Ecole de l'art de vivre

Progression Naturelle

  1. "Qu'est-ce que l'esprit?" Il n'est pas toujours facile de répondre clairement à une demande relative à la définition de l'esprit…

  2. "Le Travail de la Conscience" Ce travail si impératif attend donc tout être humain qui sait qu'il est avant tout…

  3. Le Secret de la Sainte Lance La force de la pensée n'est plus à démontrer aujourd'hui. Tout le monde peut…

  4. "Le Jour des morts" La vie réelle prend véritablement son sens que lorsque l'on a saisi la signification de la…

  5. Magnifique poème qui ne demande qu'a être lu à tous ceux qui ignorent qu'une Lumière les attend au bout de…

  6. Magnifique poème qui ne demande qu'a être lu à tous ceux qui ignorent qu'une Lumière les attend au bout de…

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Le Jour des morts

Le Jour des morts

Le Jour des morts

Traditionnellement, juste après la non moins traditionnelle Fête de la Toussaint, certes dans la Chrétienté mais aussi dans d’autres religions ou cultures, le lendemain, c’est-à-dire le 2 Novembre, l’on célèbre la Fête des morts en tant que l’occasion, dans les familles, de se souvenir des chers défunts, de les honorer et de prier pour eux, une Journée particulièrement célébrée au Mexique.
Au départ, cette fête a une origine monastique; elle a, en effet, été célébrée pour la première fois à l’Abbaye de Cluny, sous l’abbatiat d’Odilon (994-1049) qui l’institua. Ce jour est traditionnellement consacré à une visite familiale au cimetière et à l’entretien des tombes, sur lesquelles l’on dépose volontiers des chrysanthèmes.
Tout ce qui a un commencement doit aussi avoir une fin. Tout ce qui est né doit aussi mourir. Chacun sait qu’il doit mourir, un jour. Cela n’a, en fait, rien de dramatique. La vie n’est faite que de métamorphoses (comme, par exemple, celle du papillon) et aussi de séparations et de retrouvailles. Ce n’est pas la mort qui est triste, c’est l’attitude des êtres humains face à la mort.

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Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Rappel

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Rappel

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 – (Heure de Paris)

 «Se libérer des fausses croyances»

– Comment naissent les croyances dans l’être humain.
– Tour d’horizon des principales fausses croyances et faux concepts qui impactent négativement notre vie.
– Reconnaître nos fausses croyances pour les modifier, et comment fonctionne ce changement, notamment à la lumière de la science moderne en épigénétique.
– Cas concrets de quelques-uns qui y sont parvenus.

 Visio-conférence «Zoom» animée par Rebecca
 le 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris)  – durée: 40 mn.

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La Frairie de la Toussaint

La Frairie de la Toussaint

La Frairie de la Toussaint c’est le nom d’un spectacle temporaire du Puy du Fou qui n’est montré qu’au moment des vacances de la Toussaint.

Comme nous l’avons déjà vu, la Toussaint est une fête religieuse catholique qui n’a pas vraiment de raison d’être, étant donné qu’en dehors de Dieu, au sens strict, personne n’est saint, pour la simple raison que la Sainteté – qui est un état de fait – ne peut pas s’acquérir, que ce soit par le mérite ou autrement.
Naturellement, cela n’empêche nullement que de nombreux êtres humains – y compris dans l’histoire de la Chrétienté catholique ou autre – aient mené une vie exemplaire.
Mais, au fait, c’est quoi une « frairie »? Bien que cela s’écrive différemment de « {con}frérie », cela a quand même un rapport. Voilà la première définition donnée par Wikipédia: « Une frairie est une subdivision de paroisse, apparue au Moyen Âge et qui a survécu jusqu’à la Révolution française. Les frairies n’existaient que par endroits dans le royaume de France, en revanche elles étaient très fréquentes dans le duché de Bretagne. ». Le mot vient bien du latin « fratria »: « fratrie ». « Frairie » serait écrite «-ai-» – et non « Frérie »  – « par réaction étymologique ».

