Ecole de l'art de vivre

Témoignages

  1. Un texte très pertinent qui balaye les questions essentielles et donne le goût de vivre des expériences. Je partage mon…

  2. L’Effet Protecteur de l’Aura Un autre effet de la manifestation de l'amour incommensurable du Créateur nous est montré ici. L'être…

  3. Dignité royale Un vibrant appel à devenir un véritable esprit humain conscient de lui! Tout un chacun à la possibilité…

  4. "La réincarnation de l’adolescente décédée" Vivre une telle expérience permet de vivre la réincarnation comme une évidence naturelle.

  5. La relation de cause à effet en retour sur la personne a bien été ressentie comme juste en intuition par…

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What is Love?

What is Love?

What is Love?

Qu’est-ce que l’Amour?

Qu’est-ce que l’Amour? Réponse de Hagit Rabbi (en anglais, possiblement sous-titré), interviewée par Tal Badt.

SPIRIT TIME: Podcast With Hagit Rabbi – #2 What is Love?
In this episode, Tal Badt and Hagit Rabbi explore our current time as a gateway to a new era. This period calls for our evolution into new human beings, or more precisely, into the beings we were always meant to be according to the Plan of Creation: individuals guided not by intellect or emotions, but by the spirit within.

TEMPS DE L’ESPRIT: Podcast avec Hagit Rabbi – #2 Qu’est-ce que l’Amour?
Dans cet épisode, Tal Badt et Hagit Rabbi explorent notre époque actuelle comme une porte d’entrée vers une Nouvelle Ère. Cette période appelle pour notre évolution en tant que nouveaux êtres humains, ou, plus précisément, en tant que les êtres que nous avons toujours été censés être selon le Plan de la Création: des individus guidés non par l’intellect ou les émotions, mais par l’esprit qui est en eux.

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La transverbération existe-t-elle?

La transverbération existe-t-elle?

La Transverbération existe-t-elle?

Un phénomène peu courant relevant du mysticisme
La transverbération est un phénomène, très certainement réel, souvent qualifié de « mystique », peu connu, ressemblant aux stigmatisations mais différent d’elles dans la mesure où la cause n’est pas directement le karma de la personne concernée ou encore sa volonté de prendre part à la crucifixion de Jésus ou l’identification faite à Jésus crucifié, mais serait plutôt un fulgurant « amour » pour Dieu ou pour Jésus ayant pour effet, oui, de … « percer le cœur »!
Le mot « transverbération » vient du verbe latin « transverberare » qui signifie «traverser de part en part  avec une épée ou un couteau» (de «trans» «à travers», et «verberare» «battre», «frapper»). Certains dictionnaires le définissent ainsi: «blessure au cœur sans conséquences mortelles». Dans son Épitre aux Galates, l’Apôtre Paul indique se sentir – par son Amour du Christ – crucifié avec le Christ: «J’ai été crucifié avec le Christ, si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi.» (Galates II, 19-20). Mystique, Paul?
Les deux sortes de stigmatisations
Comme nous l’avons déjà vu, il y a deux sortes de stigmatisations: les vraies stigmatisations – lesquelles sont aussi des avertissements adressés à l’humanité – dont la cause est karmique et les (fausses) stigmatisations (aux effets généralement plus faibles) dues à l’autosuggestion.
Les vrais stigmatisés – comme François d’Assise, Padre Pio, Therese Neumann, Marthe Robin – n’étaient ou ne sont que des êtres humains marqués, portant une culpabilité personnelle à l’égard de Jésus en tant que Fils de Dieu! Les autres cas – généralement moins spectaculaires -, parfois, peuvent survenir, du fait de l’autosuggestion, par fanatisme religieux. Même si elle est fausse, la croyance est tellement forte qu’elle finit par s’imprimer jusque dans le corps terrestre!
La transverbération laisse des marques dans le corps gros-matériel
La transverbération désigne donc le transpercement spirituel du cœur par un trait enflammé d’amour, éventuellement accompli par un Ange. Dans la tradition catholique, en fonction des écrits qualifiés de « mystiques », la «transverbération» du cœur du – ou de la – fidèle est un processus par lequel Dieu augmenterait – tout en le purifiant – l’amour dans le cœur de la personne croyante. Cet événement « mystique » laisse, tout comme des stigmates, des marques gros-matériellement visibles sur le corps de la personne ainsi atteinte.

