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Ars Moriendi

Ars Moriendi

Ars moriendi

L’Art de {bien} mourir

Les cinq tentations de l’âme

 « Memento mori. »
 « Souviens-Toi que Tu es mortel. »

L’Art de {bien} Mourir
Cultiver l’Art de bien mourir c’est tout simplement se préparer à mourir. Ce qui comprend se préparer à affronter ses démons.
Les « Ars Moriendi » au pluriel, autrement dit « Art(s) de {bien} Mourir », sont caractéristiques de l’état d’esprit régnant à la fin du Moyen Âge jusqu’à la fin de la Renaissance. Bouleversés par les douloureuses épreuves traversées par les peuples de l’Europe à cette époque (guerres, épidémies telles que la peste…), les êtres humains placent la mort au cœur de leurs préoccupations. Afin de tenter de contrer l’angoisse, se développent des genres littéraires et artistiques tels que les « danses macabres », les « vanités », et les « Ars Moriendi ».
Les « Ars Moriendi » – dont il est maintenant ici question – sont des illustrations – souvent des gravures sur bois – présentant un homme allongé sur son lit mortuaire et se tenant donc au seuil de la mort. Secourables, des Anges viennent au chevet du mourant pour l’inviter à s’élever vers le Paradis. Mais, à l’inverse, des démons s’efforcent de retenir l’agonisant en bas dans la matière grossière, en lui faisant regretter les richesses matérielles terrestres dont, du fait de sa mort, il se trouve, à regret, contraint de se séparer.
La parfaite compréhension du sens éducatif des gravures nécessite la connaissance des Lois de la Création. Il faut distinguer le monde terrestre (le mourant, son lit mortuaire, ses amis et sa famille) gros-matériellement visible et le monde immatériel, supra-terrestre, spirituel, auquel appartiennent les anges ainsi que celui de l’Au-delà encore proche de la Terre auquel appartiennent les démons. Seul le mourant a accès à cet univers de l’Autre Monde.
En effet, grâce au processus de la « semi-vision » – ou « vision de transition » – (qui – en attendant que les yeux fin-matériels s’ouvrent pleinement (*) – permet de déjà commencer à voir le plan de l’Au-delà le plus proche à l’aide des yeux gros-matériels), il est comme  à califourchon entre deux mondes. Pour lui, le voile entre le monde gros-matériel lourd et le monde gros-matériel moyen et fin a déjà commencé à se déchirer.
La famille – l’entourage – de l’agonisant est dans le monde gros-matériel, et, de ce fait, ne voit pas les démons. Par contre, les démons, eux, voient les vivants de la Terre et se divertissent à leurs dépens, sans même que ceux-ci n’en aient conscience.
Sur les illustrations les parchemins déroulés sur lesquels des mots sont inscrits correspondent aux « bulles » des bandes dessinées modernes. Cela décrit les paroles prononcées par les démons et les anges.
A noter que l’auteur de ces gravures est un certain « Meister [« Maître »] « E.S. » », ainsi appelé parce que l’on ne connaît que ses initiales, avec lesquelles il signait souvent ses œuvres.

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L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

L’être humain face à son destin

Le Testament de Heiligenstadt

Lorsqu’un être humain vit sa vie, il est souvent confronté … à son … destin! Autrement dit, à son … karma! Et celui-ci lui paraît, parfois, bien amer. Comme le dit une sentence semi-humoristique: « La vie est dure, lorsqu’on la boit … sans sucre! ». Alors, la question qui lui vient alors souvent à la bouche … c’est …: Pourquoi? Qu’ai-je fait pour mériter cela?
Oui, qu’a-t-il fait pour mériter cela? C’est, en effet, la bonne question, la seule qui puisse lui permettre de remonter la chaîne des causes pour parvenir jusqu’à la racine du problème: le faux vouloir qui a donné naissance à la chaîne de toutes les préjudiciables conséquences. L’être humain est obligé de se remettre en cause, car les circonstances lui donnent tort. Reconnaître et se changer: Il n’y a pas d’autre chemin!
C’est ainsi que le très justement célèbre compositeur allemand, Ludwig van Beethoven, auteur de l’immortel Hymne à la Joie (d’après Friedrich von Schiller) a dû se poser la question: « Pourquoi, moi, musicien et compositeur, suis-je devenu sourd? » C’est ce qu’il fait à merveille, de très touchante manière, dans le document appelé le « Testament de Heiligenstadt ».
Ce document est, en fait, une lettre écrite à ses deux frères, alors qu’il séjournait – pour y reposer ses oreilles – dans une ville appelée Heiligenstadt, dans la région de Vienne. Apparemment, cette lettre n’a jamais été postée, de sorte qu’elle a été retrouvée, après sa mort, dans un tiroir de son bureau. La lettre « Testament de Heiligenstadt » est reproduite, ci-dessous, en traduction française…

