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La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La transcommunication, une variante du spiritisme

La salle de la conférence était comble pour ce congrès sur le thème de la transcommunication, car les organisateurs avaient invité plusieurs auteurs connus spécialisés dans la communication avec les morts. Quatre cents personnes venues de tous les coins du pays écoutaient avec une certaine religiosité les propos des expérimentateurs. Les explications et les expériences des uns et des autres mettaient en évidence les progrès de la transcommunication sur le plan de la connaissance de l’au-delà, des rapports avec les défunts et des différentes techniques utilisées. Les amateurs et les spécialistes de cette parascience puisent leurs ressources dans le spiritisme et la technique. Ils jurent d’avoir un mobile puissant et louable pour justifier leur action: apporter la preuve que l’au-delà existe parce que les morts parlent et, simultanément, parvenir à démontrer que la vie continue autrement après la mort. Les intervenants assuraient qu’ils abordaient cette pratique avec beaucoup d’humilité et d’amour. Un tel discours ne pouvait que recevoir l’approbation générale du public, par ailleurs déjà acquis. Un orateur évoqua les problèmes et les peurs vécus, quelques auditeurs témoignèrent aussi de quelques dangers. Ces témoignages étaient accueillis avec une grande attention par le public. Mais la force d’attraction du sensationnel l’emportait sur le bon sens et sur l’intuition. C’est un peu comme pour les accidents de la route. Ces histoires n’arrivent qu’aux autres… pourquoi s’y attarder !
Il régna un moment pathétique lorsqu’une dame témoigna de sa terrible expérience expliquant qu’elle était hantée par la voix de son mari qui l’implorait de venir le rejoindre dans la mort, il exigeait d’elle qu’elle se donne la mort, tout comme il l’avait fait quelque temps auparavant. Au fil des mois, continua-t-elle à raconter, d’autres voix étaient venues la perturber. Elle sentait comme un trou à l’arrière de sa tête (elle désigna son cervelet avec sa main droite). Elle sentait que par ce trou, des voix s’engouffraient dans son cerveau. Réduite à ne dormir que deux à trois heures par nuit, elle en était venue, à son corps défendant, à vivre un horrible calvaire tant elle était soumise, à chaque heure du jour et de la nuit, à ces voix venues d’outre-tombe. Certains auditeurs, fort attentionnés, lui conseillèrent de prier, ce qu’elle semblait ne jamais faire ou ne pas savoir faire. Un intervenant proposa au public de réaliser une prière collective silencieuse, dans l’espoir de pouvoir libérer cette femme de ses liens nocifs avec l’au-delà.
Plus tard, lors de son intervention, un expérimentateur affirma avec le sourire qu’il était un “drogué” de la transcommunication, qu’il était accoutumé et que, pour rien au monde, il n’arrêterait sa pratique. Il en connaissait en partie les dangers en ayant déjà subi un préjudice qu’il n’osa pas décrire. Mais rien n’y ferait, c’était devenu sa folle passion, même si pourtant, quelque chose le mettait en garde, il continuerait…
Face à l’attitude et au comportement d’un certain public, il y a nécessité de faire œuvre salutaire en expliquant quels sont les phénomènes réellement en jeu dans le processus de la transcommunication. Commençons en précisant qu’il s’agit d’une variante moderne du spiritisme.

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Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Un Temps pour se taire et un Temps pour parler

Question:
« Si lors de partages avec mes pairs, je dis tout haut que je désire me laver de mes fautes, cultiver les Vertus, faire le Bien, Servir la Lumière et retourner un jour au Paradis, je n’utilise pas en premier lieu la grande Puissance du Silence et je ne peux progresser vers le Haut! Cela veut-il donc dire que, lors de partages où nous exprimons tout haut nos buts et nos ressentis, nous enfreignons cette Loi et nous nous coupons de la possibilité de progresser vers le Haut? ».

Réponse:
Il n’est pas dit pas qu’il ne faut jamais parler (Il existe, aussi, du reste, un proverbe qui dit « La parole est d’argent mais le Silence est d’Or » et cela ne doit pas être sans raison…!), mais seulement qu’il faut parler lorsque c’est le bon moment…
Cela veut notamment dire que:
1) La parole doit intervenir au bon moment, lorsque, grâce à la pression résultant du silence, le temps de condensation a abouti.
2) Elle ne doit donc pas être superficielle, donc vide, répétitive, machinale, automatique, etc., mais toujours vivante, elle aussi.
La vertu du « Silence » (que l’on pourrait aussi traduire par le « se taire ») n’est donc pas intrinsèque (= le but serait un silence permanent ou bien de prononcer le moins de mots possible), mais résulte uniquement de ce qu’il produit, sur la pensée initiale, une pression permettant la condensation, donc une attraction magnétique de cette première forme-pensée.
La raison pour laquelle il en est ainsi est liée à la structure même de la matière. C’est une loi physique qui veut que toute matière (qu’elle soit fin-matérielle ou gros-matérielle) qui, du fait d’une raison quelconque, est concentrée ou condensée devient plus attractive que celle qui l’est moins.