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Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Ce mot est issu de l’anglais “woke” pour “awake”, signifiant “éveillé”. Comme courant de pensée, il apparaît aux États Unis au début des années 2000, se répand en Occident, puis dans le monde entier. Le wokisme est à la fois hybride et tentaculaire. Il se définit comme un concept culturel postmoderne fondé sur la diversité et l’inclusion. Il met en exergue les injustices sociales et politiques, lutte contre les inégalités en tous genres, dénonce les discriminations envers les minorités: femmes, LGBT, immigrés, d’autres encore…
Mais, en tous ces sujets, le wokisme développe une culture de victimisation et de non responsabilité, en créant un contre-courant de nouvelles discriminations. Stricte pensée matérialiste et athée, il promeut l’écriture inclusive avec le noir dessein d’influencer la vie dans ce qu’elle a de plus fondamental et de plus traditionnel. Elle s’impose, en réalité, comme une forme dangereuse de lavage de cerveau. Aujourd’hui, ce danger est si grave qu’il a infiltre l’éducation nationale jusqu’à ses ministres, les universités et les grandes écoles. Parmi la jeunesse intellectualisée, il a trouvé un écho puissant comme tête de pont pour gagner les entreprises et s’y implanter. Certaines entreprises se sont d’ailleurs converties…
Plaçons devant nos yeux l’image d’une balance avec ses deux plateaux et son aiguille centrale.
Le wokisme est un phénomène ténébreux qui déstructure la pensée, la parole, la nature humaine, l’équilibre yin-yang, qui idolâtre le corps, démembre la société, se faisant le chantre des théories psychanalytiques. Il prône un athéisme matérialiste redoutable. Il libère un indescriptible chaos ontologique, culturel et socio-économique. Est-ce le dernier coup (?) dévastateur de l’intellect – de la bête apocalyptique – avant l’effondrement de l’homme et de la femme?

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La réincarnation de l’adolescente décédée

La réincarnation de l’adolescente décédée

La réincarnation de l’adolescente décédée

C’était bien elle, assise sur le rebord de la fontaine de pierre se détachant sur un fond de ciel lumineux. L’eau jaillissante de la source dessinait une succession de cercles qui s’estompaient à la périphérie de l’étendue d’eau pour réapparaître au centre en un rythme harmonieux. Je contemplais cette paisible animation et je ressentis en un éclair la plénitude du mouvement parfait des cycles éternels.
Ma jeune belle-sœur rayonnait. Joyeuse, elle me souriait. Depuis sa mort survenue dix années auparavant nous ne nous étions encore jamais rencontrées en rêve. J’avais souvent pensé à elle avec le regret de n’avoir pas eu le temps de lui apporter toute l’aide voulue dans sa quête naissante de la vérité. Je m’assis à sa gauche, heureuse de la retrouver. Elle posa gentiment sa joue contre la mienne. Toute à ce nouveau bonheur, je lui dis.: «Je vais pouvoir t’apporter ce que je n’ai pas eu le temps de te donner auparavant.»
Je me levai et lui saisis les mains pour la regarder bien en face, car, depuis le début de notre rencontre, je ne parvenais pas à distinguer la partie droite de son visage. J’en compris immédiatement la raison, car cette partie était sans traits, semblable à une tâche d’ombre. Au même instant, je sus intuitivement ce que cela signifiait: ma belle-sœur allait prendre une fois encore un nouveau corps charnel. Elle allait se réincarner sur Terre. Cette impression fut si forte que je m’éveillai aussitôt.
Cette expérience m’avait tant bouleversée qu’au matin je n’en parlai pas à mon mari. J’avais depuis longtemps déjà la conviction de l’existence des vies successives sur Terre. Je préférai cependant conserver le silence, car il m’était difficile d’annoncer un événement si extraordinaire sans “preuves”. Mais… il était prévu que les choses se passent autrement. Dès la nuit suivante, ce fut au tour de mon mari de rêver…

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Des êtres humains exemplaires

Des êtres humains exemplaires

Des êtres humains exemplaires

Étant donné qu’au sens strict Dieu Seul est Saint, et que ni l’église ni aucun être humain n’a autorité pour décréter qu’un être humain serait un « saint », nous avons déjà vu que le « culte des saints » n’est pas justifié et ne le sera jamais.