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Oui, mais…

Oui, mais…

Oui, mais…

En deçà de l’approche proprement spirituelle – à laquelle « tout le monde » n’est pas immédiatement prêt – il y a l’approche … psychologique. En fait, en langage spirituel, « psychologique » signifie couramment « psychique » ou « animique ». L’on rentre dans le monde de l’émotion, en gardant présent à l’esprit qu’il y a deux sortes d’émotions bien distinctes, les « émotions » purement sentimentales et les émotions animiques.
Dans ce domaine de la psychologie une bonne entrée en matière peut être offerte avec le film « Oui, mais » dans lequel l’acteur français Gérard Jugnot joue de rôle du psychiatre. Il s’agit de faire ressortir les jeux de pouvoir inconscients de la vie quotidienne, auxquels se livrent, tous les jours, la plupart des êtres humains…
Cela peut être une aide à la prise de conscience pour qui – désirant sortir du monde de l’apparence et de la superficialité – veut vraiment devenir conscient du fond des choses et surtout devenir entièrement vrai dans ses relations quotidiennes avec autrui…

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Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

Si Tu donnes à une femme…

La femme entretient la vie!
Donne à une femme…
 Et Tu récolteras au milluple!

La femme authentique est magique.
Elle embellit, magnifie et fait fructifier tout ce qu’elle touche!

Donne-lui des Fleurs, et elle Te donnera … un sourire!
Donne-lui des graines, et elle Te fera … un jardin!
Donne-lui des légumes, et elle Te fera … un repas!
Donne-lui des poules, et elle Te donnera … une ferme!
Donne-lui Ton chien, et elle lui donnera … son affection!
Donne-lui Ton respect, et elle Te donnera … son Amour!
Donne-lui un sourire, et elle Te donnera … son cœur!
(…)

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Un Exemple d’Humilité

Un Exemple d’Humilité

Élisabeth de Thuringe

Avec Lucien Siffrid nous avons déjà appris à mieux connaître la Vertu de l’Humilité. Nous voudrions maintenant nous intéresser à un cas concret en donnant un exemple célèbre.
Une Princesses hongroise devenue Reine de Thuringe
Il s’agit ci d’Élisabeth de Thuringe  – initialement appelée, en tant que princesse hongroise, Élisabeth de Hongrie, née à  Presbourg, le 7 juillet 1207 –  décédée à Marbourg (où son enveloppe terrestre a sa châsse), le 17 novembre 1231.
Fiancée à quatre ans et mariée à quatorze ans au Landgrave Louis IV de Thuringe, Élisabeth de Hongrie a vécu de 1211 à 1228 au Château de la Wartburg auprès de son époux, de ses quatre enfants (le dernier n’était pas encore né au décès de son mari – survenu peu après son départ pour la croisade -, lorsqu’elle doit quitter le château, parce qu’elle ne voulait pas se re-marier) et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière.
Étant donné que Élisabeth n’avait pas le profil habituel des femmes de la cour, l’entourage du roi Louis 4 fut d’abord hostile à sa présence au château de la Wartburg en tant qu’épouse du roi et reine de la Thuringe. Alors le roi Louis IV de Thuringe leur répondit:
– « Voyez-vous, leur dit-il, cette grande montagne en face de nous? Eh bien, quand même vous me donneriez une quantité d’or plus considérable que cette masse gigantesque, je ne renverrais pas Elisabeth. ».
Le roi était conscient du Trésor qu’en la personne d’Élisabeth il avait dans son royaume, son château et son foyer.
Élisabeth disait:
– « Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-Il pas me voir joyeuse? Puisque je L’aime et qu’Il m’aime? ».
Un évocateur et admirable personnage féminin – une sorte de Mère Thérésa du Moyen Âge – suscitant, encore aujourd’hui, l’admiration des habitants non seulement de sa Hongrie natale mais aussi de ceux de sa Thuringe d’adoption, sans parler des innombrables étrangers, Chrétiens ou non…

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La Maison de l’Esprit – Ceux qui y habitent

La Maison de l’Esprit – Ceux qui y habitent

La Maison de l’Esprit – Ceux qui y habitent

Introduction
Qu’expérimente-t-on et qu’éprouve-t-on, lorsque l’on arrive au Paradis? C’est à cette question que répond l’extra-ordinaire texte reçu ci-dessous.

