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Les conditions de la correction fraternelle

Les conditions de la correction fraternelle

Les conditions de la correction fraternelle

La pratique d’une vie exemplaire
Entre autres, les Chrétiens  se sont engagés à pratiquer les Vertus et à mener une vie exemplaire. C’est fondamentalement un effort spirituel personnel et donc individuel. Étant donné, toutefois, qu’il n’y a de Chrétien que de co-Chrétien, personne ne peut suivre le bon Chemin sans aussi se préoccuper {de celui} des autres, c’est-à-dire du prochain.
Il convient, toutefois, de bien distinguer deux domaines bien distincts, celui du Chemin spirituel personnel (la raison pour laquelle il ou elle est venu(e) sur Terre) de chaque Aspirant(e) à la Vérité et l’aspect humain. Dans le domaine de sa vocation propre, chaque Aspirant à la Lumière est absolument intangible. Personne ne peut lui conseiller quoi que ce soit quant à ce qu’il ou elle aurait à faire ou pas. C’est uniquement une « affaire » entre lui ou elle et la Lumière.
Par contre, sur le plan humain, comme à tout autre être humain, des remarques peuvent lui être faites si son comportement laisse à désirer et/ou est préjudiciable pour autrui, s’il se montre grossier ou mal élevé, etc.
De même, indépendamment de sa personne, s’ils contiennent des erreurs ou des faussetés, ses paroles ou ses écrits peuvent et même doivent – s’ils en sont capables – être rectifiés par ceux qui en ont connaissance.

La nécessité de la Correction fraternelle
La correction fraternelle peut être considérée comme un Devoir. C’est ainsi que, dans la Bible, Dieu explique au Prophète Ézéchiel que ne pas avertir son frère qui pèche mortellement, c’est de facto se rendre aussi coupable que lui (Ézéchiel III, 7-9):
7 « Et Toi, fils de l’homme, je t’ai établi comme sentinelle sur la Maison d’Israël. Tu dois écouter la Parole qui sort de Ma Bouche, et les avertir de ma part.
8 Quand Je dis au méchant: Méchant, Tu mourras!, si Tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa voie, ce méchant mourra dans son iniquité, et Je Te redemanderai son sang.
9 Mais si Tu avertis le méchant pour le détourner de sa voie, et qu’il ne s’en détourne pas, il mourra dans son iniquité, et Toi Tu sauveras Ton âme. ».
Plus encore que la crainte pour son propre Salut, ou même que le souci plus noble du bien commun, ce qui motive la Correction fraternelle, c’est le sincère et véritable Amour pour le frère (ou la sœur). Le mot « frère » mérite d’être approfondi.

Toutefois, la pratique de la correction fraternelle ne doit pas consister à juger ou à accuser, mais à aider.

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Le Misanthrope

Le Misanthrope

Le Misanthrope

« Quelle mâle gaieté, si triste et si profonde
 Que lorsque l’on vient d’en rire l’on devrait … en pleurer! »
– Alfred de Musset au sujet du « Misanthrope » de Molière –

« Le Misanthrope » est une comédie de Molière en cinq actes et en vers, créée le 4 juin 1666 sur la scène du Palais-Royal. Le sous-titre en est: «L’Atrabilaire amoureux». Le texte complet de la pièce est, par exemple, lisible ici.

Le sujet de la pièce est un personnage nommé Alceste qui méprise l’humanité tout entière. Il en dénonce l’hypocrisie, la couardise et la compromission. La couardise est le comportement méprisable de ceux qui se laissent dicter leur comportement par la peur. La compromission est le comportement de ceux qui transigent avec la Loi, la Vérité, l’Honneur. Paradoxalement, alors qu’il est aimé d’Arsinoé, la prude (la pruderie est une caricature intellectuelle de la vraie pudeur, qui est un ressenti spirituel), et d’Éliante, la sincère (la sincérité est une qualité consistant à exprimer franchement ce que l’on ressent intérieurement), il aime passionnément Célimène, une veuve de 20 ans, coquette, superficielle et médisante.

