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Justice des hommes et Justice de Dieu

Justice des hommes et Justice de Dieu

JUSTICE DES HOMMES ET JUSTICE DE DIEU
Justice des hommes et Justice de Dieu
La Justice de Dieu et la justice des êtres humains devraient être une seule chose. Malheureusement, elles sont deux.
C’est déjà ce qui ressort de cette Parole du Fils de Dieu:
«Si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens,
vous n’entrerez certainement pas dans le Royaume des Cieux.»
(Matthieu V, 20)
C’est précisément ce que l’on peut constater lorsque l’on se livre à une rigoureuse observation autour de soi, l’on s’aperçoit très vite que la véritable Justice ne règne pas dans la «justice» [1] rendue par les êtres humains; il n’y a pas identité de l’une et de l’autre, mais, au contraire, un véritable abîme a été creusé par les êtres humains entre la véritable Justice – la Justice Divine – et leur justice à eux. 
Sans doute est-il opportun d’essayer de savoir pourquoi il en est ainsi et ce qu’il serait possible de faire pour réunifier ce qui devrait être Un.
Car la Parole de Jésus:
 «Que l’être humain ne sépare pas ce que Dieu a uni!»
(Matthieu XIX, 6)
peut aussi se rapporter à cela: l’application des mêmes Lois dans les mondes spirituel et matériel, dans l’Au-delà et l’En-deçà.
La première explication à ce «divorce»-là, c’est que l’être humain juge selon les apparences; il peut, d’ailleurs, difficilement faire autrement, car:
«Dieu Seul sonde les reins (= la Pureté)
et les cœurs.» (= l’Amour).

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L’impudeur généralisée, un affligeant constat

L’impudeur généralisée, un affligeant constat

L’impudeur généralisée, un affligeant constat

Tout particulièrement en période de vacances estivales, les corps se dénudent non seulement sur les plages mais aussi sur les places, dans les rues, et, de façon générale, la plupart des lieux publics…
C’est l’occasion de faire un affligeant constat: L’impudeur est plus généralisée que jamais!
Qu’est-ce que la pudeur?
Selon le «sens commun» ou plutôt «communément répandu», l’on pourrait se demander si la pudeur ne serait pas:
– Un aliénant défaut à corriger?
– Une maladie à soigner et à guérir?
– Une superstition d’un autre âge à balayer?
– La même chose que la «pruderie» ou «pudibonderie»?
Si l’on interroge l’homme – ou la femme – «de la rue», l’on ne pourra que constater que la notion n’est nullement claire dans les consciences.
En vérité, l’impudeur ne peut être ni guérie ni corrigée.
Car si l’on dit à une femme impudiquement dévêtue d’aller se rhabiller, l’on n’aura pas, pour autant, transformé une {femme} impudique en {femme} pudique, l’on aura juste transformé une impudique{ment} déshabillée [ou peu] en une impudique habillée.
Si des contraintes extérieures à eux-mêmes obligent les êtres humains à s’habiller et même à s’habiller de la même manière, ils n’auront pas la possibilité d’exprimer ce qu’ils/elles sont, ce qu’ils/elles portent en eux/elles.
Par contre, si la loi se montre «tolérante», voire même laxiste, et si la météo le permet, alors beaucoup qui n’auraient pas pu le faire autrement, vont alors exprimer extérieurement comment ils/elles sont, en réalité, intérieurement.
Et c’est là que le constat va se révéler affligeant. Car l’impudeur, c’est tout simplement l’absence de pudeur, laquelle pudeur est destinée à protéger l’être intérieur.
Plus l’être intérieur est précieux, autrement dit, plus sa valeur est grande, plus la pudeur est grande. Il y a là une relation directe, quasi-mathématique, infaillible.
Quelqu’un qui affirme qu’il/elle n’a, à cet égard, «rien à cacher» indique, en fait, précisément, qu’il/elle n’a rien de précieux à cacher.

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