La Maison de l’Esprit – Ceux qui y demeurent
Libérés et détachés de toutes les choses terrestres, cheminent tous ceux qui ont le Privilège d’habiter dans les Jardins lumineux de leur Foyer spirituel.
Loin des jours de l’enfance, tout ce qu’ils ont traversé, qui les a formés dans leur approche de la Sublimité, qu’ils peuvent maintenant tenir dans leurs mains comme un Trésor spirituel, leur apparaît maintenant.
Leur Étoile brille et annonce l’achèvement de leurs chemins, puisque tout ce qu’ils ont traversé s’est éloigné d’eux.
Personne ne pose plus, non plus, de questions sur leurs parcours passés, à moins qu’ils ne veuillent eux-mêmes en parler.
C’est ainsi que se côtoient, dans une Amitié intime, ceux qui n’ont jamais commis d’erreurs graves et dont le chemin a toujours été marqué par des périodes de vie inondées de Lumière, ainsi que ceux qui ont souvent violé les Commandements de Dieu, les ont ignorés, mais se sont finalement réveillés et dont le chemin ultérieur ressemblait à un lumineux Combat pour chaque pas vers la Lumière.

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La médialité

La médialité

La médialité

Introduction
Beaucoup s’imaginent que la médialité – ou médiumnité – rime avec Élévation spirituelle ou Illumination spirituelle. Ce n’est pourtant pas le cas. A quoi sert-il spirituellement à un être humain de voir ou percevoir ce qui – dans la matière fine (ou le plus souvent, seulement même dans la matière grossière moyenne [aussi communément appelée « plan astral »] – ou fine [le plan des formes-pensées]) – se tient à la même hauteur (et souvent même bien en-dessous!) que lui? La réponse est simple et irréfutable: A rien! Cela ne peut que nourrir sa curiosité intellectuelle, rien d’autre. Comme de trop se pencher au bord du vide pour voir ce qu’il y a « en bas », cela comporte aussi, en outre, de très graves dangers.
Cela ne signifie pas pour autant que la médialité n’ait aucune raison d’être et que les êtres humains de la Terre doivent complètement se désintéresser de la matière fine, mais, pour une pratique salutaire, naturelle et saine, il y a de rigoureuses conditions à respecter. Des pratiques comme la « transcommunication instrumentale » – où le moteur est, à l’évidence, la curiosité intellectuelle et la « soif du mystère », ne font pas partie de ce qui est recommandable. Si un être humain doit fin-matériellement entrer en contact avec l’Au-delà, cela doit se faire d’une manière entièrement naturelle, sans rien de forcé ni de contraint, donc sans l’avoir intellectuellement cherché. Uniquement à partir d’une aspiration animique, cela arrive, c’est tout.
Cela exclut donc des pratiques comme les tables tournantes, la Table-Girardin,  le oui-ja, le pendule, etc., et cela pour une raison toute simple: Toutes ces pratiques utilisent des supports {gros-}matériels. Or, du fait de la Loi d’Attraction du Genre Semblable (le genre semblable est plus important entre les ténèbres et la matière grossière qu’entre la Lumière et la même matière grossière), lorsqu’il s’agit de contrôler un objet gros-matériel, les ténèbres ont toujours la préséance, car – afin de ne pas devoir se souiller à leur contact – un esprit lumineux est obligé de se retirer et de leur laisser le contrôle de l’objet gros-matériel.
C’est la raison pour laquelle, par exemple, si des participants à un oui-ja ayant posé leur doigt sur un verre, un chapeau haut de forme, une boîte en carton, ou tout autre objet gros-matériel, et ayant obtenu un début de phrase provenant authentiquement d’une personne décédée s’étant présentée comme telle, un bas esprit de l’au-delà, usurpant son identité, peut tout à fait finir une phrase commencée par elle à sa place! C’est pourquoi la tromperie et l’illusion sont les compagnons habituels de tels investigateurs de l’au-delà, suffisamment crédules pour accorder un quelconque crédit à de telles « communications »!