En soi la misanthropie – c’est-à-dire le fait de détester les êtres humains et donc le contraire de la philanthropie – n’est guère recommandable, cela semble être le contraire de l’Amour. Mais c’est le talent de Molière d’arriver ici à rendre sympathique un homme qui, en apparence, déteste le genre humain. Au-delà de son apparence de « misanthrope », Alceste recèle, en fait, en lui une exigence de vérité et de sincérité dans les relations humaines qui, elle, est certainement à saluer…

En réalité, ce n’est pas qu’Alceste déteste les êtres humains ou le genre humain en tant que tel(s), ce qu’il déteste véritablement, c’est l’hypocrisie, les faux-semblants, les compromissions, les apparences, la fausseté très répandus dans la société qui l’entoure, d’une façon générale. C’est largement vrai dans la société actuelle, cela l’était déjà à son époque. En ce sens il ressemble à Cyrano de Bergerac, tel qu’il se décrit, juste avant sa mort, dans la dernière scène du dernier acte.

La pièce commence par une dispute entre Alceste et son ami Philinte (nom qui veut dire « qui aime »). Alceste semble chercher le conflit avec tout le monde, alors que Philinte est bien plus conciliant et même accomodant. Aux autres il cherche plutôt des excuses. Alceste et Philinte sont amis (leur amitié est réelle), mais – pour désigner leur relation – Alceste refuse ce mot. Reprochant à son ami Philinte de se livrer à la flatterie, Alceste condamne les faux-semblants de la société mondaine. Refusant le faux « esprit de conciliation » invoqué par Philinte, il déclare que tous les êtres humains sont haïssables.

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Un vécu inoubliable

Un vécu inoubliable

Un vécu inoubliable

Aujourd’hui, je veux raconter un évènement qui est arrivé au cours de l’une de nos excursions, à l’intérieur du Brésil.
A ce moment-là (…), je ne me préoccupais pas trop de sujets spirituels. Il en était de même pour mon père, avec lequel je faisais plusieurs excursions.
A cette époque, les voyages au Brésil n’étaient pas aussi faciles que maintenant. Le chemin de fer reliait la plupart des villes et localités entre elles, cependant, si nous voulions pénétrer dans la vaste région de l’intérieur du pays, nous devions nous contenter de chevaux et de mules. L’extraordinaire progrès du Brésil a pris place seulement dans les dernières décades. Aujourd’hui, il existe beaucoup de réseaux routiers, un grand nombre de voitures et chaque grande localité et même presque toutes les grandes propriétés ont leur propre aérodrome, où de petits avions peuvent facilement décoller et atterrir.
Cette excursion – d’ailleurs la dernière que j’ai faite avec mon père – nous a amenés dans la région de Minas Gerais, à une haute altitude.
Notre but final était la montagne de Cabral. Cette montagne est un plateau rocheux, riche en eau, et où l’on trouvait beaucoup de grands cristaux de roche à l’état pur. Cependant, ce n’est pas le cristal de roche qui nous a attirés mais plutôt le pied de cette montagne avec ses palmiers aux larges feuillages. De plus, nous espérions trouver l’un des plus grands cobras « sucuri », qui, selon les dires, devait se trouver sur les bords marécageux des ruisseaux. Ainsi avons-nous joyeusement entrepris le voyage.
Après un voyage en train – qui a duré quatre jours -, nous sommes arrivés à la dernière station située dans la région de Minas Gerais. Là, nous avons loué deux chevaux et deux mules à bagages et nous avons engagé un guide de la région, afin de nous montrer le chemin durant une partie du parcours. Nous avons trouvé sans difficulté les animaux, parce qu’il y en avait beaucoup dans la région, à cause des nombreux chercheurs et acheteurs d’or et de pierres précieuses.
Notre but était la vallée du plateau, qui pouvait être escaladée à cheval en une journée. Le guide nous a accompagnés jusqu’à la rivière que nous devions traverser. A ce moment-là, il nous a montré la direction à suivre afin d’arriver, avant la tombée de la nuit, à une cabane où nous devions dormir. Les indicateurs du chemin à escalader étaient des blocs de rocher de forme singulière entre lesquels nous devions passer.
Le chemin – ou mieux dit la piste -, que nous montions à cheval n’était pas très abrupt; de plus, les animaux étaient déjà habitués à monter; plus nous montions et plus les cailloux et l’eau encombraient notre chemin. Principalement l’eau, qui provenait de nombreux petits ruisseaux qui descendaient de la montagne, rendait notre marche difficile. Après une chevauchée de quelques heures, le sol est devenu tellement glissant que nous avons été obligés de faire un détour, sans pour autant perdre de vue les grands blocs rocheux qui nous servaient d’indicateurs de chemin.