Par contre, rechercher des êtres humains exemplaires pour les proposer en exemples à d’autres êtres humains, afin de promouvoir l’Ascension spirituelle du plus grand nombre en une joyeuse émulation, voilà qui a du sens!

C’est ainsi que, dans le répertoire des ainsi dénommés « saints » de l’église catholique, certains sont sûrement à écarter pour cause de mysticisme (dans la Création, où les Lois de Dieu sont naturelles, simples et claires il n’y a pas de place pour le mysticisme), mais beaucoup d’autres – même parmi les simples « bienheureux » – offrent certainement des exemples édifiants à suivre…

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La Grâce est une amie silencieuse

La Grâce est une amie silencieuse

La Grâce est une amie silencieuse

Au plus haut des Cieux, grande est l’espérance de voir notre âme aspirer à la Nostalgie sacrée et notre esprit scintiller dans la Lumière de la Vérité. N’est-ce pas une légitime attente, puisque notre esprit a le pouvoir de briller de mille feux, tel un diamant? N’est-ce pas aussi le devoir de l’esprit que de se maintenir pur comme la neige nouvelle?
Si nous l’appelons sincèrement de nos vœux, le jour béni arrive où nous entendons la voix de notre intuition et où, l’ayant reconnue, nous apprenons enfin à écouter son doux murmure jusqu’à savoir transformer sa sagesse en pur amour.
Dès lors que nous aspirons ardemment à la rencontrer, la Bonté divine croise toujours notre chemin, celui-ci fût-il enténébré. Négligeons-nous de l’appeler et rien ne se manifeste; restons-nous sourd à sa discrète présence que déjà elle s’éloigne. Mais quelle Joie intense s’empare de nous lorsque notre esprit s’ouvre à elle! Dès cet instant, nos pas nous font franchir le seuil de la Vérité et, en cheminant, nous nous élevons vers la Beauté céleste.

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L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’après-midi était bien avancée et la conversation très animée. Je me trouvais en compagnie de quatre amis. Motivés par le plaisir de se rencontrer, ils avaient répondu à mon invitation. Depuis le début du repas, nous avions évoqué plusieurs sujets professionnels, politiques et culturels. L’un de mes amis évoqua le devenir des personnes célèbres (artistes, sportifs, hommes politiques). Il expliquait l’étonnement qu’il éprouvait chaque fois qu’une “vedette” voyait son existence bouleversée par un événement inattendu. Tel numéro un du tennis avait perdu toute sa fortune, tel boxeur mondialement connu avait tué sa femme, tel pilote de formule 1 avait été brûlé sur tout le corps, tel chanteur disparaissait à la fleur de l’âge. Les exemples ne manquaient pas.
La discussion s’orienta vers la destinée qui hisse certaines personnes vers les sommets du vedettariat ou de la célébrité. Monter si haut dans l’échelle sociale et se retrouver, un jour, confronté à la réalité de Monsieur ou Madame “tout le monde”! Pris dans le feu de la conversation et ne voulant pas être en reste de propos, je rappelai, à mon tour, le cas de ce boxeur noir, âgé de 19 ans, qui, au début des années 60, remporta le titre de champion du monde de la catégorie poids lourd.
Je le revoyais crier sa joie à la face du public, tout gonflé du sentiment de sa puissance, qu’il pensait inaltérable. Je demandai à mes amis s’ils se remémoraient ce que ce boxeur – aujourd’hui atteint d’une maladie inguérissable – avait hurlé à la foule. Aucun ne s’en souvenait.
Je mimai alors le comportement du boxeur en me redressant et en levant les bras au ciel comme lors d’une invocation et me mis à crier: «Je suis le dieu de la boxe!». Chose étrange, en formulant cette phrase, je me sentis gagné par le plaisir de paraître, et cela uniquement parce que mes amis ignoraient cette information.
Cette impression orgueilleuse qui m’avait échauffé le cerveau l’espace de quelques instants disparut, bien vite remplacée par un frisson glacé qui me parcourut toute la moelle épinière. Simultanément, je fus envahi par une puissante intuition: je sus que je venais de commettre un sacrilège en abusant du Saint Nom.