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À l’ombre d’une petite chapelle

À l’ombre d’une petite chapelle

À l’ombre d’une petite chapelle

Roselis von Sass

À l’époque de Don Pedro se trouvait une grande et longue maison dans l’une des villes les plus fleuries de Sao Paulo. Au cours du temps, la maison a été transformée pour devenir finalement un bureau d’une Fondation de bienfaisance. Cette maison qui avait suscité peu d’attention jusque là est devenue célèbre d’un instant à l’autre, ou de façon plus précise «bruyante», parce que les employés de cette Fondation affirmaient entendre des bruits inexpliqués. Ou mieux dit, la maison était «hantée».
Au sujet de la cause et de la raison de ces étranges évènements, beaucoup a été dit. Quelques-uns ont parlé de vieux cimetières, d’assassinats,  de cruelles punitions infligées à des esclaves et aussi ont été cités des cas d’âmes liées à la Terre… De plus, quelqu’un s’est souvenu avoir entendu aussi parler d’une petite chapelle qui, probablement, existait à l’endroit où la maison hantée a été construite. L’on a encore entendu dire, entre autre, que cette petite chapelle avait un rapport avec un certain assassinat… En fait, personne n’y comprenait rien.
Un juge de paix retraité pourrait raconter l’histoire de cette chapelle, parce qu’elle avait été construite par l’un de ses ancêtres. Cependant, il a préféré se taire. Plus tard, néanmoins, il a décidé de narrer l’histoire comme il l’avait entendu raconter par son père. Le juge a pris cette décision parce qu’un jour est arrivé l’un de ses petits-fils, un homme déjà marié qui raconta, au sujet de cette chapelle, une histoire fantastique:
– Il y a environ deux cents ans, habitait avec sa famille l’ancêtre Domingos Pina, un très riche commerçant portugais dans la grande ville de Piratininga. Avec eux habitait aussi un jeune homme indien, Antonio, qui accompagnait toujours les grands fils de la famille dans leurs longues promenades à cheval. Il est arrivé, un jour, que l’unique fille du commerçant, Maria Vitoria, a disparu avec Antonio.
Néanmoins, bien que Antonio fût instruit comme l’était tout Portugais à cet époque, parce qu’il était allé à l’École des Missionnaires, le père de la jeune fille n’a pas accepté leur comportement. Il a maudit sa fille et l’a déclarée morte.
Quelques années après, Domingos Pina a légué son affaire à son fils aîné et a déménagé avec tout le reste de la famille et d’autres familles portugaises et espagnoles dans le centre de la région. Il a déménagé, parce qu’il avait entendu parler, par un ami, de l’existence d’une merveilleuse région avec de belles forêts, avec de l’eau en abondance et des terres très fertiles.