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La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise

La Prière dite de François d’Assise, aussi appelée « Prière pour la Paix », est communément attribuée à François d’Assise, mais ce serait – comme l’a montré l’historien Christian Renoux dans son livre consacré au sujet –  de façon erronée.
Quel qu’en soit l’auteur – cela pourrait, en particulier, être l’Abbé Esther Bouquerel (855-1923) l’ayant appelée « Belle Prière à faire pendant la Messe » -, c’est, assurément, en effet, une très belle Prière.
La première version connue de cette célèbre prière est publiée dans le numéro de décembre 1912 de la revue « La Clochette » (Bulletin de la Ligue de la Sainte Messe) par le prêtre normand Esther Bouquerel.
Une bonne raison de penser que cela pourrait être lui l’auteur, c’est le fait que sa revue eucharistique contenait essentiellement des textes issus de sa plume.
Mais l’habitude étant prise de l’appeler « prière de Saint François d’Assise, il est peu probable qu’elle s’appelle prochainement « Prière de l’abbé Esther Bouquerel »…
Quoi qu’il en soit, la voici…

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L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

L’être humain peut-il connaître ce qui se tient plus haut que lui?

Questions préalables
Nous avons déjà approfondi l’importante question « Comment reconnaître ce qui est supérieur? ». Nous nous sommes aussi posé la question de savoir si – comme certains semblent le croire – l’être humain est divin ou bien – conformément au nom « homme » – simplement humain?
Nous avons aussi déjà vu que – en fonction de son genre limité (l’esprit humain ne prend pas forme immédiatement mais, initialement, avant de devenir un esprit à part entière, en tant que germe d’esprit, est soumis à une évolution) – « L’être humain ne peut pas voir Dieu en Face ».
L’être humain peut-il réellement connaître – ou  reconnaître – ce qui se tient plus haut que lui?
En relation avec ces questions déjà examinées se pose maintenant une nouvelle question: L’être humain peut-il réellement connaître ce qui se tient plus haut que lui? Et la réponse à cette question est clairement non. En effet, « con-naître » signifie « naitre avec ». Il s’agit donc d’une expérience vécue spirituelle personnelle.
Par conséquent, « avoir entendu parler de » ou « avoir lu que » ou « avoir vu à la télévision ou sur Internet que » n’est pas du tout la même chose que connaître ou que savoir, car le véritable Savoir vient uniquement de l’expérience vécue, laquelle ne peut être que spirituelle.
Ce qui est seulement appris par l’intellect n’est pas du Savoir mais seulement de l’érudition. Or l’érudition – seulement enregistrée dans le cerveau terrestre – s’arrête d’exister à la mort. Alors que le Savoir vivant s’attache à l’âme et à l’esprit et continue de perdurer, même après la mort du corps gros-matériel.
Alors, demandera-t-on peut-être, comment est-il possible de savoir que Dieu existe si l’être humain n’est pas capable de voir Dieu en Face?

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Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Rappel

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Rappel

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 – (Heure de Paris)

 «Se libérer des fausses croyances»

– Comment naissent les croyances dans l’être humain.
– Tour d’horizon des principales fausses croyances et faux concepts qui impactent négativement notre vie.
– Reconnaître nos fausses croyances pour les modifier, et comment fonctionne ce changement, notamment à la lumière de la science moderne en épigénétique.
– Cas concrets de quelques-uns qui y sont parvenus.

 Visio-conférence «Zoom» animée par Rebecca
 le 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris)  – durée: 40 mn.

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What Is the Root Cause of Humanity’s Greatest Problem?

What Is the Root Cause of Humanity’s Greatest Problem?

«Les Codes de la Genèse – {Le mot} «code» désigne un modèle ou une clef permettant de comprendre la vie de l’individu, de la nation et de l’ensemble de l’humanité. Certains récits de la Bible combinent réalité historique et code, mais l’histoire du Jardin d’Eden est entièrement codée.

