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Le syndrome du spectateur
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Soyez des Acteurs et non seulement des spectateurs!
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Le « syndrome du spectateur », c’est quoi? C’est la maladie de l’âme de celui ou celle qui reste, là, indifférent(e), les bras ballants, à regarder en simple spectateur, sans rien dire ni rien faire.
Par exemple, un visiteur vient sur un site Internet, prend connaissance d’une page, y trouve peut-être de l’intérêt, voire davantage, par exemple une nourriture pour son intériorité. Peut-être même y revient-il plusieurs fois, ou même régulièrement…?
Mais, à chaque fois, il repart – totalement ignorant de la Loi du Donner et du Recevoir – sans jamais laisser quelque trace que ce soit, pas le moindre commentaire, aucune prise de contact, rien.
Il ne prend pas part à un échange, n’apporte pas son concours à la recherche d’une vérité difficile à établir, comme cela se passe sur cette page.
Combat de gladiateurs – Heinrich Leutemann
Il est semblable à la plèbe romaine qui, sans cesse, réclamait « Panem et circenses », du pain et des jeux. Ceux-là restaient sur les gradins à jouir du spectacle, mais jamais ils ne descendaient eux-mêmes dans l’arène.
Pour chaque être humain, aujourd’hui, sur la Terre, se pose la question de savoir s’il veut juste être le spectateur de la vie des autres ou l’acteur de sa propre vie…
Exercice spirituel
Et vous que choisissez-vous?
(Vous pouvez répondre en commentaire ci-dessous)
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Combat de gladiateurs – Heinrich Leutemann
« Le syndrome du spectateur »
Soyez des Acteurs et non seulement des spectateurs!
Tout le monde a quelque chose à apporter à l’édification commune, que se soit en pensées, en paroles ou en actes.
L’homme ne saurait, avec son libre vouloir, se limiter à être spectateur en quoi que ce soit sans se porter préjudice. Il doit décider, faire quelque chose, réagir d’une manière ou d’une autre au contact de tout ce qui vient à lui ou qu’il contacte.
Et c’est ce libre vouloir qui fait de nous des « esprits ».
Chacun ayant reçu, chacun a aussi le devoir de donner. Ici, nous devons nous efforcer de donner, afin que ce que nous avons en notre esprit – et nous savons que rien ne le laisse indifférent – bénéficie aussi à d’autres. Il réagira d’une façon ou d’autre, à moins qu’il soit déjà éteint et que plus rien ne parvienne encore à l’impressionner.
Or, nous savons que quiconque est arrivé au portail de l’École de L’Art de Vivre, porte encore une étincelle de vie en lui. Qu’il en ouvre grand les portails et y pénètre en se sentant en confiance de partager l’impression que chaque lecture fait sur lui et même pourquoi pas d’en proposer.
Et comme nous le savons, il y a toujours plus de joie à donner en esprit, à donner des valeurs spirituelles et plus l’on peut donner, plus l’on peut aussi recevoir.
C’est seulement quand on descend dans l’arène de la vie, qu’on commence à vivre.