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Le Sixième Sens

Le Sixième Sens

Le Sixième Sens

Roselis von Sass

Il y a beaucoup de personnes qui, à travers des avertissements de leur guide spirituel, ont pu être préservées de graves accidents. À ces personnes a été ainsi accordé un délai supplémentaire sur Terre, afin qu’elles puissent se réveiller et trouver le Chemin de la Lumière de la Vérité.
Le récit qui va suivre décrit un avertissement particulier, à partir duquel un couple a été préservé d’un accident fatal.
Un grand accident aérien s’est produit, il y a un certain temps, proche d’une localité d’Amérique du Sud. L’avion est tombé dans un marécage de façon tellement désastreuse qu’il n’y a pas eu de possibilité de sauvetage. L’avion ayant pris feu, tous les passagers sont morts, brûlés. Quelques jours après ont été trouvés les corps carbonisés et grotesquement tordus.
La nouvelle de la tragédie a été divulguée à la radio et les journaux ont montré des photos et des descriptions individuelles des victimes. À partir de la description individuelle, nous avons su que dans l’avion sinistré s’y trouvaient un avocat, un prêtre, un médecin, une infirmière, une danseuse, un négociant en diamants et quelques employés de casino. De plus, se trouvaient encore quatre membres de l’équipage. Ces personnes, elles aussi, ont été retrouvées carbonisées.
Dans ce même avion, un couple aurait dû voyager. La dame, cependant, a eu tellement peur, un jour avant le départ, que son mari a reporté le voyage. Plus tard, cet homme disait toujours que la peur de sa femme lui avait sauvé la vie. Il a été impressionné par la nouvelle de l’accident, mais rapidement tout fut oublié.
Différente a été la réaction de son épouse: oui, elle a eu peur, mais le «pourquoi» de cette peur, elle n’a pas pu l’exprimer dans l’immédiat. Il aurait ri et se serait même moqué d’elle. Cependant, après cet horrible événement, maintenant, elle pouvait en donner la raison…
– «Ce n’est pas facile de retransmettre ce vécu. C’est vrai que j’ai entendu parler très souvent de rêves prémonitoires ou de visions. Mais que moi-même puisse avoir une vision, je n’y aurais jamais pensé. La veille de ce voyage, à la tombée de la nuit, je suis rentrée dans la chambre de ma fille pour chercher une valise. Subitement, mes jambes sont devenues tellement lourdes qu’en arrivant dans la chambre j’ai eu besoin de m’asseoir. Un bourdonnement est arrivé dans mes oreilles et une pression étouffante s’est abattue sur moi. Je me suis appuyée sur le dossier de la chaise et j’ai fermé les yeux. À peine les yeux fermés, je me suis aperçue que d’autres yeux, des yeux intérieurs, s’ouvraient et j’ai vu la chambre dans laquelle j’étais assise légèrement différente.
Avec ce regard intérieur, je remarquai qu’un avion s’arrêtait à la hauteur du balcon. La porte était ouverte et il semblait que j’étais obligée de me lever et d’entrer dans l’avion qui, apparemment, m’attendait…

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L’Essence de la Chevalerie

L’Essence de la Chevalerie

L’Essence de la Chevalerie

La plus haute Pureté dans le Spirituel

La plus grande Fidélité masculine dans la Création

Le grand Secret de la relation optimale entre homme et femme

Le Rôle des Chevaliers
«Le plus haut Ordre que Dieu ait fait et commandé, c’est l’Ordre de Chevalerie»  – Chrétien de Troyes -.

L’équipement du Chevalier
« Avec cette Épée que je vous remets, je vous confère l’Ordre le plus haut que Dieu ait créé au Monde. C’est l’Ordre de Chevalier, qui ne souffre aucune bassesse. »
(Réception de l’Épée de Chevalier par Perceval dans le roman médiéval «Perceval le Gallois», de Chrétien de Troyes.)

Le Chevalier a une Épée (ou un Glaive) et aussi une Lance. L’Épée est conçue pour le combat rapproché, la Lance pour le combat à distance. Les deux sont utilisés par les Combattants de Lumière.

La Chevalerie sur Terre
Selon l’opinion courante:
«La Chevalerie est une caste supérieure de guerriers au code moral très strict, et se donnant pour mission de protéger la veuve et l’orphelin.».
Dans «Tristan et Yseult» il est possible de lire une description de l’apprentissage du Chevalier, dont voici un extrait:
«Sous sa tutelle, Tristan apprit à chevaucher, à respecter les règles de la Chevalerie, à sauter, nager, courir, lancer la pierre, manier l’écu et la lance, les diverses sortes d’art et d’escrime, l’art de vénerie et de fauconnerie, tous les honnêtes ébats recommandés pour fuir l’oisiveté, mère des vices, et en même temps les usages de la courtoisie et les vertus requises au franc homme: Honneur, Fidélité, hardiesse, débonnaireté, démener grande largesse, parler avec mesure, ne blâmer personne à la légère, éviter les fous et servir les dames.».
Elle pense à son Chevalier
Le Chevalier et la femme
Il existe un grand Secret régissant la relation entre femme et homme. Ce Secret est capable d’inciter l’homme à accomplir des actes grands et purs, ici sur Terre, embrase toute pensée en la purifiant, et répand ainsi sur l’existence terrestre entière la Lueur sacrée de la haute Nostalgie de la Lumière.
Il s’agit, certes, ici du grand Secret de la relation entre femme et homme, de façon générale. Il semble, toutefois, que, parmi les hommes, cela concerne, en tout premier lieu, les Chevaliers.

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