Par conséquent, ceux qui lisent les histoires bibliques comme des récits censés décrire uniquement des faits historiques peuvent parvenir à des conclusions erronées – comme l’affirmation de nombreux intellectuels – selon laquelle l’histoire de la Genèse est fausse, car scientifiquement, l’Univers n’a pas pu être créé en six jours.

Le Code de l’Arbre de la Connaissance. Comme nous le savons tous, Adam et Ève, dans le Jardin d’Éden, ont eu le privilège et la bénédiction de jouir des fruits de tous les arbres, mais ils ont été avertis par Dieu de ne pas s’approcher ni de goûter au fruit d’un seul arbre: L’Arbre de la Connaissance {du Bien et du mal}: «Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, de peur de mourir.». Genèse III, 3.

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Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses croyances

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses croyances

Visio-Conférence 1er Novembre 2024 à 18H00 (Paris) – Se libérer des fausses des croyances

– Comment naissent les croyances dans l’être humain.

– Tour d’horizon des principales fausses croyances et faux concepts qui impactent négativement notre vie.

– Reconnaître nos fausses croyances pour les modifier, et comment fonctionne ce changement à la lumière de la science moderne en épigénétique.

– Cas concrets de quelques-uns qui y sont parvenus.

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Musique Spirituelle

Musique Spirituelle

Musique Spirituelle

Requiem de Mozart

La musique peut exprimer beaucoup de choses, de tous ordres et de tous niveaux. Souvent la musique est sentimentale et ne sert donc qu’à l’exaltation du sentiment. Mais, parfois, il arrive que la musique soit authentiquement spirituelle, en particulier lorsqu’elle sert à la Glorification de Dieu. Naturellement, ceci ne peut pas être reconnu par l’intellect et le sentiment, mais seulement par l’Intuition spirituelle.

Tel est, par exemple, le cas du célèbre Requiem de Mozart, dont l’histoire demeure, aujourd’hui encore, pour une part, un mystère…

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La libre volonté existe-t-elle?

La libre volonté existe-t-elle?

La libre volonté existe-t-elle?

Par Jean Choisel

Qu’invoquent comme raisons ceux qui affirment l’existence de la libre volonté?
« Subissant ainsi tant d’influences de toutes sortes qui façonnent ses états d’âme sans qu’il le sache, conditionnent son être petit à petit, lui imposant une direction, l’y poussant et finalement le déterminant à son insu, les savants demandent non sans raison où pourrait donc encore résider la libre volonté [NDLR: généralement appelé « libre arbitre » par les philosophes] dans l’être humain? Comme, jusqu’à ces derniers temps, la science n’avait pas encore pu apporter de réponse satisfaisante à cette question, la plupart des savants et des philosophes matérialistes refusent encore de croire à l’existence de la libre volonté.
Par contre, les philosophes idéalistes, les moralistes, les hommes de loi, les théologiens et les poètes affirment eux – souvent d’ailleurs non quelque embarras! – que, «quelque part» au fond de lui-même, l’homme doit nécessairement être libre. Cette prise de position – plus morale que scientifique, disent les savants – se comprend aisément. En effet, pour que l’être humain soit responsable de ses actes, il faut de toute nécessité qu’il puisse se décider librement. Car si les décisions que prend un homme ne sont pas entièrement libres, on ne peut évidemment pas lui imputer la responsabilité de ses actes.
Or, la vie au sein des sociétés humaines exige absolument que les hommes soient considérés comme responsables de leurs actes. Faute de quoi la vie en société deviendrait rapidement impossible; elle ne serait bientôt plus régie que par la loi de la jungle, c’est-à-dire par la raison du plus fort. Même les malfaiteurs les plus endurcis reconnaissent à l’évidence la responsabilité de l’individu en général.
De plus, les châtiments que la société inflige à ceux qui ont enfreint ses lois ne seraient que monstrueuses injustices si les délinquants n’étaient pas libres mais obligés, c’est-à-dire déterminés d’agir d’une façon plutôt que d’une autre. Car – répétons-le – pour que l’homme soit responsable, il faut de toute nécessité, et il suffit, qu’il soit libre et non pas déterminé.
C’est pourquoi nos moralistes, législateurs, philosophes, etc., défendant les fondements même de toute vie en société, éprouvent non sans raison que, au fond, l’homme doit nécessairement être doté d’une libre volonté. Quoi qu’il en soit, savants et philosophes – négateurs et partisans de la libre volonté – demeurent le plus souvent perplexes et songeurs sur la nature même de cette insaisissable libre volonté.

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