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Mariage pour … la Vie!

Mariage pour … la Vie!

Mariage pour la … Vie!

La conception courante traditionnelle relativement au Mariage est – ou était – que l’on se marie … pour la vie!  L’on entend – ou entendait – par là que le mariage devait durer la vie entière … voire davantage! Par « davantage » l’on entend ici la vie … éternelle! Cela sous-entendait que le mariage c’était … pour l’éternité! Mais – comme dit l’humoriste – « l’éternité c’est long, surtout … vers la fin! »  😛 .
Une conception un peu différente est exprimée par la parole parfois prononcée par l’officiant à l’attention des mariés, c’est – leur dit-il – que le mariage doit durer … « jusqu’à ce la mort vous sépare! », c’est-à-dire, au moins, déjà, toute la vie terrestre. Dans cette formulation il n’est pas question de la vie éternelle, mais seulement de la vie terrestre.
Le point commun entre les deux conceptions ci-dessus mentionnées c’est que cela sous-entend cette autre formule – tout à fait fausse! – affirmant: « On n’a qu’une vie ». Cette conception – largement répandue dans la catholicité et correspondant même au catéchisme officiel – implique que les mariés s’imaginent naïvement poursuivre au Paradis la vie qu’ils ont connue sur Terre. Ils croient que leur famille terrestre c’est pour l’éternité!
Ici il est possible d’évoquer un très beau livre intitulé « Le Mariage » de Bo Yin Ra. Assurément – pour ce qui est des délicats égards devant régner entre les deux conjoints dans un couple authentique – ce livre est magnifique. Il est juste dommage que la conception fondamentale du mariage qui y est développée ne soit pas entièrement juste. L’auteur considère, en effet, les deux conjoints comme les deux moitiés d’une orange qui aurait été coupée en deux lors de la Création de l’être humain, deux moitiés qui, à chaque vie terrestre, s’efforceraient ensuite de se réunir.
Cette conception ne peut être juste que pour des cas très particuliers (peut-être était-ce le cas de l’auteur?) et très rarissimes. Mais de tels cas tout à fait exceptionnels ne peuvent absolument pas valoir en tant que règle générale. La règle générale, au contraire, est qu’un être humain « normal » n’en est jamais réduit à un autre être humain unique pour trouver son complément au cours d’une vie terrestre. Il peut, tout au contraire, en rencontrer plusieurs au cours d’une même vie, de sorte que si l’un des deux n’est pas présent au rendez-vous, l’autre ne soit pas contraint pour autant à un célibat forcé au cours de cette vie.
Lorsque la conscience s’élargit et qu’un être humain se rend compte qu’en fait son esprit (pas son intellect!) – même si sa conscience terrestre ne s’en souvient pas – a déjà vécu de nombreuses vies terrestres, alors il – ou elle – peut se demander ce qu’il va faire de ses nombreuses épouses – ou nombreux époux -, au Paradis, pendant … l’éternité?!

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La dernière chance

La dernière chance

La dernière chance

Souvent l’on voit des catastrophes – tempêtes, tornades, éruptions volcaniques, tremblements de terre, raz-de-marées, glissements de terrain, etc. qui s’abattent sur de pauvres gens « à l’autre bout du monde » et l’on peut se poser la question « Quel karma avaient-ils? » ou bien « Qu’ont-ils fait pour mériter cela? Étaient-ils pires que nous? ».

Un épisode de l’Évangile de Luc nous permet de répondre à cette question, c’est celui du massacre des Galiléens par Pilate et de l’effondrement de la Tour de Siloé:

« 01 À ce moment, des gens qui se trouvaient là rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
02 Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort?
03 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!
04 Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem?
05 Eh bien, je vous le dis: pas du tout! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même!».

Puis, « dans la foulée », l’Évangéliste enchaîne avec la Parabole du figuier:

« 06 Jésus dit encore cette Parabole: «Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.
07 Il dit alors à son vigneron: “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol?”.
08 Mais le vigneron lui répondit: “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.
09 Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, Tu le couperas.”». (Luc XIII, 1-9.)

