utilise 15% du débit cardiaque. Dotée d’une extraordinaire complexité, il fonctionne selon un codage réalisé par une succession plus ou moins irrégulière de signaux chimiques appelés neurotransmetteurs qui produisent des tensions électriques faibles de l’ordre du millivolt. L’appellation “matière grise” provient de la couleur de ses deux hémisphères. Le cortex cérébral se développe vers la 25e semaine de la grossesse. Du point de vue physique, le développement du cortex associatif et l’épanouissement du lobe frontal sont des spécificités de l’homme qui marquent nettement la différence qui existe entre les humains et les primates. Des découvertes physico-chimiques successives laissent à croire que tous les secrets du cerveau seront bientôt percés, en particulier ce que sont l’esprit et l’intuition. S’ajoutant à ces découvertes, de nouvelles connaissances en informatique et en électronique ont permis de concevoir l’“intelligence artificielle” connue sous le sigle I.A. Certains experts disent même qu’avec l’IA ils sont ainsi parvenus à extraire du cerveau un « modèle d’intelligence désincarnée”.
Puissant outil, désormais présent partout. Si certains craignent ses effets, d’autres, par contre, promettent d’atteindre, grâce à elle, le sommet de ce que le cerveau véhicule. Ils affirment pouvoir prouver la réalité du phénomène intuitif, qu’ils situent dans le cerveau. “Et bientôt, on va parler de logique intuitionniste, de manière à apporter par la preuve et la vérification la réalité de l’intuition humaine”, expliqua en son temps le professeur Maurice Trévoux, qui fut chef de service au groupe hospitalier Henri Mondor/Albert Chennevier.

lire plus
Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

Le bon et le mauvais côté de l’esprit de famille

L' »esprit de famille » – plus exactement le « sens de la famille » (le mot « esprit » ne se réfère pas exactement ici au spirituel) – est souvent exalté. Bien sûr, la famille et le foyer sont et demeurent des valeurs sûres, mais là où l’intellect et le sentiment prennent la première place au détriment de l’esprit l' »esprit de famille » ou – mieux dit – le « sens de la famille » [en allemand: « Familiensinn »] peut devenir un véritable fossoyeur pour les âmes.
Un proverbe dit joliment: « L’on est de son enfance comme l’on est d’un pays ». La famille est, bien sûr, le terreau idéal pour permettre à l’être humain de grandir, se développer, s’épanouir, découvrir les Vertus, développer ses facultés, et devenir un être humain accompli. Il n’est, bien sûr – surtout à notre époque -, ici pas question de remettre cette réalité bien établie en cause.
Chaque esprit humain est, toutefois, en fait, une individualité. Même si, sur une rive certains le regardent partir et sur l’autre rive d’autres le regardent arriver, l’être humain naît seul et meurt seul. Devant son Dieu – même lorsqu’il a accepté des conceptions venant d’autrui et en particulier d’une collectivité quelconque – il est seul responsable de ses pensées, de ses paroles et de ses actes.
Personne ne peut s’abriter derrière sa famille, sa communauté, la société dans laquelle il vit ou quelque autre collectivité que ce soit, pour tenter d’excuser ses œuvres (dont font aussi partie ses pensées et ses paroles) et son comportement. Dans la Création il n’y a pas de communisme! L' »esprit de famille » déformé est une forme de communisme à l’échelle de la famille, tandis que le communisme est une sorte de sens de la famille à l’échelle d’un état. Tout cela est faux!

lire plus
Maternité

Maternité

Maternité

Par Eva-Margret Stumpf

La maternité peut être développée par chaque femme,
Elle n’a pas besoin d’être mère elle-même.

Combien de nombreuses tâches il y aurait pour les femmes, une fois qu’elles se seraient libérées de l’erreur de croire que la maternité corporelle est leur unique objectif! Poussez donc {plus loin}! – Vers la Liberté et la Dignité spirituelles! Ne vous laissez pas tenir emprisonnées dans le domaine corporel! Conquérez la véritable indépendance! Vous suivez en cela des chemins complètement faux!

lire plus
On récolte les enfants que l’on a semés

On récolte les enfants que l’on a semés

On récolte les enfants que l’on a semés…

Bien que le sujet soit sérieux, puisque, fondamentalement, il s’agit de la Loi de l’Effet de Réciprocité, voici une petite vidéo amusante traitant, à la mode israélite, le sujet de l’éducation des enfants, en deux minutes et vingt secondes, mais il est vrai qu' »une image vaut mille mots », alors une image animée de deux minutes et vingt secondes…
La morale de l’histoire est, bien sûr, limpide: Quelle que soit la religion que l’on a – ou que l’on n’a pas -, en fonction de la Loi de l’Effet de Réciprocité, l’on a les enfants que l’on mérite.
Naturellement, pour une croyance qui n’accepte pas la réincarnation ni le karma, l’explication est recherchée au sein de la seule vie présente: L’enfant, mal éduquée parce que délaissée pendant son enfance par un père accaparé par ses préoccupations d’adulte, devient, à son tour, une adulte égoïste.
Naturellement, l’on ne peut que voir là une juste rétribution aux manquements survenus quelques décennies plus tôt. Après tout – quelle que soit la religion des protagonistes -, le karma peut aussi s’enclencher et se répercuter au cours d’une seule et même vie.

lire plus