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Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Un enfant se souvient d’une vie antérieure

Avec le film – basé sur une histoire vraie – « Les ombres du passé »  nous avons déjà pu expérimenter une histoire au cours de laquelle, de façon crédible, un être humain se souvient d’une incarnation antérieure.

En voici une autre mettant en scène un enfant se souvenant – comme, dans Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire – de sa vie antérieure (*) …

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La Nuit de Feu de Blaise Pascal

La Nuit de Feu de Blaise Pascal

La Nuit de Feu de Blaise Pascal
Le Mémorial

Une expérience spirituelle particulièrement puissante
A l’évidence, dans la nuit du lundi 23 au mardi 24 novembre 1654, Blaise Pascal a vécu une forte expérience spirituelle, qui a marqué toute sa vie.
« Le Mémorial est une œuvre de Blaise Pascal datée du lundi 23 novembre 1654. Écrit pendant la nuit du 23 au 24 novembre, dite la Nuit de feu, ce texte d’une extrême brièveté est l’un des classiques de la spiritualité catholique et chrétienne en général.
Ces quelques lignes où Pascal exprime sa conversion à la personne de Jésus-Christ au moment même où il la vit ont valeur de paradigme, en raison des termes qu’il emploie mais aussi du caractère fulgurant de cette expérience mystique. Constamment réédité et commenté depuis la fin du XVIIe siècle, le Mémorial contient une triple invocation à Dieu régulièrement citée: «Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants…».
La description concise de l’expérience vécue
Et voici le texte du Mémorial:
«L’an de Grâce 1654,
Lundi, 23 novembre, jour de saint Clément, pape et martyr, et autres au martyrologe. Veille de saint Chrysogone, martyr, et autres. Depuis environ dix heures et demie du soir jusqu’à environ minuit et demi. Feu.
«Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob.». Non des philosophes et des savants. Certitude, Certitude. Sentiment. Joie. Paix. Dieu de Jésus-Christ. Deum meum et Deum vestrum [« Mon Dieu et votre Dieu »]. «Ton Dieu sera mon Dieu.» Oubli du monde et de Tout, hormis Dieu. Il ne se trouve que par les Voies enseignées dans l’Évangile. Grandeur de l’âme humaine. «Père juste, le monde ne T’a point connu, mais je T’ai connu.» Joie, Joie, Joie, pleurs de Joie. Je m’en suis séparé: «De reliquerunt me fontem aquæ vivæ.» [« Ils m’ont laissé une source d’eau vive. »] «Mon Dieu, Me quitterez-vous?» Que je n’en sois pas séparé éternellement. «Cette (???) [NDLR: Il semble manquer un mot] est la Vie éternelle, qu’ils Te connaissent Seul Vrai Dieu et Celui Que Tu as envoyé, Jésus-Christ.» Jésus-Christ. Jésus-Christ. Je m’en suis séparé, je L’ai fui, renoncé, crucifié. Que je n’en sois jamais séparé. Il ne se conserve que par les Voies enseignées dans l’Évangile. Renonciation totale et douce. Soumission totale à Jésus-Christ et à mon directeur. Éternellement en Joie pour un jour d’exercice sur la Terre. Non obliviscar sermones tuos [« Je n’oublierai pas Tes Discours »], Amen.»
Avant et après la Nuit de Feu
L’expérience spirituelle – inadéquatement qualifiée de « mystique », car, à vrai-dire, dans la Création, il n’y a rien de mystique – du lundi 23 novembre 1654, qui se produit «depuis environ dix heures et demie du soir jusques environ minuit et demi», marque un tournant décisif dans la vie et l’œuvre de Pascal. C’est l’expérience fondatrice de sa vie.

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