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Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses croyances

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses croyances

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses des croyances

– Comment naissent les croyances dans l’être humain.

– Tour d’horizon des principales fausses croyances et faux concepts qui impactent négativement notre vie.

– Reconnaître nos fausses croyances pour les modifier, et comment fonctionne ce changement à la lumière de la science moderne en épigénétique.

– Cas concrets de quelques-uns qui y sont parvenus.

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Majorité ou Unanimité?

Majorité ou Unanimité?

Majorité ou Unanimité?

« L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie;   la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit. »
– Mahatma Gandhi –
« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison. »
– Un célèbre humoriste –
«Vitam impendere vero» – « Consacrer sa vie à la Vérité » –
– Devise de Jean-Jacques Rousseau –
Présentement, sur Terre, nous vivons sous la domination de ce que la majorité a déterminé comme étant convenable et conforme. Cela s’appelle la démocratie – le supposé « pouvoir du peuple », alors que – trop souvent – ce n’est que celui de la foule (« Le peuple est en haut, la foule est en bas » – Victor Hugo).
La démocratie – c’est-à-dire concrètement la pratique du vote –  est basée sur la domination de l’intellect. Trop souvent, c’est juste une dictature de la majorité au détriment de la minorité. Sans domination de l’intellect il n’y aurait pas de démocratie. Il y aurait juste la reconnaissance du Juste.
A noter, à ce sujet, que le mot « élection » a été dévoyé. Car élire quelqu’un signifie non pas le sélectionner intellectuellement dans une liste de divers prétendants à un poste ou une fonction mais – ce qui est bien différent! – le reconnaître intérieurement comme un Élu. Cela change tout!
Si l’on veut édifier sur le Nouveau et non plus sur l’ancien, l’on doit d’abord reconnaître ce qui est intrinsèquement juste, et cela n’est pas une question de majorité, mais c’est juste une question de conscience.
Que ce soit à 51%, à 66,6% ou à 99% n’y change pas grand chose: La majorité c’est « démocratique » et donc intellectuel, cela n’est pas spirituel. Le seul principe spirituellement juste est et demeure l’Unanimité.

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Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Wokisme, le courant ténébreux

Ce mot est issu de l’anglais “woke” pour “awake”, signifiant “éveillé”. Comme courant de pensée, il apparaît aux États Unis au début des années 2000, se répand en Occident, puis dans le monde entier. Le wokisme est à la fois hybride et tentaculaire. Il se définit comme un concept culturel postmoderne fondé sur la diversité et l’inclusion. Il met en exergue les injustices sociales et politiques, lutte contre les inégalités en tous genres, dénonce les discriminations envers les minorités: femmes, LGBT, immigrés, d’autres encore…
Mais, en tous ces sujets, le wokisme développe une culture de victimisation et de non responsabilité, en créant un contre-courant de nouvelles discriminations. Stricte pensée matérialiste et athée, il promeut l’écriture inclusive avec le noir dessein d’influencer la vie dans ce qu’elle a de plus fondamental et de plus traditionnel. Elle s’impose, en réalité, comme une forme dangereuse de lavage de cerveau. Aujourd’hui, ce danger est si grave qu’il a infiltre l’éducation nationale jusqu’à ses ministres, les universités et les grandes écoles. Parmi la jeunesse intellectualisée, il a trouvé un écho puissant comme tête de pont pour gagner les entreprises et s’y implanter. Certaines entreprises se sont d’ailleurs converties…
Plaçons devant nos yeux l’image d’une balance avec ses deux plateaux et son aiguille centrale.
Le wokisme est un phénomène ténébreux qui déstructure la pensée, la parole, la nature humaine, l’équilibre yin-yang, qui idolâtre le corps, démembre la société, se faisant le chantre des théories psychanalytiques. Il prône un athéisme matérialiste redoutable. Il libère un indescriptible chaos ontologique, culturel et socio-économique. Est-ce le dernier coup (?) dévastateur de l’intellect – de la bête apocalyptique – avant l’effondrement de l’homme et de la femme?