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Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

Surmonter l’illusion provoquée par l’Intelligence Artificielle

L’Intelligence Artificielle au service du mal

En soi l’Intelligence Artificielle est un simple outil, neutre, pouvant rendre service si –  comme l’intellect – cet outil demeure sous la maîtrise de l’esprit. Si, par contre, ce n’est pas le cas l’Intelligence Artificielle – comme l’intelligence naturelle – l’intellect – va inévitablement se placer au service du mal.
De plus en plus l’on voit – avec la vulgarisation des « services » pouvant être rendus par ce qu’il est maintenant convenu d’appeler l' »Intelligence Artificielle » (« IA ») – que tout individu animé d’intentions douteuses ou mêmes franchement malhonnêtes peut toujours plus facilement arriver à berner son prochain dans le but de l’escroquer, de lui nuire de toutes sortes de manières, d’endommager ou salir sa réputation, ou de se moquer de lui.
Il est ici hors de propos – et même probablement impossible – de passer en revue toutes les possibilités de nuisance de cette nouvelle technologie. Aussi nous bornerons-nous à quelques exemples et surtout nous nous interrogerons pour savoir ce que peut faire l' »honnête homme » contre cela…

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L’Univers

L’Univers

L’Univers

L’Univers s’est-il constitué par un pur hasard ou dépend t-il d’une Force a la fois créatrice et directrice?

La plus part des scientifiques, qu’ils soient croyants ou athées, reconnaissent que l’univers est structuré selon un ordre qui dépasse l’entendement humain, mais qui n’en est pas moins réel.

Chaque étoile, chaque planète, a une trajectoire qui s’inscrit dans la globalité de l’univers, tout en assurant une fonction bien précise utile à l’ensemble.

Si rien n’est laissé au hasard, cela suppose qu’existe un organe directeur, dont l’homme de la terre ne peut que reconnaître la perfection de son œuvre.

S’il ne veut pas le nommer, il se contente de dire que c’est l’œuvre de la nature, mais cela ne change rien à cette grandiose réalité.

Par ailleurs, si des lois intelligentes régissent la destinée de cet univers, pourquoi n’auraient-elles pas la capacité de régir également la destinée de l’être humain en favorisant son évolution vers une vie empreinte  d’amour et de justice?

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La Parabole du Bon Samaritain

La Parabole du Bon Samaritain

La Parabole du Bon Samaritain

Lorsqu’un malheur arrive à un prochain, nombreux sont ceux qui pensent que c’est à cause de son karma ou qu’il a manqué de vigilance.

Il est dit, toutefois, que nous serons jugés sur l’Amour. Or Jésus était l’Incarnation de l’Amour.

Si l’on considère la Parabole du Bon Samaritain, donnée par Jésus:

« 25 Un docteur de la loi se leva et dit à Jésus pour le mettre à l’épreuve: «Maître, que dois-je faire pour hériter de la Vie éternelle?» 26 Jésus lui dit: «Qu’est-il écrit dans la Loi? Qu’y lis-Tu?» 27. Il répondit: «Tu aimeras le Seigneur, Ton Dieu, de tout Ton cœur, de toute Ton âme, de toute Ta force et de toute Ta pensée, et Ton prochain comme Toi-même.». 28 «Tu as bien répondu», lui dit Jésus. «Fais cela et Tu vivras.». 29 Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: «Et qui est mon prochain?». 30 Jésus reprit la parole et dit: «Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba entre les mains de brigands qui le dépouillèrent, le rouèrent de coups et s’en allèrent en le laissant à moitié mort. 31 Un prêtre qui, par hasard, descendait par le même chemin vit cet homme et passa à distance. 32 De même aussi un Lévite arriva à cet endroit; il le vit et passa à distance. 33 Mais un Samaritain qui voyageait arriva près de lui et fut rempli de compassion lorsqu’il le vit. 34 Il s’approcha et banda ses plaies en y versant de l’huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. 35 Le lendemain, [à son départ,] il sortit deux pièces d’argent, les donna à l’aubergiste et dit: ‘Prends soin de lui, et ce que Tu dépenseras en plus, je Te le rendrai à mon retour.’. 36 Lequel de ces trois Te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?»] 37 «C’est celui qui a agi avec bonté envers lui», répondit le docteur de la Loi. Jésus lui dit [donc]: «Va et agis de la même manière, Toi aussi.». » (Luc X, 25 – Traduction de Louis Segond).

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