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L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’abus du Nom Sacré

L’après-midi était bien avancée et la conversation très animée. Je me trouvais en compagnie de quatre amis. Motivés par le plaisir de se rencontrer, ils avaient répondu à mon invitation. Depuis le début du repas, nous avions évoqué plusieurs sujets professionnels, politiques et culturels. L’un de mes amis évoqua le devenir des personnes célèbres (artistes, sportifs, hommes politiques). Il expliquait l’étonnement qu’il éprouvait chaque fois qu’une “vedette” voyait son existence bouleversée par un événement inattendu. Tel numéro un du tennis avait perdu toute sa fortune, tel boxeur mondialement connu avait tué sa femme, tel pilote de formule 1 avait été brûlé sur tout le corps, tel chanteur disparaissait à la fleur de l’âge. Les exemples ne manquaient pas.
La discussion s’orienta vers la destinée qui hisse certaines personnes vers les sommets du vedettariat ou de la célébrité. Monter si haut dans l’échelle sociale et se retrouver, un jour, confronté à la réalité de Monsieur ou Madame “tout le monde”! Pris dans le feu de la conversation et ne voulant pas être en reste de propos, je rappelai, à mon tour, le cas de ce boxeur noir, âgé de 19 ans, qui, au début des années 60, remporta le titre de champion du monde de la catégorie poids lourd.
Je le revoyais crier sa joie à la face du public, tout gonflé du sentiment de sa puissance, qu’il pensait inaltérable. Je demandai à mes amis s’ils se remémoraient ce que ce boxeur – aujourd’hui atteint d’une maladie inguérissable – avait hurlé à la foule. Aucun ne s’en souvenait.
Je mimai alors le comportement du boxeur en me redressant et en levant les bras au ciel comme lors d’une invocation et me mis à crier: «Je suis le dieu de la boxe!». Chose étrange, en formulant cette phrase, je me sentis gagné par le plaisir de paraître, et cela uniquement parce que mes amis ignoraient cette information.
Cette impression orgueilleuse qui m’avait échauffé le cerveau l’espace de quelques instants disparut, bien vite remplacée par un frisson glacé qui me parcourut toute la moelle épinière. Simultanément, je fus envahi par une puissante intuition: je sus que je venais de commettre un sacrilège en abusant du Saint Nom.

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Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

Le corps terrestre de la Vierge Marie s’est-il élevé avec elle dans le Ciel?

L’Assomption existe-t-elle?

Le 15 Août de chaque année, l’église catholique fête l’ « Assomption » de la Vierge Marie dans le Ciel. Le mot « Assomption » a ici sensiblement le sens de « Ascension » mais appliqué à Marie, au lieu que ce soit à Jésus.
Dans le cadre du « culte des saints » cela fait partie du culte rendu à Marie, considérée comme la « Mère de Dieu ». L’église orthodoxe promeut une croyance similaire appelée « Dormition ». Parfois, le mot « Dormition » ne désigne que la croyance dans une mort béatifique.
Cette conception d’un corps terrestre pouvant s’élever dans les Cieux est également présente dans la croyance en la résurrection charnelle de Jésus de même que, de façon générale, dans la croyance en la résurrection de la chair, croyances faisant l’objet de dogmes et également présentes dans l’église catholique.
La croyance dans l’Assomption de la Vierge est fondée non sur la Bible mais seulement sur des écrits apocryphes tardifs, comme celui du Pseudo-Jean, intitulé « Sur la mort de Marie » (remontant  au IVème siècle, voire au Vème siècle).
Selon la tradition, la Vierge, alors été âgée de cinquante-neuf ans, serait décédée onze ans après la crucifixion de Jésus. Son enveloppe charnelle aurait alors été enterrée non loin du lieu où Jésus aurait vécu son agonie, donc juste à côté du Jardin de Gethsémani, à l’Est de Jérusalem.
Son tombeau vide est toujours visible dans le lieu appelé Sépulcre de la Vierge Marie. D’autres affirment, cependant, que la Vierge serait décédée dans un lieu correspondant à l’emplacement de l’Abbaye de la Dormition, également à Jérusalem.

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